Poème:Mon Amour

A toi qui ma ten aimer,
Se poème tes destiner,
Je t’aime tellement aimer,
Et tu me la sibien redonner,
Que se poème tes destiner.

Tu est partie une ci belle journée d’été,
Que je ne pouré j’amais l’oublier,
Tu été,
Si belle pendant cette journée,
Que je ne voyer,
Pas se qui m’arriver,
Tu est parite,
Beaucoup trop vite,
Ton regard si peiner,
De ne pas pouvoir nous enlacer,
Celà ma fait tellement pleuré,
C’étais si dure de te lesser,
Que j’ai faïlle m’axidenter.

Pour moi tu été,
Toute ma destiné,
Elle aver si bien commencer,
Que je n’aurais j’amais penser,
Que sa seré un jour terminer,
Mais pourtemp ces arriver,
Plus vite que je l’auré penser,
Mais si ces ma destiner,
Je doit l’accepter,
Et souffrire,
Sens j’amais rien dire,
Sens me confier,
N’y j’amais désespéré,
D’un jour pouvoir te réambrasser,
Dans mais bras te séré,
Pour ne plus te laisser,
A ma destiner,
Déjà toute traçcer,
Je t’aime et je n’est j’amais,
Cécé de t’aimer,
Tu est se que j’ai,
Toujour pu révé,
Sens toi mon esprit,
Est vunérable au aller a de la vie,
Qui pour l’instant ma j’amais réussi,
Je t’en suplie,
Promet moi de revenir,
Sinon autemp que âme j’aïsse,
De mon cœur meutri,
J’en’nest asser de soufrire,
Pour petétre j’amais,
Te retrouver,
A mais coté,
Ne plus pour pouvoir de dire que je t’aimer,
Au poind de mourire,
Pour te faire plaisir.

Moi ceul ces,
Se qui va m’arriver,
Ma mort peut aprocher,
Soit je la laisseré entrain,
Comme je pouréé la reopusser,
Je tes promis,
De ne pas mourire,
Rien que sa me fait soufrire,
De avoir que je ne pouré la tenir,
J’en suis désoler,
Mais j’ai trop pleuré,
Pour un amour que j’ai,
Toujour et que j’aurais,
Surment a j’amais,
Mais ma peine,
Pouré me faire changer,
Se qui auré,
Pour cause et effet,
De t’oublier,
Mais je ne pouré,
Le faire exprés.

Mon amour pour toi est a j’amais,
Encré dans mon âme de danner,
Mon amitier a trouver,
Un autre endroit ou loger,
Je ne pouré,
Lui faire se que tu ma fait,
Sinon je mouré,
Du trop lein de peine,
Que j’auré pu donner,
Tu ces que je t’adoré,
Et que je t’aimeré,
A j’aimais,
Si je pouré me tuer,
Je le fairait,
Mais on me suiveré,
Et je ne pouré,
J’amais accepter,
Que quelqu’un se s’acrifie a mais coté,
Surtous pour un amour passer.