Poème:Inavouables Pensees
Le Poème
Papillons sur le pré de l’imagination,
Leurs valses tissent la toile de nos désirs,
Voir ambitieuses, redessinent l’avenir.
Ebranlent la forteresse de la raison.
Ah ! Si nos pensées balisaient le chemin,
Rêves apprivoisés, belle utopie !
Jamais existée, la monotonie
Et toujours en accord du début à la fin
Charmeuses compagnes bercent l’insomnie,
Esquivent de couleurs le gris de la vie.
Mais de noirs présages, empêchent de rêver,
Sale lucidité, si dure à noyer.
Fugueuses par la bouche de la colère
Les griffes acides entaillent l’image
Sous la laine du mouton, germe la rage
Les pensées crachées, on un goût amer
Mais oui, ces vilains défauts je les ai gommés,
Toutes ces douces folies, j’en suis l’auteur
Il était si prometteur ce plein de bonheur !
Et toutes ces femmes, je les ai aimées.
Du ciel de ma tombe, drôle d’envolée ! ! !
Poète Antoine38
Antoine38 a publié sur le site 43 écrits. Antoine38 est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète Antoine38Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Inavouables Pensees
in=avou=a=bles=pen=se=es 7pa=pillons=sur=le=pré=de=li=ma=gi=na=ti=on 12
leurs=val=ses=tis=sent=la=toi=le=de=nos=dé=sirs 12
voir=am=bi=tieu=ses=re=des=si=nent=la=ve=nir 12
ebran=lent=la=for=te=res=se=de=la=rai=son 11
ah=si=nos=pen=sées=ba=li=saient=le=che=min 11
rê=ves=ap=pri=voi=sés=bel=le=u=to=pie 11
ja=mais=exis=tée=la=mo=no=to=nie 9
et=tou=jours=en=ac=cord=du=dé=but=à=la=fin 12
char=meu=ses=com=pa=gnes=ber=cent=lin=som=nie 11
es=qui=vent=de=cou=leurs=le=gris=de=la=vie 11
mais=de=noirs=pré=sa=ges=em=pê=chent=de=rê=ver 12
sa=le=lu=ci=di=té=si=du=re=à=noy=er 12
fu=gueu=ses=par=la=bou=che=de=la=co=lè=re 12
les=grif=fes=a=ci=des=en=tail=lent=li=ma=ge 12
sous=la=lai=ne=du=mou=ton=ger=me=la=ra=ge 12
les=pen=sées=cra=chées=on=un=goût=a=mer 10
mais=oui=ces=vi=lains=dé=fauts=je=les=ai=gom=més 12
tou=tes=ces=dou=ces=fo=lies=jen=suis=lau=teur 11
il=é=tait=si=pro=met=teur=ce=plein=de=bon=heur 12
et=tou=tes=ces=fem=mes=je=les=ai=ai=mées 11
du=ciel=de=ma=tom=be=drô=le=den=vo=lée 11
Phonétique : Inavouables Pensees
inavuablə pɑ̃sipapijɔ̃ syʁ lə pʁe də limaʒinasjɔ̃,
lœʁ valsə tise la twalə də no deziʁ,
vwaʁ ɑ̃bitjøzə, ʁədesine lavəniʁ.
εbʁɑ̃le la fɔʁtəʁεsə də la ʁεzɔ̃.
a ! si no pɑ̃se balizε lə ʃəmɛ̃,
ʁεvəz- apʁivwaze, bεllə ytɔpi !
ʒamεz- εɡziste, la monotɔni
e tuʒuʁz- ɑ̃n- akɔʁ dy deby a la fɛ̃
ʃaʁmøzə kɔ̃paɲə bεʁse lɛ̃sɔmni,
εskive də kulœʁ lə ɡʁi də la vi.
mε də nwaʁ pʁezaʒə, ɑ̃pεʃe də ʁεve,
salə lysidite, si dyʁə a nwaje.
fyɡøzə paʁ la buʃə də la kɔlεʁə
lε ɡʁifəz- asidəz- ɑ̃taje limaʒə
su la lεnə dy mutɔ̃, ʒεʁmə la ʁaʒə
lε pɑ̃se kʁaʃe, ɔ̃n- œ̃ ɡu ame
mεz- ui, sε vilɛ̃ defo ʒə lεz- ε ɡɔme,
tutə sε dusə fɔli, ʒɑ̃ sɥi lotœʁ
il etε si pʁɔmεtœʁ sə plɛ̃ də bɔnœʁ !
e tutə sε famə, ʒə lεz- ε εme.
dy sjεl də ma tɔ̃bə, dʁolə dɑ̃vɔle ! ! !
Syllabes Phonétique : Inavouables Pensees
i=na=vu=a=blə=pɑ̃=si 7pa=pi=jɔ̃=syʁ=lə=pʁe=də=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃ 12
lœʁ=val=sə=ti=sə=la=twa=lə=də=no=de=ziʁ 12
vwaʁ=ɑ̃=bi=tjø=zə=ʁə=de=si=ne=la=və=niʁ 12
ε=bʁɑ̃=le=la=fɔʁ=tə=ʁε=sə=də=la=ʁε=zɔ̃ 12
a=si=no=pɑ̃=se=ba=li=zε=lə=ʃə=mɛ̃ 11
ʁε=və=za=pʁi=vwa=ze=bεl=lə=y=tɔ=pi 11
ʒa=mε=zεɡ=zis=te=la=mo=no=tɔ=ni 10
e=tu=ʒuʁ=zɑ̃=na=kɔʁ=dy=de=by=a=la=fɛ̃ 12
ʃaʁ=mø=zə=kɔ̃=pa=ɲə=bεʁ=se=lɛ̃=sɔm=ni 11
εs=ki=ve=də=ku=lœ=ʁə=lə=ɡʁi=də=la=vi 12
mε=də=nwaʁ=pʁe=za=ʒə=ɑ̃=pε=ʃe=də=ʁε=ve 12
sa=lə=ly=si=di=te=si=dy=ʁə=a=nwa=je 12
fy=ɡø=zə=paʁ=la=bu=ʃə=də=la=kɔ=lε=ʁə 12
lε=ɡʁi=fə=za=si=də=zɑ̃=ta=je=li=ma=ʒə 12
su=la=lε=nə=dy=mu=tɔ̃=ʒεʁ=mə=la=ʁa=ʒə 12
lε=pɑ̃=se=kʁa=ʃe=ɔ̃=nœ̃=ɡu=a=meʁ 10
mε=zu=i=sε=vi=lɛ̃=de=foʒə=lε=zε=ɡɔ=me 12
tu=tə=sε=du=sə=fɔ=li=ʒɑ̃=sɥi=lo=tœ=ʁə 12
il=e=tε=si=pʁɔ=mε=tœʁ=sə=plɛ̃=də=bɔ=nœʁ 12
e=tu=tə=sε=fa=mə=ʒə=lε=zε=ε=me 11
dy=sjεl=də=ma=tɔ̃=bə=dʁo=lə=dɑ̃=vɔ=le 11
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
Merci de ton passage "L’éraflure", tu as sans doute raison, c’est une poésie pas trop accomplie, écrite
très vite, je suis un piètre technicien de la poésie.
J’aime beaucoup les métaphores et j’écris rarement au premier degré.
J’apprécie tes critiques constructives.
Amitiés
Est-ce mieux ainsi ?
INAVOUABLES PENSEES
Papillons sur le pré de l’imagination,
Leurs valses tissent la toile de nos désirs.
Les ambitieuses, redessinent l’avenir
Et ébranlent la forteresse de la raison.
Ah ! Si nos pensées balisaient le chemin,
Rêves apprivoisés, belle utopie !
Evaporée à jamais la monotonie
Et toujours en accord du début à la fin
Mais de noirs présages, empêchent de rêver,
Charmeuses compagnes bercent l’insomnie,
Esquissent de couleurs le gris de la vie.
Sale lucidité, si dure à noyer.
Fugueuses par la bouche de la colère
Les griffes acides entaillent l’image
Sous la laine du mouton, germe la rage
Les pensées crachées, on un goût amer
Mais oui, ces vilains défauts je les ai gommés,
Toutes ces douces folies, j’en suis l’auteur
Il était si prometteur ce plein de bonheur !
Et toutes ces femmes, je les ai aimées.
Du ciel de ma tombe, drôle d’envolée !!!

Bravo pour ce très joli poème bien dit et bien inspiré....Mes amitiés.