Poème:Le Fantôme De L’opéra (Duo Avec Sally)
Le Poème
Tiens… Il sonne le glas…
Une note après l’autre, le clavier d’un piano s’anime
Voilà les antiques touches qui s’enfoncent, en rythme.
Une mélodie compliquée aux sons cristallins,
Une merveille presque inquiétante qui se joue. . sans mains.
Sur scène, je cesse ma vocalise, attirée par cette mélodie
J’ignore d’où elle émane, peut-être derrière ces épais murs
Elle est d’une tristesse comme si elle rouvre des blessures
Je ferme les yeux, j’écoute cette magnifique ballade à la vie
On m’avais révélé qu’un ange hanté cet endroit par son esprit
Non ! Il ne faut pas cesser cette chanson lyrique. .
Mes doigts courent de plus belle sur un clavier amputé
De quelques touches noirâtre, quelques dièses manquants.
Et je joue un lamento à l’amour, l’invitant, en un chant,
A faire vibrer les nuances que l’on pourrait jalouser
D’une voix exceptionnelle qui jamais n’a aimé.
Au début de ma carrière, je ressentais une présence près de moi
Ce fantôme me soutenait afin d’améliorer mon timbre de voix
Par ces douces romances, je me perfectionnais toutes les nuits
Il m’a toujours accompagné, me donnant des précieux conseils
Avec ce chuchotement harmonieux au creux de mon oreille
J’éprouve des sentiments par sa gentillesse et sa galanterie
De ses expressions tel un séduisant gentleman d’autrefois.
Voici le concerto, de mes doigts en un jeu.
Rongé par une soudaine fièvre dévastatrice,
Je joue de plus belle pour la juvénile actrice
Du piège rusé enchaînant mon cœur douloureux…
Et le son de sa voix discerne des sentiment
Que jamais je n’aurais pu croire ainsi m’habitant.
Je distingue au fond de cette scène, une ombre, celle de mon ange
Je m’approche lentement vers lui, pouvoir contempler son visage
Il recule, tourne sa tête de moi, il pense qu’il n’est pas un humain
Avec les yeux de l’amour, je le contemple tendrement sans fin
Ses traits divins à moitié camouflé par un masque blanc d’arlequin
Je voudrais la toucher, un peu caresser
Ses lèvres rubis, pulpeuse de reflets…
Réalité accablante, phénomène pesant,
Pourquoi faudrait-t-il renoncer à l’amante
Si aimante mais quelques peu différente ?
Comment aimer sans touché ?
Ne pas osé affectionner ?
Voir une mélodie si vite désuète…
Un préjugé que l’on regrette ?
Trop de différence…
(Les notes se brisent une à une, l’artiste est seul sur scène. )
Une note après l’autre, le clavier d’un piano s’anime
Voilà les antiques touches qui s’enfoncent, en rythme.
Une mélodie compliquée aux sons cristallins,
Une merveille presque inquiétante qui se joue. . sans mains.
Sur scène, je cesse ma vocalise, attirée par cette mélodie
J’ignore d’où elle émane, peut-être derrière ces épais murs
Elle est d’une tristesse comme si elle rouvre des blessures
Je ferme les yeux, j’écoute cette magnifique ballade à la vie
On m’avais révélé qu’un ange hanté cet endroit par son esprit
Non ! Il ne faut pas cesser cette chanson lyrique. .
Mes doigts courent de plus belle sur un clavier amputé
De quelques touches noirâtre, quelques dièses manquants.
Et je joue un lamento à l’amour, l’invitant, en un chant,
A faire vibrer les nuances que l’on pourrait jalouser
D’une voix exceptionnelle qui jamais n’a aimé.
Au début de ma carrière, je ressentais une présence près de moi
Ce fantôme me soutenait afin d’améliorer mon timbre de voix
Par ces douces romances, je me perfectionnais toutes les nuits
Il m’a toujours accompagné, me donnant des précieux conseils
Avec ce chuchotement harmonieux au creux de mon oreille
J’éprouve des sentiments par sa gentillesse et sa galanterie
De ses expressions tel un séduisant gentleman d’autrefois.
Voici le concerto, de mes doigts en un jeu.
Rongé par une soudaine fièvre dévastatrice,
Je joue de plus belle pour la juvénile actrice
Du piège rusé enchaînant mon cœur douloureux…
Et le son de sa voix discerne des sentiment
Que jamais je n’aurais pu croire ainsi m’habitant.
Je distingue au fond de cette scène, une ombre, celle de mon ange
Je m’approche lentement vers lui, pouvoir contempler son visage
Il recule, tourne sa tête de moi, il pense qu’il n’est pas un humain
Avec les yeux de l’amour, je le contemple tendrement sans fin
Ses traits divins à moitié camouflé par un masque blanc d’arlequin
Je voudrais la toucher, un peu caresser
Ses lèvres rubis, pulpeuse de reflets…
Réalité accablante, phénomène pesant,
Pourquoi faudrait-t-il renoncer à l’amante
Si aimante mais quelques peu différente ?
Comment aimer sans touché ?
Ne pas osé affectionner ?
Voir une mélodie si vite désuète…
Un préjugé que l’on regrette ?
Trop de différence…
(Les notes se brisent une à une, l’artiste est seul sur scène. )
Poète Ayato
Ayato a publié sur le site 23 écrits. Ayato est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète AyatoSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Fantôme De L’opéra (Duo Avec Sally)
tiens=il=son=ne=le=glas 6u=ne=no=te=a=près=lau=tre=le=cla=vier=dun=pia=no=sa=nime 16
voi=là=les=an=ti=ques=tou=ches=qui=sen=fon=cent=en=rythme 14
u=ne=mé=lo=die=com=pli=quée=aux=sons=cris=tal=lins 13
une=mer=vei=lle=pres=que=in=qui=é=tan=te=qui=se=joue=sans=mains 16
sur=s=cène=je=ces=se=ma=vo=ca=li=se=at=ti=rée=par=cet=te=mé=lo=die 20
ji=gnore=doù=elleé=ma=ne=peut=tê=tre=der=riè=re=ces=é=pais=murs 16
elle=est=dune=tris=tes=se=com=me=si=el=le=rou=vre=des=bles=sures 16
je=ferme=les=yeux=jé=cou=te=cet=te=ma=gni=fi=que=bal=la=deà=la=vie 18
on=ma=vais=ré=vé=lé=quun=ange=han=té=cet=en=droit=par=son=es=prit 17
non=il=ne=faut=pas=ces=ser=cet=te=chan=son=ly=rique 13
mes=doigts=cou=rent=de=plus=bel=le=sur=un=cla=vi=er=am=pu=té 16
de=quel=ques=tou=ches=noi=râ=tre=quel=ques=di=è=ses=man=quants 15
et=je=joue=un=la=men=to=à=la=mour=lin=vi=tant=en=un=chant 16
a=fai=re=vi=brer=les=nuan=ces=que=lon=pour=rait=ja=lou=ser 15
du=ne=voix=ex=cep=ti=on=nel=le=qui=ja=mais=na=ai=mé 15
au=dé=but=de=ma=car=rière=je=res=sen=tais=u=ne=pré=sen=ce=près=de=moi 19
ce=fan=tôme=me=sou=te=nait=a=fin=da=mé=lio=rer=mon=tim=bre=de=voix 18
par=ces=douces=ro=man=ces=je=me=per=fec=tion=nais=tou=tes=les=nuits 16
il=ma=tou=jours=ac=com=pa=gné=me=don=nant=des=pré=cieux=con=seils 16
a=vec=ce=chu=cho=te=ment=har=mo=nieux=au=creux=de=mon=o=reille 16
jé=prouve=des=sen=ti=ments=par=sa=gen=tilles=seet=sa=ga=lan=te=rie 16
de=ses=ex=pres=sions=tel=un=sé=dui=sant=gent=le=man=dau=tre=fois 16
voi=ci=le=con=cer=to=de=mes=doigts=en=un=jeu 12
ron=gé=par=u=ne=sou=dai=ne=fi=è=vre=dé=vas=ta=tri=ce 16
je=joue=de=plus=bel=le=pour=la=ju=vé=ni=le=ac=tri=ce 15
du=pi=è=ge=ru=sé=en=chaî=nant=mon=cœur=dou=lou=reux 14
et=le=son=de=sa=voix=dis=cer=ne=des=sen=ti=ment 13
que=ja=mais=je=nau=rais=pu=croi=re=ain=si=m=ha=bi=tant 15
je=dis=tin=gueau=fond=de=cette=s=cè=ne=u=ne=ombre=cel=le=de=mon=ange 18
je=map=proche=len=te=ment=vers=lui=pou=voir=con=tem=pler=son=vi=sage 16
il=re=cule=tour=ne=sa=tê=te=de=moi=il=pen=se=quil=nest=pas=un=hu=main 19
a=vec=les=yeux=de=la=mour=je=le=con=tem=ple=tendre=ment=sans=fin 16
ses=traits=di=vins=à=moi=tié=ca=mou=flé=par=un=mas=que=blanc=dar=le=quin 18
je=vou=drais=la=tou=cher=un=peu=ca=res=ser 11
ses=lè=vres=ru=bis=pul=peu=se=de=re=flets 11
ré=a=li=té=ac=ca=blan=te=phé=no=mè=ne=pe=sant 14
pour=quoi=fau=drait=t=il=re=non=cer=à=la=man=te 13
si=ai=man=te=mais=quel=ques=peu=dif=fé=ren=te 12
com=ment=ai=mer=sans=tou=ché 7
ne=pas=o=sé=af=fec=ti=on=ner 9
voir=u=ne=mé=lo=die=si=vi=te=dé=suè=te 12
un=pré=ju=gé=que=lon=re=gret=te 9
trop=de=dif=fé=ren=ce 6
les=notes=se=bri=sent=u=neà=u=ne=lar=tis=te=est=seul=sur=s=cène 18
Phonétique : Le Fantôme De L’opéra (Duo Avec Sally)
tjɛ̃… il sɔnə lə ɡla…ynə nɔtə apʁε lotʁə, lə klavje dœ̃ pjano sanimə
vwala lεz- ɑ̃tik tuʃə ki sɑ̃fɔ̃se, ɑ̃ ʁitmə.
ynə melɔdi kɔ̃plike o sɔ̃ kʁistalɛ̃,
ynə mεʁvεjə pʁεskə ɛ̃kjetɑ̃tə ki sə ʒu. sɑ̃ mɛ̃.
syʁ sεnə, ʒə sεsə ma vɔkalizə, atiʁe paʁ sεtə melɔdi
ʒiɲɔʁə du εllə emanə, pø tεtʁə dəʁjεʁə sεz- epε myʁ
εllə ε dynə tʁistεsə kɔmə si εllə ʁuvʁə dε blesyʁə
ʒə fεʁmə lεz- iø, ʒekutə sεtə maɲifikə baladə a la vi
ɔ̃ mavε ʁevele kœ̃n- ɑ̃ʒə-ɑ̃te sεt ɑ̃dʁwa paʁ sɔ̃n- εspʁi
nɔ̃ ! il nə fo pa sese sεtə ʃɑ̃sɔ̃ liʁikə.
mε dwa kuʁe də plys bεllə syʁ œ̃ klavje ɑ̃pyte
də kεlk tuʃə nwaʁatʁə, kεlk djεzə mɑ̃kɑ̃.
e ʒə ʒu œ̃ lamɑ̃to a lamuʁ, lɛ̃vitɑ̃, ɑ̃n- œ̃ ʃɑ̃,
a fεʁə vibʁe lε nɥɑ̃sə kə lɔ̃ puʁʁε ʒaluze
dynə vwa εksεpsjɔnεllə ki ʒamε na εme.
o deby də ma kaʁjεʁə, ʒə ʁəsɑ̃tεz- ynə pʁezɑ̃sə pʁε də mwa
sə fɑ̃tomə mə sutənε afɛ̃ dameljɔʁe mɔ̃ tɛ̃bʁə də vwa
paʁ sε dusə ʁɔmɑ̃sə, ʒə mə pεʁfεksjɔnε tutə lε nɥi
il ma tuʒuʁz- akɔ̃paɲe, mə dɔnɑ̃ dε pʁesjø kɔ̃sεj
avεk sə ʃyʃɔtəmɑ̃-aʁmɔnjøz- o kʁø də mɔ̃n- ɔʁεjə
ʒepʁuvə dε sɑ̃timɑ̃ paʁ sa ʒɑ̃tijεsə e sa ɡalɑ̃təʁi
də sεz- εkspʁesjɔ̃ tεl œ̃ sedɥizɑ̃ ʒɑ̃tləmɑ̃ dotʁəfwa.
vwasi lə kɔ̃sεʁto, də mε dwaz- ɑ̃n- œ̃ ʒø.
ʁɔ̃ʒe paʁ ynə sudεnə fjεvʁə devastatʁisə,
ʒə ʒu də plys bεllə puʁ la ʒyvenilə aktʁisə
dy pjεʒə ʁyze ɑ̃ʃεnɑ̃ mɔ̃ kœʁ duluʁø…
e lə sɔ̃ də sa vwa disεʁnə dε sɑ̃timɑ̃
kə ʒamε ʒə noʁε py kʁwaʁə ɛ̃si mabitɑ̃.
ʒə distɛ̃ɡ o fɔ̃ də sεtə sεnə, ynə ɔ̃bʁə, sεllə də mɔ̃n- ɑ̃ʒə
ʒə mapʁoʃə lɑ̃təmɑ̃ vεʁ lɥi, puvwaʁ kɔ̃tɑ̃ple sɔ̃ vizaʒə
il ʁəkylə, tuʁnə sa tεtə də mwa, il pɑ̃sə kil nε pa œ̃n- ymɛ̃
avεk lεz- iø də lamuʁ, ʒə lə kɔ̃tɑ̃plə tɑ̃dʁəmɑ̃ sɑ̃ fɛ̃
sε tʁε divɛ̃z- a mwatje kamufle paʁ œ̃ maskə blɑ̃ daʁləkɛ̃
ʒə vudʁε la tuʃe, œ̃ pø kaʁese
sε lεvʁə- ʁybi, pylpøzə də ʁəflε…
ʁealite akablɑ̃tə, fenɔmεnə pəzɑ̃,
puʁkwa fodʁε te il ʁənɔ̃se a lamɑ̃tə
si εmɑ̃tə mε kεlk pø difeʁɑ̃tə ?
kɔmɑ̃ εme sɑ̃ tuʃe ?
nə pa oze afεksjɔne ?
vwaʁ ynə melɔdi si vitə dezyεtə…
œ̃ pʁeʒyʒe kə lɔ̃ ʁəɡʁεtə ?
tʁo də difeʁɑ̃sə…
(ləs nɔtə sə bʁize ynə a ynə, laʁtistə ε səl syʁ sεnə. )
Syllabes Phonétique : Le Fantôme De L’opéra (Duo Avec Sally)
tj=ɛ̃=il=sɔ=nə=lə=ɡla 7y=nə=nɔ=tə=a=pʁε=lo=tʁə=lə=kla=vje=dœ̃=pja=no=sa=nimə 16
vwa=la=lε=zɑ̃=tik=tu=ʃə=ki=sɑ̃=fɔ̃=se=ɑ̃=ʁit=mə 14
y=nə=me=lɔ=di=kɔ̃=pli=ke=o=sɔ̃=kʁis=ta=lɛ̃ 13
y=nə=mεʁ=vε=jə=pʁεs=kə=ɛ̃=kje=tɑ̃=tə=ki=sə=ʒu=sɑ̃=mɛ̃ 16
syʁ=sεnə=ʒə=sε=sə=ma=vɔ=ka=li=zə=a=ti=ʁe=paʁ=sε=tə=me=lɔ=di 19
ʒi=ɲɔʁə=du=εlləe=ma=nə=pø=tε=tʁə=də=ʁjε=ʁə=sε=ze=pε=myʁ 16
εllə=ε=dynə=tʁis=tε=sə=kɔ=mə=si=εl=lə=ʁu=vʁə=dε=ble=syʁə 16
ʒə=fεʁmə=lε=ziø=ʒe=ku=tə=sε=tə=ma=ɲi=fi=kə=ba=la=dəa=la=vi 18
ɔ̃=ma=vε=ʁe=ve=le=kœ̃=nɑ̃=ʒə-ɑ̃=te=sεt=ɑ̃=dʁwa=paʁ=sɔ̃=nεs=pʁi 18
nɔ̃=il=nə=fo=pa=se=se=sε=tə=ʃɑ̃=sɔ̃=li=ʁi=kə 14
mε=dwa=ku=ʁe=də=plys=bεl=lə=syʁ=œ̃=kla=vj=e=ɑ̃=py=te 16
də=kεl=kə=tu=ʃə=nwa=ʁa=tʁə=kεlk=dj=ε=zə=mɑ̃=kɑ̃ 14
e=ʒə=ʒu=œ̃=la=mɑ̃=to=a=la=muʁ=lɛ̃=vi=tɑ̃=ɑ̃=nœ̃=ʃɑ̃ 16
a=fε=ʁə=vi=bʁe=lε=nɥɑ̃=sə=kə=lɔ̃=puʁ=ʁε=ʒa=lu=ze 15
dy=nə=vwa=εk=sεp=sj=ɔ=nεl=lə=ki=ʒa=mε=na=ε=me 15
o=de=bydə=ma=ka=ʁjε=ʁə=ʒə=ʁə=sɑ̃=tε=zy=nə=pʁe=zɑ̃=sə=pʁε=də=mwa 19
sə=fɑ̃=tomə=mə=su=tə=nε=a=fɛ̃=da=me=ljɔ=ʁe=mɔ̃=tɛ̃=bʁə=də=vwa 18
paʁ=sε=dusə=ʁɔ=mɑ̃=sə=ʒə=mə=pεʁ=fεk=sjɔ=nε=tu=tə=lε=nɥi 16
il=ma=tu=ʒuʁ=za=kɔ̃=pa=ɲe=mə=dɔ=nɑ̃=dε=pʁe=sjø=kɔ̃=sεj 16
a=vεk=sə=ʃy=ʃɔtə=mɑ̃-aʁ=mɔ=njø=zo=kʁø=də=mɔ̃=nɔ=ʁε=jə 16
ʒe=pʁuvə=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=paʁ=sa=ʒɑ̃=ti=jε=səe=sa=ɡa=lɑ̃=tə=ʁi 17
də=sε=zεk=spʁe=sjɔ̃=tεl=œ̃=sed=ɥi=zɑ̃=ʒɑ̃=tlə=mɑ̃=do=tʁə=fwa 16
vwa=si=lə=kɔ̃=sεʁ=to=də=mε=dwa=zɑ̃=nœ̃=ʒø 12
ʁɔ̃=ʒe=paʁ=y=nə=su=dε=nə=fj=ε=vʁə=de=vas=ta=tʁis=ə 16
ʒə=ʒu=də=plys=bεl=lə=puʁ=la=ʒy=ve=ni=lə=ak=tʁis=ə 15
dy=pj=ε=ʒə=ʁy=ze=ɑ̃=ʃε=nɑ̃=mɔ̃=kœ=ʁə=du=lu=ʁø 15
e=lə=sɔ̃=də=sa=vwa=di=sεʁ=nə=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃ 13
kə=ʒa=mε=ʒə=no=ʁε=py=kʁwa=ʁə=ɛ̃=si=ma=bi=tɑ̃ 14
ʒə=dis=tɛ̃ɡ=o=fɔ̃də=sε=tə=sε=nə=y=nəɔ̃bʁə=sεl=lə=də=mɔ̃=nɑ̃ʒə 16
ʒə=ma=pʁoʃə=lɑ̃=tə=mɑ̃=vεʁ=lɥi=pu=vwaʁ=kɔ̃=tɑ̃=ple=sɔ̃=vi=zaʒə 16
il=ʁə=kylə=tuʁ=nə=sa=tε=tə=də=mwa=il=pɑ̃=sə=kil=nε=pa=œ̃=ny=mɛ̃ 19
a=vεk=lε=zi=ødə=la=muʁ=ʒə=lə=kɔ̃=tɑ̃=plə=tɑ̃=dʁə=mɑ̃=sɑ̃=fɛ̃ 17
sε=tʁε=di=vɛ̃=za=mwa=tje=ka=mu=fle=paʁ=œ̃=mas=kə=blɑ̃=daʁlə=kɛ̃ 17
ʒə=vu=dʁε=la=tu=ʃe=œ̃=pø=ka=ʁe=se 11
sε=lε=vʁə=ʁy=bi=pyl=pø=zə=də=ʁə=flε 11
ʁe=a=li=te=a=ka=blɑ̃=tə=fe=nɔ=mε=nə=pə=zɑ̃ 14
puʁ=kwa=fo=dʁε=te=il=ʁə=nɔ̃=se=a=la=mɑ̃=tə 13
si=ε=mɑ̃=tə=mε=kεl=kə=pø=di=fe=ʁɑ̃=tə 12
kɔ=mɑ̃=ε=me=sɑ̃=tu=ʃe 7
nə=pa=o=ze=a=fεk=sj=ɔ=ne 9
vwaʁ=y=nə=me=lɔ=di=si=vi=tə=de=zy=ε=tə 13
œ̃=pʁe=ʒy=ʒe=kə=lɔ̃=ʁə=ɡʁε=tə 9
tʁo=də=di=fe=ʁɑ̃=sə 6
ləs=nɔtə=sə=bʁi=ze=y=nəa=y=nə=laʁ=tis=tə=ε=səl=syʁ=sε=nə 18
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
13/07/2005 02:08Rêve Éveiller
très très joli!!
j’aime votre duo!
bravo à vous deux!;)
Poème - Sans Thème -
Du 12/07/2005 23:55
L'écrit contient 408 mots qui sont répartis dans 11 strophes.