Poème:Les Predateurs

Nuit tardif un fau rencard d’amis,
Papa, Maman trompe par l’habitude et fatigue.
La realite c’est une nuit d’enfer en disco,
Avec des copains amicale sous l’effet de musique.
Prend tout ca immerge et abassourdis,
Bouche ouverte l’expression bien trop naif.
Pas longtemps qu’un gadjo demande,
Tu dis oui et te perd dans ce bonheur fictive.
Les heures passe jusqu’a ce que la teuf s’acheve,
Jusqu’ici saoule et on dirait aveugle.
Profondeur d’un trou de coquins lapins,
Alice sans merveillles se defonce sa gueule.
Portes de voitures s’ouvre et se referme,
Sans fou completement d’ou elle va.
S’eveille sans vetements sur un trottoir,
Sans memoires juste du rouge au bras.
Maintenant, quelque semaines passe apres,
Aucune nouvelle du butain de Zorro.
Tu saigne et lamente des larmes de martire,
Merci a lui un ventre plat se rend gros.
Un enfant est en train de se prepare,
Je sais pas pour qui pleure le plus ?
Toi ou l’enfance de ton enfant,
Ou les rumeurs d’une pute decorant le bus ?
La justice elle le laisse marche libre,
Trop degueulasse mais vrai ma sœure.
Je juge pas mais j’avertie juste quiconque,
Se croit etre depourvu de predateurs.