Poème:Lente Agonie, Lente Descente Aux Enfers

J’ai la tête vidée ou trop pleine
Mais aucuns mots ne vient.
Les cris s’ettoufent dans mes mains
Mais je ne sais pas d’où vient cette haine.
Il y a trop de marque sur mon cœur,
Trop de peurs qui viennent me hanter,
J’ai pas la force de les affronter
Je ne sais même pas si quelque part il y a le bonheur.

Je suis fatiguée
Tellement épuisée
Que j’en arrive à me demander
Si la mort, n’est pas la seule chose, qui puisse me liberer ?
Je suis dépouillée
Vidée de tout mes sanglots
Et trahie par mes maux.
… Je veux m’en aller…

Je me tors, dans tous les sens, la nuit
Je demande pardon, j’implore un être invisible
Qui nous a dit qu’il ferait de nous des être solide,
Mais je me sens si fragile, j’ai l’impression de mourir sans bruits.
J’en ai marre de pleurer
De me forcer à avancer
Alors qu’au final je me retrouve toujorus à la case de départ je suis pas une marionette avec qui on se marre… ! ! !

Je suis fatiguée,
Tellment épuisée
J’ai envie de crier pour qu’on puisse m’aider Et qu’un jour je sorte plus forte de ce passé mais j’ai beau me jurer que je vais m’en tirer Je vois toujours la mort m’attirer
Et les peurs qui m’entraine si loin
Dans ce gouffre.

Je suis fatiguée,
Tellement épuisée…
Je veux m’en aller…
Simplement mourir pour ne plus souffrir
Pour être liberée, et ne plus pleurer…