Poème:Il Voudra Toujours Créer Et Imaginer
A Propos du Poeme
Les mêmes mots, les mêmes vers… seulement… à l’envers… et deux vies…
Le Poème
Il voudra toujours créer et imaginer (recto)
Au plus loin de ses mémoires il croit en Dieu
Il ne lui a jamais demandé sa pitié
Vivant sans remords il faisait pour aller mieux
Dans les oublis des pardons et leurs satiétés
Le poète s’assoit sur son banc d’église
Les dalles de ciment quadrillées regardent
Dans le silence ses souvenirs crus glissent
Sans regret sur tous les baisers des vies fades
Nu et quiet éloigné des obligations
Ce matin il pleure sans aucune larme
Il chasse les sermons et leurs aliénations
Les laves brûlantes de l’âme des femmes
Dévorent les mesquineries des dérisions
Des fuites en avant de la peur des hommes
L’humilité de Dieu le saisit par la main
Les serments bleus de l’aumônerie surgissent
Juste pour que tout redevienne bien demain
Les voix douces des filles avaient raison
Sans justice il ne peut y avoir de paix
Cela rime comme une conjugaison
Il lève les yeux pour rêver dans l’infini
Marie notre mère caresse ses cheveux
Les peines des malheurs sont à jamais bannies
Les bras de son chemin s’ouvrent aventureux
Chaque aube annonce un monde nouveau
Il fait le choix de penser pour ne plus juger
Que ses vers ses toiles restent clairs comme l’eau
Il voudra toujours créer et imaginer.
Il voudra toujours créer et imaginer (verso)
Il voudra toujours créer et imaginer
Que ses vers ses toiles restent clairs comme l’eau
Il fait le choix de penser pour ne plus juger
Chaque aube annonce un monde nouveau
Les bras de son chemin s’ouvrent aventureux
Les peines des malheurs sont à jamais bannies
Marie notre mère caresse ses cheveux
Il lève les yeux pour rêver dans l’infini
Cela rime comme une conjugaison
Sans justice il ne peut y avoir de paix
Les voix douces des filles avaient raison
Juste pour que tout redevienne bien demain
Et les serments bleus de l’aumônerie surgissent
L’humilité de Dieu le saisit par la main
Les fuites en avant de la peur des hommes
Dévorent les mesquineries des dérisions
Des laves brûlantes de l’âme des femmes
Il chasse les sermons et leurs aliénations
Ce matin il pleure sans aucune larme
Nu et quiet éloigné des obligations
Sans regret sur tous les baisers des vies fades
Dans le silence ses souvenirs crus glissent
Les dalles de ciment quadrillées regardent
Le poète s’assoit sur son banc d’église
Dans les oublis des pardons et leurs satiétés
Vivant sans remords il faisait pour aller mieux
Il ne lui a jamais demandé sa pitié
Au plus loin de ses mémoires il croit en Dieu.
Au plus loin de ses mémoires il croit en Dieu
Il ne lui a jamais demandé sa pitié
Vivant sans remords il faisait pour aller mieux
Dans les oublis des pardons et leurs satiétés
Le poète s’assoit sur son banc d’église
Les dalles de ciment quadrillées regardent
Dans le silence ses souvenirs crus glissent
Sans regret sur tous les baisers des vies fades
Nu et quiet éloigné des obligations
Ce matin il pleure sans aucune larme
Il chasse les sermons et leurs aliénations
Les laves brûlantes de l’âme des femmes
Dévorent les mesquineries des dérisions
Des fuites en avant de la peur des hommes
L’humilité de Dieu le saisit par la main
Les serments bleus de l’aumônerie surgissent
Juste pour que tout redevienne bien demain
Les voix douces des filles avaient raison
Sans justice il ne peut y avoir de paix
Cela rime comme une conjugaison
Il lève les yeux pour rêver dans l’infini
Marie notre mère caresse ses cheveux
Les peines des malheurs sont à jamais bannies
Les bras de son chemin s’ouvrent aventureux
Chaque aube annonce un monde nouveau
Il fait le choix de penser pour ne plus juger
Que ses vers ses toiles restent clairs comme l’eau
Il voudra toujours créer et imaginer.
Il voudra toujours créer et imaginer (verso)
Il voudra toujours créer et imaginer
Que ses vers ses toiles restent clairs comme l’eau
Il fait le choix de penser pour ne plus juger
Chaque aube annonce un monde nouveau
Les bras de son chemin s’ouvrent aventureux
Les peines des malheurs sont à jamais bannies
Marie notre mère caresse ses cheveux
Il lève les yeux pour rêver dans l’infini
Cela rime comme une conjugaison
Sans justice il ne peut y avoir de paix
Les voix douces des filles avaient raison
Juste pour que tout redevienne bien demain
Et les serments bleus de l’aumônerie surgissent
L’humilité de Dieu le saisit par la main
Les fuites en avant de la peur des hommes
Dévorent les mesquineries des dérisions
Des laves brûlantes de l’âme des femmes
Il chasse les sermons et leurs aliénations
Ce matin il pleure sans aucune larme
Nu et quiet éloigné des obligations
Sans regret sur tous les baisers des vies fades
Dans le silence ses souvenirs crus glissent
Les dalles de ciment quadrillées regardent
Le poète s’assoit sur son banc d’église
Dans les oublis des pardons et leurs satiétés
Vivant sans remords il faisait pour aller mieux
Il ne lui a jamais demandé sa pitié
Au plus loin de ses mémoires il croit en Dieu.
PostScriptum
Bakean 06/12/2020
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Poète Bakean
Bakean a publié sur le site 138 écrits. Bakean est membre du site depuis l'année 2018.Lire le profil du poète BakeanSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Il Voudra Toujours Créer Et Imaginer
il=vou=dra=tou=jours=créer=et=i=ma=gi=ner=rec=to 13au=plus=loin=de=ses=mé=moi=res=il=croit=en=dieu 12
il=ne=lui=a=ja=mais=de=man=dé=sa=pi=tié 12
vi=vant=sans=re=mords=il=fai=sait=pour=al=ler=mieux 12
dans=les=ou=blis=des=par=dons=et=leurs=sa=tié=tés 12
le=po=è=te=sas=soit=sur=son=banc=dé=gli=se 12
les=dal=les=de=ci=ment=qua=dril=lées=re=gardent 11
dans=le=si=len=ce=ses=sou=ve=nirs=crus=glissent 11
sans=re=gret=sur=tous=les=bai=sers=des=vies=fa=des 12
nu=et=quiet=é=loi=gné=des=o=bli=ga=ti=ons 12
ce=ma=tin=il=pleu=re=sans=au=cu=ne=la=rme 12
il=chasse=les=ser=mons=et=leurs=a=li=é=na=tions 12
les=la=ves=brû=lan=tes=de=lâ=me=des=femmes 11
dé=vo=rent=les=mes=qui=ne=ries=des=dé=ri=sions 12
des=fui=tes=en=a=vant=de=la=peur=des=hom=mes 12
lhu=mi=li=té=de=dieu=le=sai=sit=par=la=main 12
les=ser=ments=bleus=de=lau=mô=ne=rie=sur=gissent 11
jus=te=pour=que=tout=re=de=vien=ne=bien=de=main 12
les=voix=dou=ces=des=fi=lles=a=vaient=rai=son 11
sans=jus=ti=ce=il=ne=peut=y=a=voir=de=paix 12
ce=la=ri=me=com=me=u=ne=con=ju=gai=son 12
il=lève=les=y=eux=pour=rê=ver=dans=lin=fi=ni 12
ma=rie=no=tre=mè=re=ca=res=se=ses=che=veux 12
les=pei=nes=des=mal=heurs=sont=à=ja=mais=ban=nies 12
les=bras=de=son=che=min=sou=vrent=a=ven=tu=reux 12
cha=que=au=be=an=non=ce=un=mon=de=nou=veau 12
il=fait=le=choix=de=pen=ser=pour=ne=plus=ju=ger 12
que=ses=vers=ses=toi=les=res=tent=clairs=com=me=leau 12
il=vou=dra=tou=jours=créer=et=i=ma=gi=ner 11
il=vou=dra=tou=jours=créer=et=i=ma=gi=ner=ver=so 13
il=vou=dra=tou=jours=créer=et=i=ma=gi=ner 11
que=ses=vers=ses=toi=les=res=tent=clairs=com=me=leau 12
il=fait=le=choix=de=pen=ser=pour=ne=plus=ju=ger 12
cha=que=au=be=an=non=ce=un=mon=de=nou=veau 12
les=bras=de=son=che=min=sou=vrent=a=ven=tu=reux 12
les=pei=nes=des=mal=heurs=sont=à=ja=mais=ban=nies 12
ma=rie=no=tre=mè=re=ca=res=se=ses=che=veux 12
il=lève=les=y=eux=pour=rê=ver=dans=lin=fi=ni 12
ce=la=ri=me=com=me=u=ne=con=ju=gai=son 12
sans=jus=ti=ce=il=ne=peut=y=a=voir=de=paix 12
les=voix=dou=ces=des=fi=lles=a=vaient=rai=son 11
jus=te=pour=que=tout=re=de=vien=ne=bien=de=main 12
et=les=ser=ments=bleus=de=lau=mô=ne=rie=sur=gissent 12
lhu=mi=li=té=de=dieu=le=sai=sit=par=la=main 12
les=fui=tes=en=a=vant=de=la=peur=des=hom=mes 12
dé=vo=rent=les=mes=qui=ne=ries=des=dé=ri=sions 12
des=la=ves=brû=lan=tes=de=lâ=me=des=femmes 11
il=chasse=les=ser=mons=et=leurs=a=li=é=na=tions 12
ce=ma=tin=il=pleu=re=sans=au=cu=ne=la=rme 12
nu=et=quiet=é=loi=gné=des=o=bli=ga=ti=ons 12
sans=re=gret=sur=tous=les=bai=sers=des=vies=fa=des 12
dans=le=si=len=ce=ses=sou=ve=nirs=crus=glissent 11
les=dal=les=de=ci=ment=qua=dril=lées=re=gardent 11
le=po=è=te=sas=soit=sur=son=banc=dé=gli=se 12
dans=les=ou=blis=des=par=dons=et=leurs=sa=tié=tés 12
vi=vant=sans=re=mords=il=fai=sait=pour=al=ler=mieux 12
il=ne=lui=a=ja=mais=de=man=dé=sa=pi=tié 12
au=plus=loin=de=ses=mé=moi=res=il=croit=en=dieu 12
Phonétique : Il Voudra Toujours Créer Et Imaginer
il vudʁa tuʒuʁ kʁee e imaʒinəʁ (ʁεktɔ)o plys lwɛ̃ də sε memwaʁəz- il kʁwa ɑ̃ djø
il nə lɥi a ʒamε dəmɑ̃de sa pitje
vivɑ̃ sɑ̃ ʁəmɔʁdz- il fəzε puʁ ale mjø
dɑ̃ lεz- ubli dε paʁdɔ̃z- e lœʁ satjete
lə pɔεtə saswa syʁ sɔ̃ bɑ̃ deɡlizə
lε dalə də sime kadʁije ʁəɡaʁde
dɑ̃ lə silɑ̃sə sε suvəniʁ kʁys ɡlise
sɑ̃ ʁəɡʁε syʁ tus lε bεze dε vi fadə
ny e kjε elwaɲe dεz- ɔbliɡasjɔ̃
sə matɛ̃ il plœʁə sɑ̃z- okynə laʁmə
il ʃasə lε sεʁmɔ̃z- e lœʁz- aljenasjɔ̃
lε lavə bʁylɑ̃tə də lamə dε famə
devɔʁe lε mεskinəʁi dε deʁizjɔ̃
dε fɥitəz- ɑ̃n- avɑ̃ də la pœʁ dεz- ɔmə
lymilite də djø lə sεzi paʁ la mɛ̃
lε sεʁmɑ̃ bløs də lomonəʁi syʁʒise
ʒystə puʁ kə tu ʁədəvjεnə bjɛ̃ dəmɛ̃
lε vwa dusə dε fijəz- avε ʁεzɔ̃
sɑ̃ ʒystisə il nə pø i avwaʁ də pε
səla ʁimə kɔmə ynə kɔ̃ʒyɡεzɔ̃
il lεvə lεz- iø puʁ ʁεve dɑ̃ lɛ̃fini
maʁi nɔtʁə mεʁə kaʁεsə sε ʃəvø
lε pεnə dε malœʁ sɔ̃t- a ʒamε bani
lε bʁa də sɔ̃ ʃəmɛ̃ suvʁe avɑ̃tyʁø
ʃakə obə anɔ̃sə œ̃ mɔ̃də nuvo
il fε lə ʃwa də pɑ̃se puʁ nə plys ʒyʒe
kə sε vεʁ sε twalə ʁεste klεʁ kɔmə lo
il vudʁa tuʒuʁ kʁee e imaʒine.
il vudʁa tuʒuʁ kʁee e imaʒinəʁ (vεʁsɔ)
il vudʁa tuʒuʁ kʁee e imaʒine
kə sε vεʁ sε twalə ʁεste klεʁ kɔmə lo
il fε lə ʃwa də pɑ̃se puʁ nə plys ʒyʒe
ʃakə obə anɔ̃sə œ̃ mɔ̃də nuvo
lε bʁa də sɔ̃ ʃəmɛ̃ suvʁe avɑ̃tyʁø
lε pεnə dε malœʁ sɔ̃t- a ʒamε bani
maʁi nɔtʁə mεʁə kaʁεsə sε ʃəvø
il lεvə lεz- iø puʁ ʁεve dɑ̃ lɛ̃fini
səla ʁimə kɔmə ynə kɔ̃ʒyɡεzɔ̃
sɑ̃ ʒystisə il nə pø i avwaʁ də pε
lε vwa dusə dε fijəz- avε ʁεzɔ̃
ʒystə puʁ kə tu ʁədəvjεnə bjɛ̃ dəmɛ̃
e lε sεʁmɑ̃ bløs də lomonəʁi syʁʒise
lymilite də djø lə sεzi paʁ la mɛ̃
lε fɥitəz- ɑ̃n- avɑ̃ də la pœʁ dεz- ɔmə
devɔʁe lε mεskinəʁi dε deʁizjɔ̃
dε lavə bʁylɑ̃tə də lamə dε famə
il ʃasə lε sεʁmɔ̃z- e lœʁz- aljenasjɔ̃
sə matɛ̃ il plœʁə sɑ̃z- okynə laʁmə
ny e kjε elwaɲe dεz- ɔbliɡasjɔ̃
sɑ̃ ʁəɡʁε syʁ tus lε bεze dε vi fadə
dɑ̃ lə silɑ̃sə sε suvəniʁ kʁys ɡlise
lε dalə də sime kadʁije ʁəɡaʁde
lə pɔεtə saswa syʁ sɔ̃ bɑ̃ deɡlizə
dɑ̃ lεz- ubli dε paʁdɔ̃z- e lœʁ satjete
vivɑ̃ sɑ̃ ʁəmɔʁdz- il fəzε puʁ ale mjø
il nə lɥi a ʒamε dəmɑ̃de sa pitje
o plys lwɛ̃ də sε memwaʁəz- il kʁwa ɑ̃ djø.
Syllabes Phonétique : Il Voudra Toujours Créer Et Imaginer
il=vu=dʁa=tu=ʒuʁ=kʁe=e=e=i=ma=ʒi=nəʁ=ʁεk=tɔ 14o=plys=lwɛ̃=də=sε=me=mwa=ʁə=zil=kʁwa=ɑ̃=djø 12
il=nə=lɥi=a=ʒa=mε=də=mɑ̃=de=sa=pi=tje 12
vi=vɑ̃=sɑ̃=ʁə=mɔʁ=dzil=fə=zε=puʁ=a=le=mjø 12
dɑ̃=lε=zu=bli=dε=paʁ=dɔ̃=ze=lœʁ=sa=tje=te 12
lə=pɔ=ε=tə=sa=swa=syʁ=sɔ̃=bɑ̃=de=ɡli=zə 12
lε=da=lə=də=si=me=ka=dʁi=je=ʁə=ɡaʁ=de 12
dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=sε=su=və=niʁ=kʁys=ɡli=se 12
sɑ̃=ʁə=ɡʁε=syʁ=tus=lε=bε=ze=dε=vi=fa=də 12
ny=e=kjε=e=lwa=ɲe=dε=zɔ=bli=ɡa=s=jɔ̃ 12
sə=ma=tɛ̃=il=plœ=ʁə=sɑ̃=zo=ky=nə=laʁ=mə 12
il=ʃa=sə=lε=sεʁ=mɔ̃=ze=lœʁ=za=lje=na=sjɔ̃ 12
lε=la=və=bʁy=lɑ̃=tə=də=la=mə=dε=fa=mə 12
de=vɔ=ʁe=lε=mεs=ki=nə=ʁi=dε=de=ʁi=zjɔ̃ 12
dε=fɥi=tə=zɑ̃=na=vɑ̃=də=la=pœʁ=dε=zɔ=mə 12
ly=mi=li=te=də=djø=lə=sε=zi=paʁ=la=mɛ̃ 12
lε=sεʁ=mɑ̃=bløs=də=lo=mo=nə=ʁi=syʁ=ʒi=se 12
ʒys=tə=puʁ=kə=tu=ʁə=də=vjε=nə=bjɛ̃=də=mɛ̃ 12
lε=vwa=du=sə=dε=fij=ə=za=vε=ʁε=zɔ̃ 11
sɑ̃=ʒys=ti=sə=il=nə=pø=i=a=vwaʁ=də=pε 12
sə=la=ʁi=mə=kɔ=mə=y=nə=kɔ̃=ʒy=ɡε=zɔ̃ 12
il=lεvə=lε=zi=ø=puʁ=ʁε=ve=dɑ̃=lɛ̃=fi=ni 12
ma=ʁi=nɔ=tʁə=mε=ʁə=ka=ʁε=sə=sε=ʃə=vø 12
lε=pε=nə=dε=ma=lœʁ=sɔ̃=ta=ʒa=mε=ba=ni 12
lε=bʁa=də=sɔ̃=ʃə=mɛ̃=su=vʁe=a=vɑ̃=ty=ʁø 12
ʃa=kə=o=bə=a=nɔ̃=sə=œ̃=mɔ̃=də=nu=vo 12
il=fε=lə=ʃwa=də=pɑ̃=se=puʁ=nə=plys=ʒy=ʒe 12
kə=sε=vεʁ=sε=twa=lə=ʁεs=te=klεʁ=kɔ=mə=lo 12
il=vu=dʁa=tu=ʒuʁ=kʁe=e=e=i=ma=ʒi=ne 12
il=vu=dʁa=tu=ʒuʁ=kʁe=e=e=i=ma=ʒi=nəʁ=vεʁ=sɔ 14
il=vu=dʁa=tu=ʒuʁ=kʁe=e=e=i=ma=ʒi=ne 12
kə=sε=vεʁ=sε=twa=lə=ʁεs=te=klεʁ=kɔ=mə=lo 12
il=fε=lə=ʃwa=də=pɑ̃=se=puʁ=nə=plys=ʒy=ʒe 12
ʃa=kə=o=bə=a=nɔ̃=sə=œ̃=mɔ̃=də=nu=vo 12
lε=bʁa=də=sɔ̃=ʃə=mɛ̃=su=vʁe=a=vɑ̃=ty=ʁø 12
lε=pε=nə=dε=ma=lœʁ=sɔ̃=ta=ʒa=mε=ba=ni 12
ma=ʁi=nɔ=tʁə=mε=ʁə=ka=ʁε=sə=sε=ʃə=vø 12
il=lεvə=lε=zi=ø=puʁ=ʁε=ve=dɑ̃=lɛ̃=fi=ni 12
sə=la=ʁi=mə=kɔ=mə=y=nə=kɔ̃=ʒy=ɡε=zɔ̃ 12
sɑ̃=ʒys=ti=sə=il=nə=pø=i=a=vwaʁ=də=pε 12
lε=vwa=du=sə=dε=fij=ə=za=vε=ʁε=zɔ̃ 11
ʒys=tə=puʁ=kə=tu=ʁə=də=vjε=nə=bjɛ̃=də=mɛ̃ 12
e=lε=sεʁ=mɑ̃=bløs=də=lo=mo=nə=ʁi=syʁ=ʒise 12
ly=mi=li=te=də=djø=lə=sε=zi=paʁ=la=mɛ̃ 12
lε=fɥi=tə=zɑ̃=na=vɑ̃=də=la=pœʁ=dε=zɔ=mə 12
de=vɔ=ʁe=lε=mεs=ki=nə=ʁi=dε=de=ʁi=zjɔ̃ 12
dε=la=və=bʁy=lɑ̃=tə=də=la=mə=dε=fa=mə 12
il=ʃa=sə=lε=sεʁ=mɔ̃=ze=lœʁ=za=lje=na=sjɔ̃ 12
sə=ma=tɛ̃=il=plœ=ʁə=sɑ̃=zo=ky=nə=laʁ=mə 12
ny=e=kjε=e=lwa=ɲe=dε=zɔ=bli=ɡa=s=jɔ̃ 12
sɑ̃=ʁə=ɡʁε=syʁ=tus=lε=bε=ze=dε=vi=fa=də 12
dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=sε=su=və=niʁ=kʁys=ɡli=se 12
lε=da=lə=də=si=me=ka=dʁi=je=ʁə=ɡaʁ=de 12
lə=pɔ=ε=tə=sa=swa=syʁ=sɔ̃=bɑ̃=de=ɡli=zə 12
dɑ̃=lε=zu=bli=dε=paʁ=dɔ̃=ze=lœʁ=sa=tje=te 12
vi=vɑ̃=sɑ̃=ʁə=mɔʁ=dzil=fə=zε=puʁ=a=le=mjø 12
il=nə=lɥi=a=ʒa=mε=də=mɑ̃=de=sa=pi=tje 12
o=plys=lwɛ̃=də=sε=me=mwa=ʁə=zil=kʁwa=ɑ̃=djø 12
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
07/12/2020 19:38Anya
Jolis écrits en parallèle qui donnent un bel effet poétique et mélodique Si je devais choisir peut être le 2 ème car il se termine sur une phrase très forte mais je préfère ne pas avoir à choisir car ce qui me plaît le mieux c est la répétition inversée des deux Merci du partage
Poème Poésie
Du 07/12/2020 11:08
L'écrit contient 443 mots qui sont répartis dans 18 strophes.