Poème:Je T’adore, Bébé ! !

Iris te rappelles-tu de notre rencontre ? Ici même sur ce site
Je me rappelle j’étais petite
Mais en ta présence j’ai grandi vite
Tu m’as apporté tout ce dont j’avais besoin
Jamais tu ne m’as laissé dans un coin
Parfois à te fâcher toute rouge, pour mon bien c’est vrai
Maintenant que j’y repense, cela me fait rire, déjà je t’adorai !

Bien sûr, mon Bébé, je n’ai rien oublié,
C’est vrai, la première fois, je me suis fâchée,
Tu avais de drôles idées, te suicider ! !
Vouloir nous quitter, toute en colère, j’étais ! !
Je continue à te surveiller, t’inquiète, je vais pas te quitter,
Je vais rester et continuer à t’aimer, à tes côtés, ma petite Groseille Parfumée ! !

Moi un bébé tu as raison,
Je te demande pardon
Pour cette fois où j’était tomber bien bas,
Vouloir quitter ce monde, c’était un choix,
Mais mon premier est de rester près de toi
Bon je sais, je suis têtu, mais tu n’es pas mieux
Enfin maintenant on surmonte tout, car on est deux !

Oui, c’est comme cela, quand on Aime,
S’éloigne la peur, la peine,
Pour l’Autre, on se déchaîne,
Disparaissent, tous les problèmes,
On restera Amies, jamais de haine,
Sincérité et Affection, aucun dilemme,
Tout simplement, Elodie, parce que je t’Adore et je t’Aime ! !

Moi aussi je t’adore et je t’aime
Parler avec toi et tout s’envole y compris mes problèmes
Toujours un mot gentil au bord de la bouche
En plein cœur cela nous touche
Je t’assure ne change pas, on t’aime tous comme ça
T’inquiète, je tombe mais je me relève, comme un bébé qui fait ses premier pas
Ce n’est pas toujours facile, mais tu es là ! Alors je ne me préoccupe plus de ça
Si ils veulent parler, qu’ils prennent un rendez-vous !
Maintenant je me laisse plus faire, les ignorer, voila d’eux je m’en fous !
Tu es mon ange, la fleur de mon cœur que j’adore comme une sœur

Bravo, Ma Groseille Parfumée, au parfum si fruité,
Mon petit Chat, tout mignon, ma jolie Kyra,
Enfin, tu as compris, tout cela,
Plaire à tout le monde on ne peut pas !
Ignorer, et s’améliorer,
Les coups bas, les tracas, oublier, ne plus pleurer,
Difficile dans ce monde dit « civilisé »
De pouvoir s’entendrer et s’aimer ! !
Tu vois, ce que tu dois retenir,
C’est que tu dois vivre heureuse, pour toi, sans souffrir,
Ne plus tenir compte de leurs dires,
Un beau brin de fille, comme toi,
Ne doit connaitre que la joie,
Tu es mon bouchon adulé (lol)
Ma princesse, ma petite fée, je t’Adore, Bébé ! !