Poème:Marjorie

Par deux fois déjà, j’ai vendu mon âme.
Heureux destin pour moi, deux fois, je pu la reprendre.
Mais voici qu’à mon cœur, à nouveau le danger ce présente.
Cette fois, pour me pervertir, d’une déesse fut il la souche.
Du corps, de l’Aphrodite d’or, il vola les lignes
De l’esprit, il prit les meilleurs traits d’Athéna l’érudite.
De mes aventures passées, j’avais acquis une certaine expérience.
Ainsi… A sa seule vue, me jambes ne firent que chanceler.
Mais mauvais sort pour moi, j’étais déjà envoûté.
Ainsi… A l’écoute de sa voie, c est mon cœur qui plia.
Et, dès lors, je n’eu plus qu’une envie, la serrer dans mes bras.
C est alors que m’apparut, le salut ou bien la damnation.
J’appris que de cinq années notre union n’aurait pu être qu illusion.