Poème:Mon Regret.

On à vécu la beauté,
L’amour immaculé,
Ta vie que l’on rêvait,
Nos âmes qu’on aimait,

Tant de fois ou l’amour
Allait, venait, toujours,
Entre rêve et détours,
Combien de haine, d’émoi,
Qui sont les mêmes parfois,
D’amours et de débats ?

Combien de vols à deux,
Où l’on voyait le feu,
Reprendre la flamme bleue,
Puis se noyer dans nos yeux… ?

Jusqu’à l’heur ou tu à dis « stop,
Je t’aime, mais je veux plus
Connaître tes coups d’estoc,
Tes lames et larmes me tuent… »

Tu m’a dit « On s’arête,
On tourne nos planètes,
Détourne les hémisphères,
Je veux plus t’laisser faire… »

Les mots que j’aimais tant manier,
Sont devenues araignées
Dans mon plafond troué,

C’est là que j’ai délaissé,
La douce rousse torturée,
J’ai voulu décaler…

La couleur de mes yeux,
Que tu trouvais si beaux,
Est venue se noyer,
Dans mes eaux salées,

J’ai senti se briser mon cœur,
Dans tes yeux que je n’avais jamais vus,
Et mon corps dans tes heurs,
Déjà se sentais nu.

Bien sur que j’en ai aimé d’autres,
Ou du moins apprécié,
Leur goût de hyacinthe forte,
Pour masquer mes regrets…

Bien sur les amours mortes
Peuvent etre dites passées,
Mais j’frappais à ta porte,
Pour voir mes ratés…

J’ai d’mander à Marine,
Par Loupetitart,
De m’dire ou tu rime,
De me dire ou tu pars…

Je lui ai demandé,
Et je lui ai promis,
De ne pas t’embêter,
Si elle n’avait rien dit…

Tu à ouvert ta porte,
Les yeux étonnés,
Tu à plissé les yeux,
« Oui, je sais, j’ai changé… »

Ma voix à résonné,
Dans la hall d’entré,
Ta main à effleuré
Cette joue que tu reconnaissait…

Alors tu à fermé les yeux,
T’es tombé dans mes bras,
T’a senti mon parfum,
Tu m’a dit « Enfin là… »

J’ai répondu « bien sur,
Je te l’avais promis,
Avant 20 ans, ici,
J’veux entendre tes murmures… »

J’ai sorti de mon dos un
Beau bouquet de roses,
D’œillets et de jasmin,
« Pour toutes les ecchymoses… »

C’est là que tes yeux on pleuré,
Et tu m’a dit merci,
Tu à voulu parlé,
Mais moi je suis sorti.

Tu ù’a rejoint tout de suite,
Je t’ai dis « on y va ? »
Tu m’a dis « 30 secondes,
J’ai dit » dépêche toi… «
Tu à tue ma faconde,
D’un baiser comme une fuite…

Et je savais déjà
Qu’il n’y avait que toi,
Je t’aime et je le sais,
Comment t’ai-je quitté ?

T’est ressort dans l’instant,
Un jean tout taché de temps,
Taché de notre sceau,
Un jean délave, recousu,
Sur lequel on avait rapiécé,
Un trou de Marlboro,
Un trou, comme une issue,
Qu’un petit diable à rebouché…

J’ai rougi, un p’tit peux,
Je bredouille un » t’es beaux «,
Je croise tes grands yeux,
Et j’éclate en sourire…

J’ouvre la portière de la voiture bleue,
Tu entre ma vie future,
Nous allons au café,
Tu dis » chuuuuuutttt ! ! ! ! « quant tu me plais…

Là je suis dans ma chambre, ,
Mylène dit » Souvient-toi ! "
J’anticipe le jour ou je serait à toi,
Mon miroir se marbre
D’un regard amoureux,
Je me souvient du jour ou nous étions à deux…

Alors je prend une feuille,
Ainsi que mon stylo,
Je fantasme ce rêve en ce qu’il à de plus beau… .

Je fais sortir de moi,
Je vomis tout mes maux,
Dans ma gorge mon stylo,
Car ça n’sont plus mes doigts… .

Tu est mon seul regret
En amour j’ai perdu
Uniquement contre toi, il faut qu’je m’habitue…

Faire ce genre de deuil,
Remplire ce genre de feuille,
Est une thérapie,
Je suis avec un homme que j’aime… aussi…

Viendrais-je un jour te voir,
Serais-je un jour à toi ?
Mes délires illusions ici sont-ils pour toi ?

A qui appartient, dis,
A toi, à moi, à lui,
Le mouvement de mon cœur,
Les mouvements de mes nuits…

Ça y est, j’ai fini de vomir,
Et vous finissait les derniers
Morceaux de dégueulis,
J’avais besoin de faire ceci…