Poème:Toujours Tords

Parfois dans son émoi,
Le corps ne sent pas,
La douleur, la Douleur,

Parfois dans sa douleur,
Le cœur perd la notion,
De l’erreur, de l’Erreur…

Avancer dans le noir,
Car tu ne m’aime pas,
J’ai fait tomber trop d’amants,
Qui ne le savaient pas,
Avancer, même hagard,
Jusqu’à sentir mes pas,
S’enfoncer bien trop vivants,
Dans ce que je ne sais pas… pas encore…

Mais que j’avance ou pas,
Vers l’Eternel,
Je ne recule pas,
Et j’appelle, j’appelle,
Et je décide d’arrêter ;
De faire du mal a l’autre,
Je me pose et je fais,
Vibrer ce qu’on m’apporte…

Je suis en chair et en autarcie complète…
Fixe.

Parfois le corps est mort,
Alors que le cœur dort,
Tout le jour, tout les jours,

Parfois l’espoir s’endort,
Le cœur as toujours tord,
C’est l’amour, c’est l’Amour…

Et pleurer tout les soir,
Quand il ne m’entend pas,
C’est facile car il l’attend,
Mais il ne le sent pas,
Et pleurer sous les fards,
Faites qu’il ne coule pas,
J’ai les yeux clairs pourtant,
Mes larmes ne se voient pas… Est ce un tord ?

Mais que j’avance ou pas,
Vers l’Eternel,
Je ne recule pas,
Et j’appelle, j’appelle,
Et je décide d’arrêter ;
De faire du mal a l’autre,
Je me pose et je fais,
Vibrer ce qu’on m’apporte…

Je suis en chair et en autarcie complète…
Stop.