Poème:La Vie Fatalesuite
Le Poème
On squatte un carré de brique, dans un immeuble énigmatique et solitaire
On se taire comme une vermine, pour ne plus savoir, pour ne plus se reconnaître
On torche un rouge pour finir la nuit, et comme un gosse pleurnicher
Sur son sort, sur un plumard séquestré, en écoutant les claquettes de Fred Astaire
On ferme les lourdes paupières, la gueule puant l’alcool est la bière
Triste vie pour une épave que je suis, mais à chacun ses petites misères
La lune blanche s’efface impunément, pour faire place à la lumière
Nouvelle journée qui s’annonce avec ces cataclysmes et ces galères
Une table de terrasse, d’un troquet bien chic, une mignonnette qui s’impatiente
On s’arrête, on l’ajuste, on s’invite à sa table, deux verres, histoire de faire connaissance
Bien trop belle dans sa robe de tulle, elle papote des mots stériles, sur un visage de demie vierge
Le temps s’écoule, c’est l’horloge du temps qui s’ébranle pour les cloches des prières
Une chambre d’hôtel, dans un petit quartier, quelque peu discret
On passe la monnaie, un escalier branlant, une porte qui se ferme à clé
Juste un lit, pour deux corps dénudés, des milliers de baisers pour s’amuser
La corde du pendu, une bâtisse qui reprend vie, deux êtres qui ont fini par s’aimer
Un matin, on se lève, le visage éperdu, on se regarde dans le miroir innocent
Le temps et les années on passé, que l’on se dit que nous n’avons plus vintg ans
Alors, on revient dans la chambre et on regarde l’autre qui à fini par ne plus aimer
Plus de sexe-symbole, de femme glamour, l’amour nous aura condamnés
Ont finit par vivre l’un sans l’autre, on s’accroche à se qui reste, bien que le filtre s’écaille
Plus de mine fraîche, ou de poudre de soleil, dans le lit en épouvantail
On finit par ne plus se parler, dialogue de sourd, on s’ignore dans le ras-le -bol
D’une vie qui n’est plus qu’un mauvais souvenir, on devient des ombres qui somnolent
Une signature dans un bureau plaque d’or, deux noms sur une feuille de papier entaché à l’encre noire
Pas une larme, pas un regret, instant fatale d’une vie qui a fini par déraper sur la chaussée
On se retrouve à vivre seul dans une cité dortoir, ou les couleurs se font rares
Abandonné à son sort, déposséder de tout, comme dans la cellule d’un condamné
Une bouteille qui se vide, alcool frelaté dans un corps qui a fini par se détourner
De la vie matérialisée, marginalisation d’une âme qui s’est ternie et désapprouvée
Une nuit obscure, sans lune, une détonation, juste un peu de fumée bleutée
Un trou, une mare de sang coagulée, un corps qui gît sur la chaussée
Un attroupement, des femmes, des hommes, qui s’étonnent, qui ont peur
Une boite de bois de chêne, poignée en or qui attend les honneurs
Discours mélodramatique et pathétique d’un prêtre qui tient sa Sibylle
Fausse veuve qui s’est voilé la face, cachée sous son noir parapluie
Mort fatale du quant dira -ton, des voix basses, discrètes qui intrigues sous les capelines
Visages sombres, belle redingotes sous les chapeaux, avec des yeux cyniques
La lente descente dans les entrailles, le dernier voyage, l’ultime escapade
Poignée de terre qui s’écrase, pluie de fleurs que l’on jette sur une pierre tombale
Triste vie, pour une existence légiférer
Amour passionné dupliqué dans le néant
Star d’un moment qui s’est éclipsé
Expatriation temporelle pour le bannissement
On se taire comme une vermine, pour ne plus savoir, pour ne plus se reconnaître
On torche un rouge pour finir la nuit, et comme un gosse pleurnicher
Sur son sort, sur un plumard séquestré, en écoutant les claquettes de Fred Astaire
On ferme les lourdes paupières, la gueule puant l’alcool est la bière
Triste vie pour une épave que je suis, mais à chacun ses petites misères
La lune blanche s’efface impunément, pour faire place à la lumière
Nouvelle journée qui s’annonce avec ces cataclysmes et ces galères
Une table de terrasse, d’un troquet bien chic, une mignonnette qui s’impatiente
On s’arrête, on l’ajuste, on s’invite à sa table, deux verres, histoire de faire connaissance
Bien trop belle dans sa robe de tulle, elle papote des mots stériles, sur un visage de demie vierge
Le temps s’écoule, c’est l’horloge du temps qui s’ébranle pour les cloches des prières
Une chambre d’hôtel, dans un petit quartier, quelque peu discret
On passe la monnaie, un escalier branlant, une porte qui se ferme à clé
Juste un lit, pour deux corps dénudés, des milliers de baisers pour s’amuser
La corde du pendu, une bâtisse qui reprend vie, deux êtres qui ont fini par s’aimer
Un matin, on se lève, le visage éperdu, on se regarde dans le miroir innocent
Le temps et les années on passé, que l’on se dit que nous n’avons plus vintg ans
Alors, on revient dans la chambre et on regarde l’autre qui à fini par ne plus aimer
Plus de sexe-symbole, de femme glamour, l’amour nous aura condamnés
Ont finit par vivre l’un sans l’autre, on s’accroche à se qui reste, bien que le filtre s’écaille
Plus de mine fraîche, ou de poudre de soleil, dans le lit en épouvantail
On finit par ne plus se parler, dialogue de sourd, on s’ignore dans le ras-le -bol
D’une vie qui n’est plus qu’un mauvais souvenir, on devient des ombres qui somnolent
Une signature dans un bureau plaque d’or, deux noms sur une feuille de papier entaché à l’encre noire
Pas une larme, pas un regret, instant fatale d’une vie qui a fini par déraper sur la chaussée
On se retrouve à vivre seul dans une cité dortoir, ou les couleurs se font rares
Abandonné à son sort, déposséder de tout, comme dans la cellule d’un condamné
Une bouteille qui se vide, alcool frelaté dans un corps qui a fini par se détourner
De la vie matérialisée, marginalisation d’une âme qui s’est ternie et désapprouvée
Une nuit obscure, sans lune, une détonation, juste un peu de fumée bleutée
Un trou, une mare de sang coagulée, un corps qui gît sur la chaussée
Un attroupement, des femmes, des hommes, qui s’étonnent, qui ont peur
Une boite de bois de chêne, poignée en or qui attend les honneurs
Discours mélodramatique et pathétique d’un prêtre qui tient sa Sibylle
Fausse veuve qui s’est voilé la face, cachée sous son noir parapluie
Mort fatale du quant dira -ton, des voix basses, discrètes qui intrigues sous les capelines
Visages sombres, belle redingotes sous les chapeaux, avec des yeux cyniques
La lente descente dans les entrailles, le dernier voyage, l’ultime escapade
Poignée de terre qui s’écrase, pluie de fleurs que l’on jette sur une pierre tombale
Triste vie, pour une existence légiférer
Amour passionné dupliqué dans le néant
Star d’un moment qui s’est éclipsé
Expatriation temporelle pour le bannissement
Poète Vorelberg
Vorelberg a publié sur le site 2 écrits. Vorelberg est membre du site depuis l'année 2016.Lire le profil du poète VorelbergSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: La Vie Fatalesuite
on=s=quat=teun=car=ré=de=bri=que=dans=un=im=meuble=é=nig=ma=ti=que=et=so=li=taire 22on=se=taire=com=me=u=ne=ver=mi=ne=pour=ne=plus=sa=voir=pour=ne=plus=se=re=con=naître 22
on=tor=che=un=rou=ge=pour=fi=nir=la=nuit=et=com=me=un=gos=se=pleur=ni=cher 20
sur=son=sort=sur=un=plu=mard=sé=ques=tré=en=é=cou=tant=les=cla=quet=tes=de=fred=as=taire 22
on=fer=me=les=lour=des=pau=pi=è=res=la=gu=eu=le=puant=lal=cool=est=la=biè=re 21
tris=te=vie=pour=u=ne=é=pa=ve=que=je=suis=mais=à=cha=cun=ses=pe=ti=tes=mi=sères 22
la=lu=ne=blan=che=sef=fa=ce=im=pu=né=ment=pour=fai=re=pla=ce=à=la=lu=miè=re 22
nou=vel=le=jour=née=qui=san=non=ce=a=vec=ces=ca=ta=clys=mes=et=ces=ga=lè=res 21
une=ta=ble=de=ter=ras=se=dun=tro=quet=bien=chic=u=ne=mi=gnon=net=te=qui=sim=pa=tiente 22
on=sar=rête=on=la=jus=te=on=sin=vi=teà=sa=ta=ble=deux=ver=res=his=toi=re=de=fai=re=con=nais=sance 26
bien=trop=bel=le=dans=sa=robe=de=tul=le=el=le=pa=po=te=des=mots=sté=ri=les=sur=un=vi=sa=ge=de=de=mie=vierge 29
le=temps=sé=coule=cest=l=hor=lo=ge=du=temps=qui=sé=bran=le=pour=les=clo=ches=des=pri=ères 22
u=ne=cham=bre=d=hô=tel=dans=un=pe=tit=quar=ti=er=quel=que=peu=dis=cret 19
on=pas=se=la=mon=naie=un=es=ca=lier=bran=lant=u=ne=por=te=qui=se=fer=me=à=clé 22
jus=te=un=lit=pour=deux=corps=dé=nu=dés=des=mil=li=ers=de=bai=sers=pour=sa=mu=ser 21
la=corde=du=pen=du=u=ne=bâ=tis=se=qui=re=prend=vie=deux=ê=tres=qui=ont=fi=ni=par=sai=mer 24
un=ma=tin=on=se=lève=le=vi=sa=geé=per=du=on=se=re=gar=de=dans=le=mi=roir=in=nocent 23
le=temps=et=les=an=nées=on=pas=sé=que=lon=se=dit=que=nous=na=vons=plus=vintg=ans 20
a=lors=on=re=vient=dans=la=chambreet=on=re=gar=de=lau=tre=qui=à=fi=ni=par=ne=plus=ai=mer 23
plus=de=sexe=sym=bo=le=de=fem=me=gla=mour=la=mour=nous=au=ra=con=dam=nés 19
ont=fi=nit=par=vivre=lun=sans=lau=tre=on=sac=cro=cheà=se=qui=res=te=bien=que=le=fil=tre=sé=caille 24
plus=de=mi=ne=fraî=che=ou=de=pou=dre=de=so=leil=dans=le=lit=en=é=pou=van=tail 21
on=fi=nit=par=ne=plus=se=par=ler=dia=lo=gue=de=sourd=on=si=gnore=dans=le=ras=le=bol 22
du=ne=vie=qui=nest=plus=quun=mau=vais=sou=ve=nir=on=de=vient=des=om=bres=qui=som=nolent 21
une=si=gna=tu=re=dans=un=bu=reau=pla=que=dor=deux=noms=sur=u=ne=feu=ille=de=pa=pier=en=ta=ché=à=len=cre=noire 29
pas=une=lar=me=pas=un=re=gret=ins=tant=fa=ta=le=du=ne=vie=qui=a=fi=ni=par=dé=ra=per=sur=la=chaus=sée 28
on=se=re=trouve=à=vi=vre=seul=dans=u=ne=ci=té=dor=toir=ou=les=cou=leurs=se=font=rares 22
aban=don=né=à=son=sort=dé=pos=sé=der=de=tout=comme=dans=la=cel=lu=le=dun=con=dam=né 22
une=bou=tei=lle=qui=se=vi=de=al=cool=fre=la=té=dans=un=corps=qui=a=fi=ni=par=se=dé=tour=ner 25
de=la=vie=ma=té=ria=li=sée=mar=gi=na=li=sa=tion=dune=â=me=qui=sest=ter=nieet=dé=sap=prou=vée 25
une=nuit=obs=cu=re=sans=lu=ne=u=ne=dé=to=na=tion=jus=teun=peu=de=fu=mée=bleu=tée 22
un=trou=u=ne=ma=re=de=sang=coa=gu=lée=un=corps=qui=gît=sur=la=chaus=sée 19
un=at=trou=pe=ment=des=fem=mes=des=hom=mes=qui=sé=ton=nent=qui=ont=peur 18
u=ne=boi=te=de=bois=de=chê=ne=poi=gnée=en=or=qui=at=tend=les=hon=neurs 19
dis=cours=mé=lo=dra=ma=ti=que=et=pa=thé=ti=que=dun=prê=tre=qui=tient=sa=si=bylle 21
faus=se=veu=ve=qui=sest=voi=lé=la=fa=ce=ca=chée=sous=son=noir=pa=ra=pluie 19
mort=fa=tale=du=quant=di=ra=ton=des=voix=bas=ses=dis=crè=tes=qui=in=tri=gues=sous=les=ca=pe=lines 24
vi=sa=ges=som=bres=bel=le=re=din=go=tes=sous=les=cha=peaux=a=vec=des=y=eux=cy=niques 22
la=lente=des=cen=te=dans=les=en=trail=les=le=der=nier=voy=a=ge=lul=ti=me=es=ca=pade 22
poi=gnée=de=terre=qui=sé=cra=se=pluie=de=fleurs=que=lon=jet=te=sur=u=ne=pier=re=tom=bale 22
tris=te=vie=pour=u=ne=exis=ten=ce=lé=gi=fé=rer 13
amour=pas=si=on=né=du=pli=qué=dans=le=né=ant 12
star=dun=mo=ment=qui=sest=é=clip=sé 9
ex=pa=tri=a=ti=on=tem=po=rel=le=pour=le=ban=nis=se=ment 16
Phonétique : La Vie Fatalesuite
ɔ̃ skatə œ̃ kaʁe də bʁikə, dɑ̃z- œ̃n- iməblə eniɡmatikə e sɔlitεʁəɔ̃ sə tεʁə kɔmə ynə vεʁminə, puʁ nə plys savwaʁ, puʁ nə plys sə ʁəkɔnεtʁə
ɔ̃ tɔʁʃə œ̃ ʁuʒə puʁ finiʁ la nɥi, e kɔmə œ̃ ɡɔsə pləʁniʃe
syʁ sɔ̃ sɔʁ, syʁ œ̃ plymaʁ sekεstʁe, ɑ̃n- ekutɑ̃ lε klakεtə də fʁεd astεʁə
ɔ̃ fεʁmə lε luʁdə- popjεʁə, la ɡələ pɥɑ̃ lalkɔl ε la bjεʁə
tʁistə vi puʁ ynə epavə kə ʒə sɥi, mεz- a ʃakœ̃ sε pətitə mizεʁə
la lynə blɑ̃ʃə sefasə ɛ̃pynemɑ̃, puʁ fεʁə plasə a la lymjεʁə
nuvεllə ʒuʁne ki sanɔ̃sə avεk sε kataklisməz- e sε ɡalεʁə
ynə tablə də teʁasə, dœ̃ tʁɔkε bjɛ̃ ʃik, ynə miɲɔnεtə ki sɛ̃pasjɑ̃tə
ɔ̃ saʁεtə, ɔ̃ laʒystə, ɔ̃ sɛ̃vitə a sa tablə, dø veʁə, istwaʁə də fεʁə kɔnεsɑ̃sə
bjɛ̃ tʁo bεllə dɑ̃ sa ʁɔbə də tylə, εllə papɔtə dε mo steʁilə, syʁ œ̃ vizaʒə də dəmi vjεʁʒə
lə tɑ̃ sekulə, sε lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ ki sebʁɑ̃lə puʁ lε kloʃə dε pʁjεʁə
ynə ʃɑ̃bʁə dotεl, dɑ̃z- œ̃ pəti kaʁtje, kεlkə pø diskʁε
ɔ̃ pasə la mɔnε, œ̃n- εskalje bʁɑ̃lɑ̃, ynə pɔʁtə ki sə fεʁmə a kle
ʒystə œ̃ li, puʁ dø kɔʁ denyde, dε milje də bεze puʁ samyze
la kɔʁdə dy pɑ̃dy, ynə batisə ki ʁəpʁɑ̃ vi, døz- εtʁə- ki ɔ̃ fini paʁ sεme
œ̃ matɛ̃, ɔ̃ sə lεvə, lə vizaʒə epεʁdy, ɔ̃ sə ʁəɡaʁdə dɑ̃ lə miʁwaʁ inɔse
lə tɑ̃z- e lεz- anez- ɔ̃ pase, kə lɔ̃ sə di kə nu navɔ̃ plys vɛ̃tɡ ɑ̃
alɔʁ, ɔ̃ ʁəvjɛ̃ dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə e ɔ̃ ʁəɡaʁdə lotʁə ki a fini paʁ nə plysz- εme
plys də sεksə sɛ̃bɔlə, də famə ɡlamuʁ, lamuʁ nuz- oʁa kɔ̃damne
ɔ̃ fini paʁ vivʁə lœ̃ sɑ̃ lotʁə, ɔ̃ sakʁoʃə a sə ki ʁεstə, bjɛ̃ kə lə filtʁə sekajə
plys də minə fʁεʃə, u də pudʁə də sɔlεj, dɑ̃ lə li ɑ̃n- epuvɑ̃taj
ɔ̃ fini paʁ nə plys sə paʁle, djalɔɡ də suʁ, ɔ̃ siɲɔʁə dɑ̃ lə ʁa lə bɔl
dynə vi ki nε plys kœ̃ movε suvəniʁ, ɔ̃ dəvjɛ̃ dεz- ɔ̃bʁə- ki sɔmnɔle
ynə siɲatyʁə dɑ̃z- œ̃ byʁo plakə dɔʁ, dø nɔ̃ syʁ ynə fœjə də papje ɑ̃taʃe a lɑ̃kʁə nwaʁə
pa ynə laʁmə, pa œ̃ ʁəɡʁε, ɛ̃stɑ̃ fatalə dynə vi ki a fini paʁ deʁape syʁ la ʃose
ɔ̃ sə ʁətʁuvə a vivʁə səl dɑ̃z- ynə site dɔʁtwaʁ, u lε kulœʁ sə fɔ̃ ʁaʁə
abɑ̃dɔne a sɔ̃ sɔʁ, depɔsede də tu, kɔmə dɑ̃ la sεllylə dœ̃ kɔ̃damne
ynə butεjə ki sə vidə, alkɔl fʁəlate dɑ̃z- œ̃ kɔʁ ki a fini paʁ sə detuʁne
də la vi mateʁjalize, maʁʒinalizasjɔ̃ dynə amə ki sε tεʁni e dezapʁuve
ynə nɥi ɔpskyʁə, sɑ̃ lynə, ynə detɔnasjɔ̃, ʒystə œ̃ pø də fyme bløte
œ̃ tʁu, ynə maʁə də sɑ̃ kɔaɡyle, œ̃ kɔʁ ki ʒit syʁ la ʃose
œ̃n- atʁupəmɑ̃, dε famə, dεz- ɔmə, ki setɔne, ki ɔ̃ pœʁ
ynə bwatə də bwa də ʃεnə, pwaɲe ɑ̃n- ɔʁ ki atɑ̃ lεz- ɔnœʁ
diskuʁ melɔdʁamatikə e patetikə dœ̃ pʁεtʁə ki tjɛ̃ sa sibilə
fosə vəvə ki sε vwale la fasə, kaʃe su sɔ̃ nwaʁ paʁaplɥi
mɔʁ fatalə dy kɑ̃ diʁa tɔ̃, dε vwa basə, diskʁεtə ki ɛ̃tʁiɡ su lε kapəlinə
vizaʒə sɔ̃bʁə, bεllə ʁədɛ̃ɡɔtə su lε ʃapo, avεk dεz- iø sɛ̃ik
la lɑ̃tə desɑ̃tə dɑ̃ lεz- ɑ̃tʁajə, lə dεʁnje vwajaʒə, lyltimə εskapadə
pwaɲe də teʁə ki sekʁazə, plɥi də flœʁ kə lɔ̃ ʒεtə syʁ ynə pjeʁə tɔ̃balə
tʁistə vi, puʁ ynə εɡzistɑ̃sə leʒifeʁe
amuʁ pasjɔne dyplike dɑ̃ lə neɑ̃
staʁ dœ̃ mɔmɑ̃ ki sεt- eklipse
εkspatʁjasjɔ̃ tɑ̃pɔʁεllə puʁ lə banisəmɑ̃
Syllabes Phonétique : La Vie Fatalesuite
ɔ̃=ska=tə=œ̃=ka=ʁe=də=bʁi=kə=dɑ̃=zœ̃=ni=mə=blə=e=niɡ=ma=ti=kə=e=sɔ=li=tε=ʁə 24ɔ̃=sə=tε=ʁə=kɔ=mə=y=nə=vεʁ=mi=nə=puʁ=nə=plys=sa=vwaʁ=puʁ=nə=plys=sə=ʁə=kɔ=nε=tʁə 24
ɔ̃=tɔʁ=ʃə=œ̃=ʁu=ʒə=puʁ=fi=niʁ=la=nɥi=e=kɔ=mə=œ̃=ɡɔ=sə=pləʁ=ni=ʃe 20
syʁ=sɔ̃=sɔʁ=syʁ=œ̃=ply=maʁ=se=kεs=tʁe=ɑ̃=ne=ku=tɑ̃=lε=kla=kε=tə=də=fʁεd=as=tε=ʁə 23
ɔ̃=fεʁ=mə=lε=luʁ=də=po=pj=ε=ʁə=la=ɡə=lə=pɥɑ̃=lal=kɔl=ε=la=bj=ε=ʁə 21
tʁis=tə=vi=puʁ=y=nə=e=pa=və=kə=ʒə=sɥi=mε=za=ʃa=kœ̃=sε=pə=ti=tə=mi=zε=ʁə 23
la=ly=nə=blɑ̃=ʃə=se=fa=sə=ɛ̃=py=ne=mɑ̃=puʁ=fε=ʁə=pla=sə=a=la=ly=mj=ε=ʁə 23
nu=vεl=lə=ʒuʁ=ne=ki=sa=nɔ̃=sə=a=vεk=sε=ka=ta=klis=mə=ze=sε=ɡa=lε=ʁə 21
y=nə=ta=blə=də=te=ʁa=sə=dœ̃=tʁɔ=kε=bjɛ̃=ʃik=y=nə=mi=ɲɔ=nε=tə=ki=sɛ̃=pa=sjɑ̃=tə 24
ɔ̃=sa=ʁεtə=ɔ̃=la=ʒys=tə=ɔ̃=sɛ̃=vi=təa=sa=ta=blə=dø=ve=ʁə=is=twa=ʁə=də=fε=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃sə 26
bjɛ̃=tʁo=bεllə=dɑ̃=sa=ʁɔbə=də=ty=lə=εl=lə=pa=pɔ=tə=dε=mo=ste=ʁi=lə=syʁ=œ̃=vi=za=ʒə=də=də=mi=vjεʁʒə 28
lə=tɑ̃=se=ku=lə=sε=lɔʁ=lɔ=ʒə=dy=tɑ̃=ki=se=bʁɑ̃=lə=puʁ=lε=klo=ʃə=dε=pʁi=jεʁ 22
y=nə=ʃɑ̃=bʁə=do=tεl=dɑ̃=zœ̃=pə=ti=kaʁ=tj=e=kεl=kə=pø=dis=kʁε 18
ɔ̃=pa=sə=la=mɔ=nε=œ̃=nεs=ka=lj=e=bʁɑ̃=lɑ̃=y=nə=pɔʁ=tə=ki=sə=fεʁ=mə=a=kle 23
ʒys=tə=œ̃=li=puʁ=dø=kɔʁ=de=ny=de=dε=mi=lj=e=də=bε=ze=puʁ=sa=my=ze 21
la=kɔʁdə=dy=pɑ̃=dy=y=nə=ba=ti=sə=ki=ʁə=pʁɑ̃=vi=dø=zε=tʁə=ki=ɔ̃=fi=ni=paʁ=sε=me 24
œ̃=ma=tɛ̃=ɔ̃sə=lε=və=lə=vi=za=ʒə=e=pεʁ=dy=ɔ̃=sə=ʁə=ɡaʁ=də=dɑ̃=lə=mi=ʁwaʁ=i=nɔse 24
lə=tɑ̃=ze=lε=za=ne=zɔ̃=pa=se=kə=lɔ̃=sə=di=kə=nu=na=vɔ̃=plys=vɛ̃tɡ=ɑ̃ 20
a=lɔʁ=ɔ̃ʁə=vjɛ̃=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=e=ɔ̃=ʁə=ɡaʁ=də=lo=tʁə=ki=a=fi=ni=paʁ=nə=plys=zε=me 24
plys=də=sεk=sə=sɛ̃=bɔ=lə=də=fa=mə=ɡla=muʁ=la=muʁ=nu=zo=ʁa=kɔ̃=dan 19
ɔ̃=fi=ni=paʁ=vivʁə=lœ̃=sɑ̃=lo=tʁə=ɔ̃=sa=kʁo=ʃəa=sə=ki=ʁεs=tə=bjɛ̃=kə=lə=fil=tʁə=se=kajə 24
plys=də=mi=nə=fʁε=ʃə=u=də=pu=dʁə=də=sɔ=lεj=dɑ̃=lə=li=ɑ̃=ne=pu=vɑ̃=taj 21
ɔ̃=fi=ni=paʁ=nə=plys=sə=paʁ=le=dj=a=lɔɡ=də=suʁ=ɔ̃=si=ɲɔ=ʁə=dɑ̃=lə=ʁa=lə=bɔl 23
dy=nə=vi=ki=nε=plys=kœ̃=mo=vε=su=və=niʁ=ɔ̃=də=vj=ɛ̃=dε=zɔ̃=bʁə=ki=sɔm=nɔ=le 23
ynə=si=ɲa=ty=ʁə=dɑ̃=zœ̃=by=ʁo=pla=kə=dɔʁ=dø=nɔ̃=syʁ=y=nə=fœjə=də=pa=pje=ɑ̃=ta=ʃe=a=lɑ̃=kʁə=nwaʁə 28
pa=ynə=laʁ=mə=pa=œ̃=ʁə=ɡʁε=ɛ̃s=tɑ̃=fa=ta=lə=dy=nə=vi=ki=a=fi=ni=paʁ=de=ʁa=pe=syʁ=la=ʃose 27
ɔ̃=sə=ʁə=tʁu=və=a=vi=vʁə=səl=dɑ̃=zy=nə=si=te=dɔʁ=twaʁ=u=lε=ku=lœʁ=sə=fɔ̃=ʁa=ʁə 24
a=bɑ̃=dɔ=ne=a=sɔ̃=sɔʁ=de=pɔ=se=de=də=tu=kɔ=mə=dɑ̃=la=sεl=ly=lə=dœ̃=kɔ̃=dan 23
ynə=bu=tεjə=ki=sə=vi=də=al=kɔl=fʁə=la=te=dɑ̃=zœ̃=kɔʁ=ki=a=fi=ni=paʁ=sə=de=tuʁ=ne 24
də=la=vi=ma=te=ʁja=li=ze=maʁ=ʒi=na=li=za=sjɔ̃=dynəa=mə=ki=sε=tεʁ=ni=e=de=za=pʁu=ve 25
y=nə=nɥi=ɔp=sky=ʁə=sɑ̃=ly=nə=y=nə=de=tɔ=na=sjɔ̃=ʒys=tə=œ̃=pø=də=fy=me=blø=te 24
œ̃=tʁu=y=nə=ma=ʁə=də=sɑ̃=kɔ=a=ɡy=le=œ̃=kɔʁ=ki=ʒit=syʁ=la=ʃo=se 20
œ̃=na=tʁu=pə=mɑ̃=dε=fa=mə=dε=zɔ=mə=ki=se=tɔ=ne=ki=ɔ̃=pœ=ʁə 19
y=nə=bwa=tə=də=bwa=də=ʃε=nə=pwa=ɲe=ɑ̃=nɔʁ=ki=a=tɑ̃=lε=zɔ=nœ=ʁə 20
dis=kuʁ=me=lɔ=dʁa=ma=ti=kə=e=pa=te=ti=kə=dœ̃=pʁε=tʁə=ki=tj=ɛ̃=sa=si=bi=lə 23
fo=sə=və=və=ki=sε=vwa=le=la=fa=sə=ka=ʃe=su=sɔ̃=nwaʁ=pa=ʁap=lɥi 19
mɔʁ=fa=ta=lə=dy=kɑ̃=di=ʁa=tɔ̃=dε=vwa=ba=sə=dis=kʁε=tə=ki=ɛ̃=tʁiɡ=su=lε=ka=pə=linə 24
vi=za=ʒə=sɔ̃=bʁə=bεl=lə=ʁə=dɛ̃=ɡɔ=tə=su=lε=ʃa=po=a=vεk=dε=zi=ø=sɛ̃=ik 22
la=lɑ̃=tə=de=sɑ̃=tə=dɑ̃=lε=zɑ̃=tʁa=jə=lə=dεʁ=nje=vwa=ja=ʒə=lyl=ti=mə=εs=ka=pa=də 24
pwa=ɲe=də=te=ʁə=ki=se=kʁa=zə=plɥi=də=flœʁ=kə=lɔ̃=ʒε=tə=syʁ=y=nə=pje=ʁə=tɔ̃=ba=lə 24
tʁis=tə=vi=puʁ=y=nə=εɡ=zis=tɑ̃=sə=le=ʒi=fe=ʁe 14
a=muʁ=pa=sj=ɔ=ne=dy=pli=ke=dɑ̃=lə=ne=ɑ̃ 13
staʁ=dœ̃=mɔ=mɑ̃=ki=sε=te=klip=se 9
εk=spa=tʁj=a=sj=ɔ̃=tɑ̃=pɔ=ʁεl=lə=puʁ=lə=ba=ni=sə=mɑ̃ 16
Récompense
Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 31/07/2016 16:06
L'écrit contient 619 mots qui sont répartis dans 6 strophes.