Poème:… Pas Un Père, Un Géniteur…

Pour toi tout te semble normal,
Normal de me voir au bout de 8ans
Normal que je t’adresse la parole.
Et ben non, je ne peux pas
Je pne peux même plus te regarder en face
Sans avoir peur, sans éprouver un sentiment
De méprit en ton égars.
Je ne peux pas te parler
Sans ressentir le besoin de verser des larmes.

Au bout de 8années
Tu reviens espérant un sourire de moi,
Toi qui la fait tellement souffrir,
Tellement pleurer.
Je n’avais que 4ans tu sais,
A cet âge on est encore naïf
On a jamais entendu le mot « dépression »
Mais pourtant moi, à 4ans,
J’en connaissais déjà le sens.
Tu sais à l’école on me disais :
« Il fait quoi dans la vie ton papa ? ? »
Et ma seule réponse était :
« Je n’ai pas de papa ».

A présent, le mot que tous les enfants prononcent
C’est arracher de ma bouche,
Jamais plus je ne pourai le prononcer
Car tu n’est pas un père, juste un géniteur.
Malgrès toutes tes belles paroles,
Malgrès ton tatouage sur le bras,
Rien ne pourra jamais te pardonner.
J’ai bien trop souffert,
Et à cause de toi mon cœur est remplie de haine.

Biensûr maman c’est bien occuper de moi,
Elle m’a offert tout ce qu’elle pouvait me donner
Mais surtout elle m’a donner son amour.
Mais même avec tout cela
Il me manquait quelque chose
Et ce quelque chose c’est toi.
Jamais je n’ai eu la chance de vous entendre vous dire « je t’aime »
Mais par contre j’ai pu voir
Avec quelle force tu la frappais.
J’ai trop d’image négative dans ma tête.
Elle t’aimais de tout son être
Elle aurai tout fait pour toi
Mai tut’enfoutais,
Tu ne pensais qu’à la baiser.
Et donc arriva ce qui arriva,
C’est à dire moi.
Le jour où tu a appris quelle était enceinte
Tu lui a demandé de faire,
Un chose horrible pour une mère
C’est à dire me tuer
Alors que je n’était qu’un embryon.
Et maintenant tu reviens
Prétendant m’aimer
Alors que je ne sais même pas
Si tu connais le sens de se mot.
Tu dit ne m’avoir jamais oublier,
Mais c’est trop simple, bien trop simple
Car mon cœur est blessé à jamais.

Tu vois c’est pour tout cela que
Je ne t’aimerai JAMAIS ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !