Poème:Ma Lettre (Mal Être)

Ce n’est plus l’espoir qui me fait vivre, je n’obéis plus qu’à mon envie, je ne sais plus qui je suis. je ne sais plus sur qui compté, je suis dans le noir perdu ce soir, j’ai le cafard, je suis hagard, je regarde les étoiles mais elles ne brillent pas. Tout tourne autour de moi mais pourquoi je ne veux pas retourner sur terre ? il y a plus rien à faire, hors jeu de ma destiné, je suis seul pour affronter la réalité dont j’ai peur. Mon cœur saigne, succombe au charme de l’héroïne qui me fait voir la vie rose, mais lors du retour à la réalité je me scratche à des difficultés sentimentales, familiales, je prends une dose pour oublier. Les couleurs deviennent pâles, l’amour n’est plus vital et je le regrette.
J’ai tellement mal, je n’ai plus de repère, je désespère, je veux qu’on me délivre prisonnier de ce poison putain. Le sang de mes veines ne peut plus servir à rien, mon hémoglobine est pleine de cocaïne, il faut bien que j’y mette fin. Je ne ressens plus rien à part le besoin, mon regard s’éteint. Je voulais ma revanche, j’ai cru que le cauchemar était terminé mais il venait à peine de commencer.
Je croyais à un autre monde sans violence, mais tout ça n’est que mensonge. C’est vrai quand j’y songe cela me plonge dans un doux songe mais la différence en n’est que plus immense plus la souffrance est intense. Mon inconscience est la seule cause de ma déchéance, je suis prisonnier de ce cercle vicieux plus le temps passe plus je m’enfonce. Toute résistance est inutile face à ces substances faut se rendre à l’évidence j’ai perdu mon âme mais pas ma flamme ?
Je suis névrotique, mental cynique fin tragique, pas besoin de vos critiques pour savoir que ce que j’ai fait est dramatique. Il est tard mais ce soir, je comprend enfin mes tords mais n’est-il pas encore temps pour moi ? Je ne sais pas. J’ préfère mourir debout que d’ vivre à genoux, de vous à moi, quitte à tomber au contre coup, c’est un choix après tout. Je suis allé jusqu’au bout mais tu dis que tu es à bout ton absence, me laisse de la rancœur parce qu tu es celle à qui appartient mon cœur tes ma putain d’âme sœur. J’aurai jamais cru devoir essuyer autant de pleures. Je ressent un manque, j’ai des remords car Je T’aime encore je repense à ton corps tes lèvres tes cheveux tes beaux yeux bleu. Comme des saphirs me font souffrir. : quel dilemme ! Je sais que ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort, oui mais je suis déjà mort de désir, pour toi je me déchire. Nos caresse et nos béais au goût de miel qui me faisais poussé des ails, monté au ciel étais t’il réel ma belle princesse, j’i repense sans cesse, ma tu déjà oublié.
Pourquoi t’as voulu voir ce gars là ? Tu m’oublis comme ça, je rêvais de toi, je t’aurai aimé jusqu’à la dernière minute, mon but : ne jamais abandonner la lutte. Je ne sais pas si tu as déjà fait ton choix, mais serais-tu prête à laisser une chance à notre relation ? Dis-moi, même si tu n’arrives pas à supporter la distance, je suis conscient que ce n’est pas évident de ne pas être présent, je sais que je ne peux pas te donné autant de câlins que je voudrais. Que tu mérites mieux et mon unique vœu et que tu sois heureuse. La dernière chose à faire est de te respecter. Tu te poses des questions en ce moment mais la rose que tu as plantée dans mon cœur ne sera jamais fanée. Je suis désolé mais la réponse je ne l’ai pas. T’es la seule à avoir le pouvoir de savoir qu’est-ce qui est mieux pour toi, au plus profond de tes sentiments. Prends ton temps, réfléchis bien, je t’attends et ne me mens pas pour me faire plaisir, mais fait le en fonction de tes désirs.
Je serais toujours là si tu as besoin de moi, je parle sincèrement. Voilà, tu sais tout, je ne prends pas bien tout ça mais si c’est fini, accepter, c’est la dernière chose que je peux faire pour te remercier d’avoir étais là pour moi. Ce sont mes dernières paroles : « Prisca, JE T’AIME »… Ne l’oubli jamais.
Quentin.