Univers de poésie d'un auteur

Poème:Les Voleurs D’organes (4)

Le Poème

« Qu’avons-nous perdu en perdant la mort » Un livre de Damien Leguay. L’attention aux mourants, les cérémonies, les rituels et les paroles de deuil. (La mort est vite balayée, plus rien d’humain.
Cette disparition a été si brutale que personne ne s’en est ému. Le mourant savait mourir, le deuil trouvait sa place dans la vie sociale, la mémoire gardait longtemps encore le souvenir des défunts.
Qu’avons-nous perdu en perdant notre familiarité avec la mort ? En laissant les mourants sans assistance, ne sommes-nous pas en train de vivre un processus de dé-civilisation ?
Ignorer la mort, la mépriser, n’est-ce pas rejeter les forces et les pulsions de mort qui nous façonnent et nous font accepter le monde et les autres hommes ? Abomination.
A lire aussi « le cimetière » un livre ancien de MGR Gaume. Le cimetière est le dernier théâtre de la lutte acharnée du satanisme contre le christianisme. La crémation par l’église autorisée !
L’attaque opiniâtre du cimetière entre dans le plan de destruction universelle, conçu par la révolution. Avec courage nous devons défendre ce lieu béni, où nous devons tous reposer (… )
Un livre prophétique si l’on songe à l’actuelle multiplication des incinérations et à la profanation de nombreux cimetières par des satanismes
Les entreprises de pompes funèbres ne voient que l’argent, la mort est d’un bon rapport, chaque prestation est facturée, le mort vite emporté, c’est triste. . Bureaux et immeubles remplacent les cimetières, les modernes s’en fichent éperdument, ne vivant qu’au présent, soldant le passé.
Entretenir les tombes ça fait des frais ! et pour le renouvellement de la concession, c’est très cher, les familles abandonnent, la concession sera reprise sans que ça tourmente la pensée !
Les êtres chers à une époque sont vite oubliés, le temps passe, la vie continue, la veuve retrouve un autre homme pour se consoler
Tant que les gens sont là, vivants, on pense à eux mais une fois morts, le temps destructeur fait son oeuvre, le passé est scellé…
Les morts finissent en poussière dévorés par le feu ou les vers, les gens préfèrent se faire cramer et disperser en cendres, c’est horrible ! Même si la crémation est dans l’air du temps ! A croire qu’ils sont heureux de partir en fumée sans rien laisser d’eux…
A peine sont-ils morts que les voilà emportés par le feu et transformés en cendres méconnaissables mélangés à d’autres, le crématorium n’est pas trop regardant, c’est affreux.
L’individu et le cercueil mangés par les flammes, un feu d’enfer, en quelques minutes tout disparaît, les cendres du mort semblables à celles du bois. Les nazis brûlaient dans des fours crématoires les corps des déportés gazés, l’horreur absolu
Comme les gens ne croient plus en Dieu ni en la vie post-morten ils préfèrent partir en fumée, le diable s’il existe a gagné, les cimetières vont finir par disparaître, remplacés par les jardins du souvenir ! des cendres dispersées dans la nature, c’est voulu
Des familles sans repères, comment prier sur des cendres ? C’est vraiment prendre les gens pour des imbéciles, le virtuel pendra la place sur le réel dans le nouveau monde de l’informatique, photos et vidéos, une possibilité de redonner une vie imaginaire, fictive aux défunts par logiciel, on y arrive !
Quand on ne croit plus en rien ni en Dieu, en une vie future, les personnes athées, matérialistes préfèrent se faire cramer, moins de place pour l’environnement et moins de charges financières, d’entretien pour ceux qui restent, les partisans de la crémation sont très fort en persuasion, quelle dérive.
Les médecins, la plupart incroyants, envoûtés par la science, déifiée encouragent les gens à faire don de leur corps à la science, au corps médical pour les greffes, n’ayant que ça en tête, pour sauver des vies clament-ils !
Certes c’est triste et pénible de mourir, mais sauver sa peau avec des morceaux de corps d’un mort, ce n’est pas non plus réjouissant, le cœur, la main, le visage d’un mort c’est effroyable, inenvisageable. Ainsi soi-il.
Plus tard ce sera le corps entier qui sera greffé, l’être aimé que l’on aimait, cajolait, caressait, transformé en zombi avec la tête ou le cerveau d’un autre, les hommes sont devenus fous, les temps sont apocalyptiques.
Des anonymes porteront tout ou partie du cadavre de l’homme ou de la femme qu’on chérissait. Les morts sont respectables, est-ce du respect que de les découper, mettre en morceaux ? Curieuse éthique
Et l’âme dans tout ça ? S’il n’y a pas alors l’homme n’est guère différent des animaux de boucherie, les pièces de viande que nous mangeons ressemblent à nos organes retirés et greffés. L’anatomie du porc pareille à l’humain !
« Dans le livre de l’Ecclésiaste il est écrit : Les vivants savent au moins qu’ils mourront et les morts ne savent rien, ils n’ont plus de salaire, puisque leur salaire est oublié. Leurs amours, leurs haines, leurs jalousies, tout a déjà péri, et ils n’ont plus jamais part à tout ce qui se fait sous le soleil » Voilà d’après la bible notre sort à tous, terrible destin.
Quand on est mort, physiquement et peut-être psychologiquement c’est toujours. La vie post-morten il faut y croire mais avant de naître c’était le néant le vide absolu, sans conscience d’exister avant cette existence incarnée.
Un seul spermatozoïde sur des millions féconde l’ovule, peu de chance d’exister, et moi, et moi ! La vie est sélective, de nombreux échecs, des fausses couches, des embryons qui n’arrivent pas à terme, des fœtus innombrables tués dans le sein maternel, la vie est cruelle, aléatoire, précaire. Des milliards d’individus sont apparus et disparus sur terre, c’est vraiment un hasard, une chance inouï si chacun est là conscient d’exister, pourtant dès le début, malmené
L’immortalité n’est pas une certitude mais une possibilité métaphysique, la physique quantique remplie de mystère apportera peut-être des réponses à toutes ces questions ?
Des médiums prétendent communiquer avec les morts qui sont dans leur corps spirituel ? Difficile de tout nier, les faits sont là, les portes de l’au-delà s’entrouvrent ; des voix, des visions
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Poeme de Bosondehiggs

Poète Bosondehiggs

Bosondehiggs a publié sur le site 20 écrits. Bosondehiggs est membre du site depuis l'année 2015.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Les Voleurs D’organes (4)qua=vons=nous=per=du=en=per=dant=la=mort=un=livre=de=da=mien=le=guay=lat=ten=tion=aux=mou=rants=les=cé=ré=mo=nies=les=ri=tuels=et=les=pa=ro=les=de=deuil=la=mort=est=vi=te=ba=layée=plus=rien=dhu=main 50
cette=dis=pa=ri=tion=a=é=té=si=bru=ta=le=que=per=son=ne=ne=sen=est=é=mu=le=mou=rant=sa=vait=mou=rir=le=deuil=trou=vait=sa=pla=ce=dans=la=vie=so=cia=le=la=mé=moi=re=gar=dait=long=temps=en=co=re=le=sou=ve=nir=des=dé=funts 59
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lin=di=vi=du=et=le=cer=cueil=man=gés=par=les=flammes=un=feu=den=fer=en=quel=ques=mi=nu=tes=tout=dis=pa=raît=les=cen=dres=du=mort=sem=bla=bles=à=cel=les=du=bois=les=na=zis=brû=laient=dans=des=fours=cré=ma=toi=res=les=corps=des=dé=por=tés=ga=zés=lhor=reur=ab=so=lu 65
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quand=on=ne=croit=plus=en=rien=ni=en=dieu=en=une=vie=fu=tu=re=les=per=son=nes=a=thées=ma=té=ria=lis=tes=pré=fè=rent=se=fai=re=cra=mer=moins=de=pla=ce=pour=len=vi=ron=ne=ment=et=moins=de=char=ges=fi=nan=ciè=res=den=tre=tien=pour=ceux=qui=res=tent=les=par=ti=sans=de=la=cré=ma=tion=sont=très=fort=en=per=sua=sion=quel=le=dé=rive 82
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des=a=no=ny=mes=porte=ront=tout=ou=par=tie=du=ca=da=vre=de=lhom=meou=de=la=fem=me=quon=ché=ris=sait=les=morts=sont=res=pec=ta=bles=est=ce=du=res=pect=que=de=les=dé=cou=per=met=tre=en=mor=ceaux=cu=rieu=se=é=thique 54
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lim=mor=ta=li=té=nest=pas=une=cer=ti=tu=de=mais=u=ne=pos=si=bi=li=té=mé=ta=phy=si=que=la=phy=si=que=quan=ti=que=rem=plie=de=mys=tè=reap=por=te=ra=peut=tê=tre=des=ré=pon=ses=à=tou=tes=ces=ques=tions 54
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Phonétique : Les Voleurs D’organes (4)« kavɔ̃ nu pεʁdy ɑ̃ pεʁdɑ̃ la mɔʁt » œ̃ livʁə də damjɛ̃ ləɡε. latɑ̃sjɔ̃ o muʁɑ̃, lε seʁemɔni, lε ʁitɥεlz- e lε paʁɔlə də dəj. (la mɔʁ ε vitə balεje, plys ʁjɛ̃ dymɛ̃.
sεtə dispaʁisjɔ̃ a ete si bʁytalə kə pεʁsɔnə nə sɑ̃n- εt- emy. lə muʁɑ̃ savε muʁiʁ, lə dəj tʁuvε sa plasə dɑ̃ la vi sɔsjalə, la memwaʁə ɡaʁdε lɔ̃tɑ̃z- ɑ̃kɔʁə lə suvəniʁ dε defœ̃.
kavɔ̃ nu pεʁdy ɑ̃ pεʁdɑ̃ nɔtʁə familjaʁite avεk la mɔʁ ? ɑ̃ lεsɑ̃ lε muʁɑ̃ sɑ̃z- asistɑ̃sə, nə sɔmə nu pa ɑ̃ tʁɛ̃ də vivʁə œ̃ pʁɔsesys də de sivilizasjɔ̃ ?
iɲɔʁe la mɔʁ, la mepʁize, nε sə pa ʁəʒəte lε fɔʁsəz- e lε pylsjɔ̃ də mɔʁ ki nu fasɔne e nu fɔ̃ aksεpte lə mɔ̃də e lεz- otʁə- ɔmə ? abɔminasjɔ̃.
a liʁə osi « lə simətjεʁə » œ̃ livʁə ɑ̃sjɛ̃ də εm ʒe εʁ ɡomə. lə simətjεʁə ε lə dεʁnje teatʁə də la lytə aʃaʁne dy satanismə kɔ̃tʁə lə kʁistjanismə. la kʁemasjɔ̃ paʁ leɡlizə otɔʁize !
latakə ɔpinjatʁə dy simətjεʁə ɑ̃tʁə dɑ̃ lə plɑ̃ də dεstʁyksjɔ̃ ynivεʁsεllə, kɔ̃sy paʁ la ʁevɔlysjɔ̃. avεk kuʁaʒə nu dəvɔ̃ defɑ̃dʁə sə ljø beni, u nu dəvɔ̃ tus ʁəpozəʁ (… )
œ̃ livʁə pʁɔfetikə si lɔ̃ sɔ̃ʒə a laktɥεllə myltiplikasjɔ̃ dεz- ɛ̃sineʁasjɔ̃z- e a la pʁɔfanasjɔ̃ də nɔ̃bʁø simətjεʁə paʁ dε satanismə
lεz- ɑ̃tʁəpʁizə də pɔ̃pə fynεbʁə- nə vwae kə laʁʒe, la mɔʁ ε dœ̃ bɔ̃ ʁapɔʁ, ʃakə pʁεstasjɔ̃ ε faktyʁe, lə mɔʁ vitə ɑ̃pɔʁte, sε tʁistə. byʁoz- e iməblə ʁɑ̃plase lε simətjεʁə, lε mɔdεʁnə- sɑ̃ fiʃe epεʁdyme, nə vivɑ̃ ko pʁezɑ̃, sɔldɑ̃ lə pase.
ɑ̃tʁətəniʁ lε tɔ̃bə sa fε dε fʁε ! e puʁ lə ʁənuvεllmɑ̃ də la kɔ̃sesjɔ̃, sε tʁε ʃεʁ, lε famijəz- abɑ̃dɔne, la kɔ̃sesjɔ̃ səʁa ʁəpʁizə sɑ̃ kə sa tuʁmɑ̃tə la pɑ̃se !
lεz- εtʁə- ʃεʁz- a ynə epɔkə sɔ̃ vitə ublje, lə tɑ̃ pasə, la vi kɔ̃tinɥ, la vəvə ʁətʁuvə œ̃n- otʁə ɔmə puʁ sə kɔ̃sɔle
tɑ̃ kə lε ʒɑ̃ sɔ̃ la, vivɑ̃, ɔ̃ pɑ̃sə a ø mεz- ynə fwa mɔʁ, lə tɑ̃ dεstʁyktœʁ fε sɔ̃n- œvʁə, lə pase ε sεlle…
lε mɔʁ finise ɑ̃ pusjεʁə devɔʁe paʁ lə fø u lε vεʁ, lε ʒɑ̃ pʁefεʁe sə fεʁə kʁame e dispεʁse ɑ̃ sɑ̃dʁə, sε ɔʁiblə ! mεmə si la kʁemasjɔ̃ ε dɑ̃ lεʁ dy tɑ̃ ! a kʁwaʁə kil sɔ̃ œʁø də paʁtiʁ ɑ̃ fyme sɑ̃ ʁjɛ̃ lεse dø…
a pεnə sɔ̃ til mɔʁ kə lε vwala ɑ̃pɔʁte paʁ lə fø e tʁɑ̃sfɔʁmez- ɑ̃ sɑ̃dʁə- mekɔnεsablə melɑ̃ʒez- a dotʁə, lə kʁematɔʁjɔm nε pa tʁo ʁəɡaʁdɑ̃, sεt- afʁø.
lɛ̃dividy e lə sεʁkœj mɑ̃ʒe paʁ lε flamə, œ̃ fø dɑ̃fe, ɑ̃ kεlk minytə tu dispaʁε, lε sɑ̃dʁə- dy mɔʁ sɑ̃blabləz- a sεllə dy bwa. lε nazi bʁylε dɑ̃ dε fuʁ kʁematwaʁə lε kɔʁ dε depɔʁte ɡaze, lɔʁœʁ absɔly
kɔmə lε ʒɑ̃ nə kʁwae plysz- ɑ̃ djø ni ɑ̃ la vi pɔst mɔʁtɛ̃ il pʁefεʁe paʁtiʁ ɑ̃ fyme, lə djablə sil εɡzistə a ɡaɲe, lε simətjεʁə vɔ̃ finiʁ paʁ dispaʁεtʁə, ʁɑ̃plase paʁ lε ʒaʁdɛ̃ dy suvəniʁ ! dε sɑ̃dʁə- dispεʁse dɑ̃ la natyʁə, sε vuly
dε famijə sɑ̃ ʁəpεʁə, kɔmɑ̃ pʁje syʁ dε sɑ̃dʁə ? sε vʁεmɑ̃ pʁɑ̃dʁə lε ʒɑ̃ puʁ dεz- ɛ̃besilə, lə viʁtɥεl pɑ̃dʁa la plasə syʁ lə ʁeεl dɑ̃ lə nuvo mɔ̃də də lɛ̃fɔʁmatikə, fɔtoz- e video, ynə pɔsibilite də ʁədɔne ynə vi imaʒinεʁə, fiktivə o defœ̃ paʁ lɔʒisjεl, ɔ̃n- i aʁivə !
kɑ̃t- ɔ̃ nə kʁwa plysz- ɑ̃ ʁjɛ̃ ni ɑ̃ djø, ɑ̃n- ynə vi fytyʁə, lε pεʁsɔnəz- ate, mateʁjalistə pʁefεʁe sə fεʁə kʁame, mwɛ̃ də plasə puʁ lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ e mwɛ̃ də ʃaʁʒə- finɑ̃sjεʁə, dɑ̃tʁətjɛ̃ puʁ sø ki ʁεste, lε paʁtizɑ̃ də la kʁemasjɔ̃ sɔ̃ tʁε fɔʁ ɑ̃ pεʁsɥazjɔ̃, kεllə deʁivə.
lε medəsɛ̃, la plypaʁ ɛ̃kʁwajɑ̃, ɑ̃vute paʁ la sjɑ̃sə, deifje ɑ̃kuʁaʒe lε ʒɑ̃z- a fεʁə dɔ̃ də lœʁ kɔʁz- a la sjɑ̃sə, o kɔʁ medikal puʁ lε ɡʁefə, nεjɑ̃ kə sa ɑ̃ tεtə, puʁ sove dε vi klame til !
sεʁtə- sε tʁistə e peniblə də muʁiʁ, mε sove sa po avεk dε mɔʁso də kɔʁ dœ̃ mɔʁ, sə nε pa nɔ̃ plys ʁeʒuisɑ̃, lə kœʁ, la mɛ̃, lə vizaʒə dœ̃ mɔʁ sεt- efʁwajablə, inɑ̃vizaʒablə. ɛ̃si swa il.
plys taʁ sə səʁa lə kɔʁz- ɑ̃tje ki səʁa ɡʁefe, lεtʁə εme kə lɔ̃n- εmε, kaʒɔlε, kaʁesε, tʁɑ̃sfɔʁme ɑ̃ zɔ̃bi avεk la tεtə u lə sεʁvo dœ̃n- otʁə, lεz- ɔmə sɔ̃ dəvənys fus, lε tɑ̃ sɔ̃t- apɔkaliptik.
dεz- anɔnimə pɔʁtəʁɔ̃ tut- u paʁti dy kadavʁə də lɔmə u də la famə kɔ̃ ʃeʁisε. lε mɔʁ sɔ̃ ʁεspεktablə, ε sə dy ʁεspε kə də lε dekupe, mεtʁə ɑ̃ mɔʁso ? kyʁjøzə etikə
e lamə dɑ̃ tu sa ? sil ni a pa alɔʁ lɔmə nε ɡεʁə difeʁɑ̃ dεz- animo də buʃəʁi, lε pjεsə də vjɑ̃də kə nu mɑ̃ʒɔ̃ ʁəsɑ̃ble a noz- ɔʁɡanə ʁətiʁez- e ɡʁefe. lanatɔmi dy pɔʁk paʁεjə a lymɛ̃ !
« dɑ̃ lə livʁə də lεklezjastə il εt- ekʁi : lε vivɑ̃ save o mwɛ̃ kil muʁʁɔ̃ e lε mɔʁ nə save ʁjɛ̃, il nɔ̃ plys də salεʁə, pɥiskə lœʁ salεʁə εt- ublje. lœʁz- amuʁ, lœʁ-εnə, lœʁ ʒaluzi, tut- a deʒa peʁi, e il nɔ̃ plys ʒamε paʁ a tu sə ki sə fε su lə sɔlεil » vwala dapʁε la biblə nɔtʁə sɔʁ a tus, teʁiblə dεstɛ̃.
kɑ̃t- ɔ̃n- ε mɔʁ, fizikəmɑ̃ e pø tεtʁə psikɔlɔʒikəmɑ̃ sε tuʒuʁ. la vi pɔst mɔʁtɛ̃ il fo i kʁwaʁə mεz- avɑ̃ də nεtʁə setε lə neɑ̃ lə vidə absɔly, sɑ̃ kɔ̃sjɑ̃sə dεɡziste avɑ̃ sεtə εɡzistɑ̃sə ɛ̃kaʁne.
œ̃ səl spεʁmatɔzɔidə syʁ dε miljɔ̃ fekɔ̃də lɔvylə, pø də ʃɑ̃sə dεɡziste, e mwa, e mwa ! la vi ε selεktivə, də nɔ̃bʁøz- eʃεk, dε fosə kuʃə, dεz- ɑ̃bʁiɔ̃ ki naʁive pa a tεʁmə, dε fetysz- inɔ̃bʁablə tye dɑ̃ lə sɛ̃ matεʁnεl, la vi ε kʁyεllə, aleatwaʁə, pʁekεʁə. dε miljaʁd dɛ̃dividys sɔ̃t- apaʁysz- e dispaʁys syʁ teʁə, sε vʁεmɑ̃ œ̃-azaʁ, ynə ʃɑ̃sə inui si ʃakœ̃ ε la kɔ̃sjɑ̃ dεɡziste, puʁtɑ̃ dε lə deby, malməne
limɔʁtalite nε pa ynə sεʁtitydə mεz- ynə pɔsibilite metafizikə, la fizikə kɑ̃tikə ʁɑ̃pli də mistεʁə apɔʁtəʁa pø tεtʁə dε ʁepɔ̃səz- a tutə sε kεstjɔ̃ ?
dε medjɔm pʁetɑ̃de kɔmynike avεk lε mɔʁ ki sɔ̃ dɑ̃ lœʁ kɔʁ spiʁitɥεl ? difisilə də tu nje, lε fε sɔ̃ la, lε pɔʁtə- də lo dəla sɑ̃tʁuvʁe, dε vwa, dε vizjɔ̃
Syllabes Phonétique : Les Voleurs D’organes (4)ka=vɔ̃=nu=pεʁ=dy=ɑ̃=pεʁ=dɑ̃=la=mɔʁt=œ̃=li=vʁə=də=da=mjɛ̃=lə=ɡε=la=tɑ̃=sjɔ̃=o=mu=ʁɑ̃=lε=se=ʁe=mɔ=ni=lε=ʁit=ɥεl=ze=lε=pa=ʁɔ=lə=də=dəj=la=mɔʁ=ε=vi=tə=ba=lε=je=plys=ʁjɛ̃=dy=mɛ̃ 52
sεtə=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=a=e=te=si=bʁy=ta=lə=kə=pεʁ=sɔ=nə=nə=sɑ̃=nε=te=my=lə=mu=ʁɑ̃=sa=vε=mu=ʁiʁ=lə=dəj=tʁu=vε=sa=pla=sə=dɑ̃=la=vi=sɔ=sja=lə=la=me=mwa=ʁə=ɡaʁ=dε=lɔ̃=tɑ̃=zɑ̃=kɔ=ʁə=lə=su=və=niʁ=dε=de=fœ̃ 59
ka=vɔ̃=nu=pεʁ=dy=ɑ̃=pεʁ=dɑ̃=nɔ=tʁə=fa=mi=lja=ʁi=te=a=vεk=la=mɔʁ=ɑ̃=lε=sɑ̃=lε=mu=ʁɑ̃=sɑ̃=za=sis=tɑ̃=sə=nə=sɔ=mə=nu=pa=ɑ̃=tʁɛ̃=də=vi=vʁə=œ̃=pʁɔ=se=sys=də=de=si=vi=li=za=sj=ɔ̃ 52
i=ɲɔ=ʁe=la=mɔʁ=la=me=pʁi=ze=nε=sə=pa=ʁə=ʒə=te=lε=fɔʁ=sə=ze=lε=pyl=sj=ɔ̃=də=mɔʁ=ki=nu=fa=sɔ=ne=e=nu=fɔ̃=ak=sεp=te=lə=mɔ̃=də=e=lε=zo=tʁə=ɔ=mə=a=bɔ=mi=na=sj=ɔ̃ 51
a=liʁəo=si=lə=si=mə=tjε=ʁə=œ̃=li=vʁə=ɑ̃=sjɛ̃=də=εm=ʒe=εʁ=ɡo=mə=lə=si=mə=tjε=ʁə=ε=lə=dεʁ=nje=te=a=tʁə=də=la=ly=tə=a=ʃaʁ=ne=dy=sa=ta=nis=mə=kɔ̃=tʁə=lə=kʁis=tja=nis=mə=la=kʁe=ma=sjɔ̃=paʁ=le=ɡli=zə=o=tɔ=ʁi=ze 62
la=takəɔ=pi=nja=tʁə=dy=si=mə=tjε=ʁə=ɑ̃=tʁə=dɑ̃=lə=plɑ̃=də=dεs=tʁyk=sjɔ̃=y=ni=vεʁ=sεllə=kɔ̃=sy=paʁ=la=ʁe=vɔ=ly=sjɔ̃=a=vεk=ku=ʁa=ʒə=nu=də=vɔ̃=de=fɑ̃=dʁə=sə=ljø=be=ni=u=nu=də=vɔ̃=tus=ʁə=po=zəʁ 54
œ̃=li=vʁə=pʁɔ=fe=ti=kə=si=lɔ̃=sɔ̃=ʒə=a=lak=tɥεl=lə=myl=ti=pli=ka=sj=ɔ̃=dε=zɛ̃=si=ne=ʁa=sj=ɔ̃=ze=a=la=pʁɔ=fa=na=sjɔ̃=də=nɔ̃=bʁø=si=mə=tjε=ʁə=paʁ=dε=sa=ta=nis=mə 48
lε=zɑ̃tʁə=pʁi=zə=də=pɔ̃=pə=fy=nε=bʁə=nə=vwa=kə=laʁ=ʒe=la=mɔʁ=ε=dœ̃=bɔ̃=ʁa=pɔʁ=ʃa=kə=pʁεs=ta=sjɔ̃=ε=fak=ty=ʁe=lə=mɔʁ=vi=təɑ̃=pɔʁ=te=sε=tʁis=tə=by=ʁo=ze=i=mə=blə=ʁɑ̃=pla=se=lε=si=mə=tjε=ʁə=lε=mɔ=dεʁ=nə=sɑ̃=fi=ʃe=e=pεʁ=dy=me=nə=vi=vɑ̃=ko=pʁe=zɑ̃=sɔl=dɑ̃=lə=pase 75
ɑ̃=tʁə=tə=niʁ=lε=tɔ̃=bə=sa=fε=dε=fʁε=e=puʁ=lə=ʁə=nu=vεl=lmɑ̃=də=la=kɔ̃=se=sjɔ̃=sε=tʁε=ʃεʁ=lε=fa=mi=jə=za=bɑ̃=dɔ=ne=la=kɔ̃=se=sjɔ̃=sə=ʁa=ʁə=pʁi=zə=sɑ̃=kə=sa=tuʁ=mɑ̃=tə=la=pɑ̃=se 52
lε=zε=tʁə=ʃεʁ=za=y=nə=e=pɔ=kə=sɔ̃=vi=tə=u=blj=e=lə=tɑ̃=pa=sə=la=vi=kɔ̃=tinɥ=la=və=və=ʁə=tʁu=və=œ̃=no=tʁə=ɔ=mə=puʁ=sə=kɔ̃=sɔ=le 40
tɑ̃=kə=lε=ʒɑ̃=sɔ̃=la=vi=vɑ̃=ɔ̃=pɑ̃=sə=a=ø=mε=zy=nə=fwa=mɔʁ=lə=tɑ̃=dεs=tʁyk=tœ=ʁə=fε=sɔ̃=nœ=vʁə=lə=pa=se=ε=sεl=le 34
lε=mɔʁ=fi=nise=ɑ̃=pu=sjε=ʁə=de=vɔ=ʁe=paʁ=lə=fø=u=lε=vεʁ=lε=ʒɑ̃=pʁe=fε=ʁe=sə=fε=ʁə=kʁa=me=e=dis=pεʁ=se=ɑ̃=sɑ̃=dʁə=sε=ɔ=ʁi=blə=mε=mə=si=la=kʁe=ma=sjɔ̃=ε=dɑ̃=lεʁ=dy=tɑ̃=a=kʁwa=ʁə=kil=sɔ̃=œ=ʁø=də=paʁ=tiʁ=ɑ̃=fy=me=sɑ̃=ʁjɛ̃=lε=se=dø 68
a=pε=nə=sɔ̃=til=mɔʁ=kə=lε=vwa=la=ɑ̃=pɔʁ=te=paʁ=lə=fø=e=tʁɑ̃s=fɔʁ=me=zɑ̃=sɑ̃=dʁə=me=kɔ=nε=sa=blə=me=lɑ̃=ʒe=za=do=tʁə=lə=kʁe=ma=tɔ=ʁjɔm=nε=pa=tʁo=ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=sε=ta=fʁø 48
lɛ̃=di=vi=dy=e=lə=sεʁ=kœj=mɑ̃=ʒe=paʁ=lε=flamə=œ̃=fø=dɑ̃=fe=ɑ̃=kεl=kə=mi=ny=tə=tu=dis=pa=ʁε=lε=sɑ̃=dʁə=dy=mɔʁ=sɑ̃=bla=blə=za=sεllə=dy=bwa=lε=na=zi=bʁy=lε=dɑ̃=dε=fuʁ=kʁe=ma=twa=ʁə=lε=kɔʁ=dε=de=pɔʁ=te=ɡa=ze=lɔ=ʁœʁ=ab=sɔ=ly 64
kɔmə=lε=ʒɑ̃=nə=kʁwa=plys=zɑ̃=djø=ni=ɑ̃=la=vi=pɔst=mɔʁ=tɛ̃=il=pʁe=fε=ʁe=paʁ=tiʁ=ɑ̃=fy=me=lə=dja=blə=sil=εɡ=zis=təa=ɡa=ɲe=lε=si=mə=tjε=ʁə=vɔ̃=fi=niʁ=paʁ=dis=pa=ʁε=tʁə=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=lε=ʒaʁ=dɛ̃=dy=su=və=niʁ=dε=sɑ̃=dʁə=dis=pεʁ=se=dɑ̃=la=na=ty=ʁə=sε=vu=ly 71
dε=fa=mi=jə=sɑ̃ʁə=pε=ʁə=kɔ=mɑ̃=pʁje=syʁ=dε=sɑ̃=dʁə=sε=vʁε=mɑ̃=pʁɑ̃=dʁə=lε=ʒɑ̃=puʁ=dε=zɛ̃=be=si=lə=lə=viʁ=tɥεl=pɑ̃=dʁa=la=pla=sə=syʁ=lə=ʁe=εl=dɑ̃=lə=nu=vo=mɔ̃=də=də=lɛ̃=fɔʁ=ma=ti=kə=fɔ=to=ze=vi=de=o=y=nə=pɔ=si=bi=li=te=də=ʁə=dɔ=ne=y=nə=vi=i=ma=ʒi=nε=ʁə=fik=ti=vəo=de=fœ̃=paʁ=lɔ=ʒi=sjεl=ɔ̃=ni=a=ʁivə 89
kɑ̃=tɔ̃nə=kʁwa=plys=zɑ̃=ʁjɛ̃=ni=ɑ̃=djø=ɑ̃=ny=nə=vi=fy=ty=ʁə=lε=pεʁ=sɔ=nə=za=te=ma=te=ʁja=lis=tə=pʁe=fε=ʁe=sə=fε=ʁə=kʁa=me=mwɛ̃=də=pla=sə=puʁ=lɑ̃=vi=ʁɔ=nə=mɑ̃=e=mwɛ̃=də=ʃaʁ=ʒə=fi=nɑ̃=sjε=ʁə=dɑ̃=tʁə=tjɛ̃=puʁ=sø=ki=ʁεs=te=lε=paʁ=ti=zɑ̃=də=la=kʁe=ma=sjɔ̃=sɔ̃=tʁε=fɔʁ=ɑ̃=pεʁ=sɥa=zjɔ̃=kεl=lə=de=ʁivə 82
lε=me=də=sɛ̃=la=ply=paʁ=ɛ̃=kʁwa=jɑ̃=ɑ̃=vu=te=paʁ=la=sjɑ̃sə=de=i=fje=ɑ̃=ku=ʁa=ʒe=lε=ʒɑ̃=za=fε=ʁə=dɔ̃=də=lœʁ=kɔʁ=za=la=sjɑ̃=sə=o=kɔʁ=me=di=kal=puʁ=lε=ɡʁe=fə=nε=jɑ̃=kə=sa=ɑ̃=tε=tə=puʁ=so=ve=dε=vi=kla=me=til 60
sεʁtə=sε=tʁis=təe=pe=ni=blə=də=mu=ʁiʁ=mε=so=ve=sa=po=a=vεk=dε=mɔʁ=so=də=kɔʁ=dœ̃=mɔʁ=sə=nε=pa=nɔ̃=plys=ʁe=ʒui=sɑ̃=lə=kœʁ=la=mɛ̃=lə=vi=za=ʒə=dœ̃=mɔʁ=sε=te=fʁwa=ja=blə=i=nɑ̃=vi=za=ʒa=blə=ɛ̃=si=swa=il 57
plys=taʁsə=sə=ʁa=lə=kɔʁ=zɑ̃=tje=ki=sə=ʁa=ɡʁe=fe=lε=tʁəε=me=kə=lɔ̃=nε=mε=ka=ʒɔ=lε=ka=ʁe=sε=tʁɑ̃s=fɔʁ=me=ɑ̃=zɔ̃=bi=a=vεk=la=tε=tə=u=lə=sεʁ=vo=dœ̃=no=tʁə=lε=zɔ=mə=sɔ̃=də=və=nys=fus=lε=tɑ̃=sɔ̃=ta=pɔ=ka=lip=tik 60
dε=za=nɔ=nimə=pɔʁ=tə=ʁɔ̃=tu=tu=paʁ=ti=dy=ka=da=vʁə=də=lɔ=məu=də=la=fa=mə=kɔ̃=ʃe=ʁi=sε=lε=mɔʁ=sɔ̃=ʁεs=pεk=ta=blə=ε=sə=dy=ʁεs=pε=kə=də=lε=de=ku=pe=mε=tʁə=ɑ̃=mɔʁ=so=ky=ʁjø=zə=e=tikə 54
e=lamə=dɑ̃=tu=sa=sil=ni=a=pa=a=lɔʁ=lɔ=mə=nε=ɡε=ʁə=di=fe=ʁɑ̃=dε=za=ni=mo=də=bu=ʃə=ʁi=lε=pjε=sə=də=vjɑ̃=də=kə=nu=mɑ̃=ʒɔ̃=ʁə=sɑ̃=ble=a=no=zɔʁ=ɡa=nə=ʁə=ti=ʁe=ze=ɡʁe=fe=la=na=tɔ=mi=dy=pɔʁk=pa=ʁεjəa=ly=mɛ̃ 61
dɑ̃lə=li=vʁə=də=lε=kle=zjas=tə=il=ε=te=kʁi=lε=vi=vɑ̃=sa=ve=o=mwɛ̃=kil=muʁ=ʁɔ̃=e=lε=mɔʁ=nə=sa=ve=ʁjɛ̃=il=nɔ̃=plys=də=sa=lε=ʁə=pɥis=kə=lœʁ=sa=lε=ʁəε=tu=blje=lœʁ=za=muʁ=lœʁ-ε=nə=lœʁ=ʒa=lu=zi=tu=ta=de=ʒa=pe=ʁi=e=il=nɔ̃=plys=ʒa=mε=paʁ=a=tu=sə=ki=sə=fε=su=lə=sɔ=lε=il=vwa=la=da=pʁε=la=bi=blə=nɔ=tʁə=sɔʁ=a=tus=te=ʁi=blə=dεs=tɛ̃ 96
kɑ̃=tɔ̃=nε=mɔʁ=fi=zikə=mɑ̃=e=pø=tε=tʁə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=mɑ̃=sε=tu=ʒuʁ=la=vi=pɔst=mɔʁ=tɛ̃=il=fo=i=kʁwa=ʁə=mε=za=vɑ̃=də=nε=tʁə=se=tε=lə=ne=ɑ̃=lə=vi=dəab=sɔ=ly=sɑ̃=kɔ̃=sjɑ̃=sə=dεɡ=zis=te=a=vɑ̃=sε=tə=εɡ=zis=tɑ̃=sə=ɛ̃=kaʁ=ne 64
œ̃=səl=spεʁ=ma=tɔ=zɔ=idə=syʁ=dε=mi=ljɔ̃=fe=kɔ̃=də=lɔ=vy=lə=pø=də=ʃɑ̃=sə=dεɡ=zis=te=e=mwa=e=mwa=la=vi=ε=se=lεk=ti=və=də=nɔ̃=bʁø=ze=ʃεk=dε=fo=sə=ku=ʃə=dε=zɑ̃=bʁi=ɔ̃=ki=na=ʁi=ve=pa=a=tεʁ=mə=dε=fe=tys=zi=nɔ̃=bʁa=blə=ty=e=dɑ̃=lə=sɛ̃=ma=tεʁ=nεl=la=vi=ε=kʁy=εllə=a=le=a=twa=ʁə=pʁe=kε=ʁə=dε=mi=ljaʁd=dɛ̃=di=vi=dys=sɔ̃=ta=pa=ʁys=ze=dis=pa=ʁys=syʁ=te=ʁə=sε=vʁε=mɑ̃=œ̃-a=zaʁ=y=nə=ʃɑ̃=sə=i=nui=si=ʃa=kœ̃=ε=la=kɔ̃=sjɑ̃=dεɡ=zis=te=puʁ=tɑ̃=dε=lə=de=by=mal=mə=ne 134
li=mɔʁ=ta=li=te=nε=pa=ynə=sεʁ=ti=ty=də=mε=zy=nə=pɔ=si=bi=li=te=me=ta=fi=zi=kə=la=fi=zi=kə=kɑ̃=ti=kə=ʁɑ̃=pli=də=mis=tε=ʁəa=pɔʁ=tə=ʁa=pø=tε=tʁə=dε=ʁe=pɔ̃=sə=za=tu=tə=sε=kεs=tjɔ̃ 54
dε=me=djɔm=pʁe=tɑ̃=de=kɔ=my=ni=ke=a=vεk=lε=mɔʁ=ki=sɔ̃=dɑ̃=lœ=ʁə=kɔʁ=spi=ʁit=ɥεl=di=fi=si=lə=də=tu=nj=e=lε=fε=sɔ̃=la=lε=pɔʁ=tə=də=lo=də=la=sɑ̃=tʁu=vʁe=dε=vwa=dε=vi=zj=ɔ̃ 51

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
17/07/2015 13:51Bosondehiggs

Merci, de votre sympathie

Poème Mort
Du 16/07/2015 17:16

L'écrit contient 1067 mots qui sont répartis dans 1 strophes.