Poème:Epitaphes Pour Ma Mere

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Le paradis pour être parfait demandait ton rire,
Pour Dieu, les anges exgigaient le plus doux sourire,
La terre offrit son plus grand trésor aux cieux,
Avec toi leurs bonheurs sont parfaits, ces êtres célestieux.

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Le trépas a fermé tes yeux, mais pas ton cœur,
Ton souffle s’arrête et libère ton âme à cette heure ;
Tendre Mère, quand on s’endort seul dans le noir,
Sans bruit, tu déposes un baiser sur nos fronts chaque soir.

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Ces années de bonheurs à tes côtés,
Ont duré l’espace d’un jour.
Au-delà de la mort, survit notre amour.
Avec toi jamais d’hivers mais toujours des étès,

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Le soleil se lève, un autre jour,
Pour qui ? Pourquoi ? sans Elle ;
La terre n’est plus aussi belle.
Elle s’est envolée sans retour.
Attend on vient te rejoindre,
Loin de toi la vie est à plaindre.
Toi qui nous a tout appris, tendre mère,
Pour vivre, montre nous à mourrir, sur terre.

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Dans notre maison, ton parfum flotte toujours ;
Toujours présente, tu partages nos jours ;
Ceux qui pensent que tu nous as quitté, ne te connaissent pas ;
Les portes de ton cœur restent ouvertes au-delà du trépas.

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Maman, attend, si loin ne t’en va pas,
Ensemble faisons encore quelques pas ;
Mes enfants, la mort ne peut nous séparer
Il faut aux cieux préparer votre arriver.

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Epitaphe Pour Mon Pere

Fallait pas boire ce denier verre ;
Toujours le dernier qui nous envoie sous terre.
Tu te réveilleras dans le paradis,
Etonné et demanderas « ou est le vin par ici ».

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Epitaphe pour Ma Grand Mere

Toi, qui m’a appris a lire et écrire
Les cieux avaient besoin de ton savoir ;
Sauver leurs anges imbéciles du désespoir.
Bientot a ta classe j’ajouterai mon rire.

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Mon Epitaphe

Ne dites pas que je suis mort ;
Dites seulement, il a oublié son corps.
Si vous me connaissez un peu ;
De la haut je vous regarde tout heureux.