Poème:Nouvel Espoir

Moi qui pensais ne plus pouvoir aimer
Je laissais mon âme en pleurs de côté,
Je me disais que jusqu’au bout je souffrirai
Et un peu plus chaque jour je m’enfonçais.

Jusqu’au jour où quelqu’un m’as pris pas la main
Et sans se poser de question m’a emmené au loin,
Loin du mal qui me ronge et du désespoir,
Loin des raideurs de l’âme et de ce gouffre noir.

Alors comme une fleur se posant sur mon cœur
Il m’as promis une vie douce et sans malheur,
Et c’est en le serrant dans mes bras que j’ai compris
Que le froid glacial entourant mon cœur avait périt.

Peu à peu je me dégage de la douleur qui m’emprisonne,
Je me libère de mes chaînes, je me contorsionne,
J’effleure le bonheur du doigt sans m’y abandonner,
Et en moi naît l’espoir d’être heureuse sans plus jamais chuter…