Poème:Pourquoi ? ? ?

Sans m’attendre tu es apparu dans ma vie ;
Ma passion est devenue ton nom ;
Mais tu as décidé d’en jouer « OUI » ;
Demain tu as dit nom.

Cachant mes rêves pour toujours ;
Je me retrouve infortuné ;
Abattu sous le chagrin d’un jour ;
La saison sèche mon cœur troublé.

MON amour blessé je ne fais plus confiance ;
Cette douleur me ferme les yeux ;
Et je n’arrive plus à sentir ta présence ;
Un simple mortel m’ont dit mes aïeux.

Que j’aurai dû écouter ;
Même aujourd’hui tu restes mon assurance ;
Résigné à t’oublier ;
Ma force est emporté par ton absence.

Jusque-là je ne croyais pas ;
Que toi tu seras un jour mon AIR de vie ;
Je me sens coupable « Papa » ;
Oh combat amer me mène à survivre.

Je cherche en vain ton âme frivole ;
Innocence était notre refuge ;
Nous nous permettions même à la ;
Se cachant derrière enfant ruses.

La grêle sur ma peau ;
Je ne distingue plus les pensés ;
Le moment ensemble tombait à l’eau ;
Je ne respire plus maintenant que je ne sais pas où tu es.

Toi montre-moi encore une fois nos rires cachés ;
Sans armures je deviens la proie ;
Des regrets persistaient ;
Dieu, parle-moi et montre-moi.

Ma vieille amie un instant ;
Sèches mes tristes larmes ;
Je veux sourire comme avant ;
Dans la cours de la bohème.

Au milieu de toutes ces personnes joyeuses ;
Je recherche ma joie d’enfant ;
Visions pâles nous ne sommes plus heureuses.

Oh Mon Dieu sa chair est si inerte ;
Son visage est impur ;
L’innocence qui se dessiner sur son visage est à craindre ;
Elle est perdue de sa beauté pure.

Ton père se sent impuissant ;
Ta mère gardienne de ton immortalité ;
Ta sœur aimante aux yeux attristants ;
Les connaissances regardent le ciel de l’invisibilité.

Pourquoi ne veux-tu pas revoir ;
Ta vielle amie ? ;
La nuit comme un philosophe je veux savoir ;
POURQUOI tu n’as pensé au vide ? .

Je ferme les yeux je sens se rapprocher ;
Cette solitude étrange ;
Les rideaux ne supportent plus le vent acharné ;
On dit que au paradis tu es un ange.

Les ténèbres s’abattent sur moi ;
Mon attitude trouble les miens ;
Vague est mon regard quand je pense à toi ;
IL y a plus échappatoire sur les liens.

Qui nous lie encore aujourd’hui ;
Coupable autant que toi ;
POURQUOI fille ennuie ? ;
Je me colle aux suprêmes adieux ? .