Poème:Mon Silence Emerveillé

Mon silence est emerveillé
Devant l’immensité du ciel,
Et se perd dans ce vide
D’ « imagination-aquarelle ».

A quoi comparer cette solitude ?
Personne ne la comprend…
Elle murmure sa souffrance,
Puis se laisse errer dans le vent.

Mon silence s’y perd parfois,
Dans ces mots tendres envolés ;
Chassés par la realité tueuse
Qui fait qu’on ne peut s’exister…

Pourtant cette vie est si fragile,
Imagines tu vivre sans Elle ?
Un crayon ou une plume
Suffiraient a nous rendre reels. .

Mais mon silence mon Dieu,
Comme il m’assassine…
J’aimerai tant ouvrir les yeux
Pour qu’il me dessine…

L’emerveillement devant son sourire,
Quelle honte de ne penser qu’à lui ;
Pourtant je songe a l’effleurer ;
Battement d’un cœur sans vie…

Et je lui crée un nouveau monde
Pour le laisser vivre encore un peu. .
Reste avec moi juste seconde,
Ensemble contemplons ce ciel si bleu.

N’aie pas peur, ne t’effraie pas ;
La vie est courte pour l’oublier,
Avance, je serai la
Et saurai te porter.

Mais mon silence ecrase ces reves,
Regarde moi tu y est si différent. .
Il aurait suffit que t’y emerveille
Et mon cœur n’aurait pas fait semblant.

Je cois bien que sans le vouloir,
Et malgré mes efforts pour lutter ;
Ta nuit est tombée sur mon cœur
Et, tu l’as tué. .

A cause de toi je ne vois plus,
Mes yeux sont figés dans ton regard ;
L’amoreuse endormie se réveille
Et la raison s’égare. .

Depuis, ton nom résonne dans ces vallées,
Perdues et isolées loin de tout.
Et moi, aveugle et appeurée,
Je t’ai cherché jusqu’au bout…