Poème:Seulement Quatre

J’ai écrit,
Un court moment de ma vie,
Presque le temps d’une journée,
En soleiler.

Première heure,
La plus horrible,
La moin crédible,
Car j’apprend que tu meurd,
Pourtand ce n’étais pas encore ton heure.

Deuxième heure,
Histoire de cœur,
Toujours pareille,
Je te quitte tu fais pareil,
Ont reste amie,
Pourtand une envie de chao,
Vient s’emparer de moi car sans tes mots,
Je suis seul, désenparer,
Entrain de pleurer.

Troixiéme heure,
Pas une seul ombres,
Dans ma chambre,
Qui est sombre,
Je ne sens plus mes membres,
Mais rien de grave,
Hier, trop d’alcool grave.

Quatrième heure,
Je ne suis pas tout a fait remise,
Mais pour un pari je hausse la mise,
Je prend ma voiture,
Je fonce à tout l’hallure,
Pour arriver jusqu’à un point,
Précis mais pas certain.

Il n’y eu jamais de cinquéme heure,
Car ce que je n’ai pas dit tout à l’heure,
C’est que j’ai périe,
Dans l’incendie qui a suivi,
L’accident de mon bolide,
Mais le simple souvenir de moi n’est pas rester vide,
Car lomptemps, peut-être trop lomtemps,
Allant presque jusqu’à cent ans,
Les gens ont raconter mon histoire,
Écrite mystérieusement dans un grimoire,
Par une personne inconnu,
Dont la seul chose que l’on sache c’est qu’elle vivait sur les troitoirs,
Et qu’elle est venu,
Sur le lieu de l’accident,
Écrir ce récit pour mes décendants.