Poème:… Juste Des Ailes…

Elle le voulait,
Elle en pleurait,
Je l’ai reconnu,
Cette fille completement perdue,
Un geste de ma part,
Une chose rare,
Vennue d’un etrenger,
Qui ne pense qu’a se cacher,

Un gentil mot,
Pour gagner sa confiance,
Un petit mot,
Pour qu’elle ai une chance,
Je veux la voir sourire,
Vivre et rire,
Un bonheur qui se lit dans ses yeux,
Quelque chose qui rendrait son monde merveilleux…

Lui pensait a elle,
Cette fille aux grandes ailes,
Un sourire angelique,
Une fille magnifique,
Il ne vivait que part son sourire,
Pour lui cela veut tout dire,
Il l’observe de loin,
Il voudrait sentir son parfum,

Il a voulut lui raconter,
Il voulait tant esperer,
Qu’elle l’aimerait,
Il l’a suivit,
Il a rit,
De sa façon de marcher,
De l’écouter parler,
Avec ses amies,
Elle était la plus jolie…

Il l’a bousculer,
S’en ai excusé,
Ils ont rougit,
Se sont souris,
Ils voulaient se revoir,
Ceux revoir un soir…

Il allait se declarer,
Lui dire qu’il l’aimait,
Lui dire qu’elle était merveilleuse,
Que sa vie était devenue fabuleuse,

Elle allait l’embrasser,
Le plus beau des baisers,
Lui dire qu’elle l’aimerait,
Pour l’éternité…

Comme prevue,
Ils se sont vues,
Mais ils étaient génés,
Rouges de la tete aux pieds,

Elle se réfugiait dans sesbras,
Il lui chuhotait tout bas,
Qu’il entretiendrait ses ailes,
Qu’elle serait toujours la plus belle,

Elle était dans ses bras,
Elle se sentait bien,
Cela durerait jusqu’au matin,
Mais elle n’y croyait pas,
Elle fuya,

Les yeux plein de larmes,
Elle était incapable,
De lui faire face,
Elle lui laissa un mot,
Disant « désolée si je suis partir trop tot »…

Il n’y coya pas,
Il pensa tout bas,
Comment vivre sans ses bras,
Il n’y arriverait pas,
Sa vie se termina,
Sur la chaleur de son baiser,
Le dernier des derniers…

Elle n’y croya pas,
Se cacha dans ses bras,
Pleura, hurla,
Mais il ne reviendrait pas,

Elle se sentait fautive,
Aurait-elle le courage de le suivre ? ,
Le courage lui vint,
Elle pris sa lame a deux mains,
Coura vers sa tombe,
Son humeur était vagabonde,

Elle lui avait juré,
Juré de l’aimer,
Pour l’éternité…

La lame coupa ses veines,
Tout d’un coup plus de peines,
Posa un dernier baiser,
Que son delicieux portrait,
De cet homme au cœur leger…

Leurs ames se retrouvames,
Tout deux s’embrassames,
Ils resteraient liés,
Et ce pour l’éternité…