Poème:Regarde Là Elle Souffre Avec Toi !

Perdu, ne sachant plus quoi faire de cette souffrance,
Pensant qu’elle pourait s’atténuer en la déplacant,
Qu’abimer plus son corps serait une belle délivrance,
Ne peux plus supporter la douleur de ce cœur saignant.

Le sang coule et le cœur ne sens plus rien,
Faire çà et l’assumer pour croire aller bien,
Changer sa douleur pour en oublier une autre,
Et essayer de se montrer que c’est bien la notre.

Tout est de notre faute, nos larmes, nos malheur,
Surement se punir pour arrêter enfin ses pleurs,
Et ne plus sentir cette douleur au fond de nous,
La souffrance nous rends tous par accumulation fous.

Cette arme qui se promène sur notre corps avec attente,
Voulant transpercer à tout prix avec sa lame tranchante,
Et enfin nous faire souffrir en silence de son meurtre,
Pour enfin nous voir se percer et pour toujours s’abattre.

Mais ceci est trop agréable de ne plus souffrir,
Au fond du cœur, alors l’on rejète cette lame à demain,
Pour encore pouvoir se mutiler sans aucune fin,
Et dans un an être toujours là à esquiver de mourir.

Tes amis te regardent, tes amis te parlent,
Essaye de comprendre pourquoi tu fais tout çà,
Te dise leur pensées, mais tu ne les écoutent pas,
Ce soir tu vas encore recommencer sur ta peau pâle.

Mais arrête donc ce massacre !
Regarde là elle souffre avec toi !
Elle veut affronter çà avec toi !

Il s’aggit d’une amie qui a peur de te perdre,
Elle est là à tes cotés sans que tu ne l’as voit,
A garder toute ta souffrance sans savoir t’atteindre,
Elle ne sait plus quoi faire pour arriver à toi.

Elle se tait en essayant d’être à tes cotés,
Fermant son cœur qui ne peut te pardonner,
Tous ses gestes que tu fais sur ton corps,
Tout le sang que tu fais couler comme de l’or.

Entends son appel elle a besoin de toi !
Regarde là elle souffre avec toi !
Elle veut affronter çà avec toi !

Puis vint le jour où elle senti ce besoin,
De faire comme toi, pour faire partir sa douleur,
Et attenuer toutes ses moindre peur,
Tu as toujours avec moi, pas très loin.

Mais de cette douleur je n’en peux plus,
Je me mutile et je garde çà dans mon silence,
Avec regret et une trahison en moi de cette souffrance,
Je voulais te cacher mon erreur mais tu l’as vu.

Tu m’as rejeter sans ésiter et m’as puni,
Je n’avais pas besoin de çà, je l’avais fait,
Je regrettais mon geste et je te l’ai dit,
Tu ne m’as pas écouter, et m’as abandonner.

Mes larmes ont coulées pendant des heures,
J’ai taper à chacune de te paroles blessantes,
Mais je le regrette écoute moi ! Vois mes pleurs !
S’il te plait ! Reviens ! Tu me hantes !

Ô mon amie je n’en plus plus d’être loin de toi,
Regarde la douleur que j’ai mise en moi,
Aide moi à l’affronter comme une vraie amie,
Je sais que tu m’en veux mais rien est fini.

Tu ne m’as pas pardonner car j’ai fait pareil,
Je comprenais la douleur que je t’avais mise,
Mais tu avais fait de même quelques mois dans ton sommeil,
Maintenant arrêtons enfin toutes nos bêtises !

A présent j’ai l’impression que toutes ces épreuves,
Ont fait que renforcer notre amitié qui grandi,
Je sais à présent qu’elle ne sera jamais finie.