Poème:Titre

… SUITE DE… partie 2

Car pour elle quel desoheur
D’avoir pour frere verlaine
Elle qui plaçais son bonheur
Dan les reçeption d’oie mondaine
Quand a François ce fus plus fort
Il entendi son père dire
’ J’aurrais preferé qu’il soit mort
Car cette histoire peut nous nuire’
Le curé s’en veint a son tour
Lui qui connais le cœur des homme
Lui qui preche si bien l’amour
Ne leur parla que de sodome.
Mais vraiment quel homme de dieu
Aurrais pu sans craindre l’invective
Dire qu’en amour, heureux
Ceux par qui le scandale arrive.
Je ne crois pas qu’il aurrais pus
Dire, qu’il n’y a pas d’amour lamaentable
Et qu’il ny as pas non plus
De temdresse coupable.
Et pourtant, pourtant leur amour
Ne sucitait pas que la haine
Par bonheur il y a toujours
Des gens qui aime ceux qui s’aime.
C’est ainsi qu’au diner chez les Bertrands
Eve pris leur deffence
Et explica a ces parents
Qu’il ny avait point d’offence
Ni pour Yave, ni pour la loi
Que la morale etait depassé
-Bien, dit le pere, je te crois
Heureux qu’elle soit fiancée.
Apres le temp des colibet
Vint le temp de l’intolerence
Les Amants eurent le toupet
De marquer leur indifference.
Leur cœurs si riche d’amour
Suportait les sermon et les blames
Malgré tout il s’aimaient toujours
Deux cœurs ayent une seule ame.
Ils conurent au fil des jours
L’oprobation d’une ville entière
Car leur idées et leur amour
Derangeais la paix dans les chaumières.
On submergea les deux enfants
De bon conseils et de reproches
Les psychiatres brassèrent du vent
Au grand desespoires de leurs proches.

… Suite…