Poème:Mes Larmes
Le Poème
Preuve que je n’avais pas versé
Toutes les larmes de mon corps le jour où l’on s’est quitté ;
Ca m’as rassuré car je pensais mettre vidé
Mais tu ne le méritais pas, quel intérêt de pleuré pour quelqu’un comme toi ?
Aucun…
Je pensais ne plus jamais pleuré… même de joie…
Alors je me sens mieux car je sais que je vivrais heureuse…
PostScriptum
Pour toi que j’ai aimé. . . et que j’aime peu ètre encore. . . .
Poète Alexia
Alexia a publié sur le site 148 écrits. Alexia est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète AlexiaSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Mes Larmes
au=jourd=hui=jai=pleu=ré 6preuve=que=je=na=vais=pas=ver=sé 8
toutes=les=lar=mes=de=mon=corps=le=jour=où=lon=sest=quit=té 14
ca=mas=ras=su=ré=car=je=pen=sais=mettre=vi=dé 12
mais=tu=ne=le=mé=ri=tais=pas=quel=in=té=rêt=de=pleu=ré=pour=quel=quun=comme=toi 20
au=cun 2
je=pen=sais=ne=plus=ja=mais=pleu=ré=même=de=joie 12
a=lors=je=me=sens=mieux=car=je=sais=que=je=vi=vrais=heu=reuse 15
Phonétique : Mes Larmes
oʒuʁdɥi ʒε pləʁe,pʁəvə kə ʒə navε pa vεʁse
tutə lε laʁmə- də mɔ̃ kɔʁ lə ʒuʁ u lɔ̃ sε kite,
ka ma ʁasyʁe kaʁ ʒə pɑ̃sε mεtʁə vide
mε ty nə lə meʁitε pa, kεl ɛ̃teʁε də pləʁe puʁ kεlkœ̃ kɔmə twa ?
okœ̃…
ʒə pɑ̃sε nə plys ʒamε pləʁe… mεmə də ʒwa…
alɔʁ ʒə mə sɑ̃s mjø kaʁ ʒə sε kə ʒə vivʁεz- œʁøzə…
Syllabes Phonétique : Mes Larmes
o=ʒuʁ=dɥi=ʒε=plə=ʁe 6pʁə=və=kə=ʒə=na=vε=pa=vεʁse 8
tutə=lε=laʁ=mə=də=mɔ̃=kɔʁ=lə=ʒuʁ=u=lɔ̃=sε=ki=te 14
ka=ma=ʁa=sy=ʁe=kaʁʒə=pɑ̃=sε=mε=tʁə=vi=de 12
mε=tynə=lə=me=ʁi=tε=pa=kεl=ɛ̃=te=ʁε=də=plə=ʁe=puʁ=kεl=kœ̃=kɔ=mə=twa 20
o=kœ̃ 2
ʒə=pɑ̃=sεnə=plys=ʒa=mε=plə=ʁe=mε=mə=də=ʒwa 12
a=lɔʁ=ʒə=mə=sɑ̃s=mjø=kaʁʒə=sε=kə=ʒə=vi=vʁε=zœ=ʁøzə 14
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
On ne peut jamais véritablement oublier les blessures profondes
Mais le temps permet de mieux les accepter, et de pouvoir alors
s’ouvrir à d’autres choses, d’autres rencontres, qui elles, permettront de
terminer les cicatrisations.
Garde courage
Amitiés
Et merci beaucoup pour ton com.
bref et clair, c’est joli merci pour ton comm. c’est vrai qu’on s’aime trop en fait on ne peut pas se séprer. amiti
joli poème
le temps attenu la douleur mais ne nous fait rien oublier, on doit continuer avec nos souvenirs, qu’il soient bons ou mauvais, qu’il fassent rire ou pleurer, avec le souvenir d’une personne qui nous a quitté et qu’on a tant aimé.
Biz
Je n’ai qu’une chose a dire, bravo, ton poeme est superbe
je t’admire aussi, encore merci pour tes coms
Je t’adore
kiss
La p’tite puce