Poème:Léger Comme L’amour

T’enlacer, me remplie de joie à m’en faire pleurer.
T’embrasser, m’échauffe et me rend dur comme le roché percé.
Tes lèvres, sont un délice et la raison pour la quel je me lève.
Je sui chèvre, De voir que notre histoire puisse amuser la plèbe.

Grâce à toi je suis léger comme l’amour, t’aimer est ma saison de tous les jours.
Je suis fou de toi, Partout autour de moi je suis roi.
Être au près de toi pour toujours, Il n’y a rien que je ne ferais pour.
Car tu est mes lois ma foi, avec toi je suis tout ça.

T’embrasser dans le cou, ça me rend tellement fou.
Et me donne envie de te {manger} de partout, pour garder ton si bon goût.
Te prendre par les hanches, pour te faire sentir mon cœur qui danse.
Mon amour est nez chez toi, Et jamais il ne mourra.

Je t’aime tellement, que des fois j’ai l’impression que je me mens.
Je n’aurais jamais pensé aimer avec mon cœur de Satyre Blanc, C’est rendu que je me démens.
Pour penser que je suis encor humain, Il faut que je me regarde les mains.
Quoi que je suis sur que mon destin, est blotti entre tes seins.

Mon cœur lui veux être au près du tien, Pour lui faire ressentir leurs liens.
Avec toi je suis léger comme l’amour, Et il n’y a plus rien au alentour.
Qui pourrais entraver ma bravoure, À venir à ton secours.
Vif comme le lapin, Le vent me cour après en vain

Sans toi je suis lourd, et je déchire le jour.
Avec des aires de vautours, Pour faire fuir les regards qui fusent tout autour.
Aller me défouler en enfers, C’est tout se que je voudrai faire.
Si un jour je te perds, Car mon amour pour toi je ne pourrai jamais la défaire.
Et puis j’ai déjà tellement de colère, Si quelqu’un ose te toucher c’est elle que j’envoi en enfer.
Que se soit un membre de ta famille comme ton père, Où encor ton cousin il n’y aura rien à faire…

Courbettes et pirouettes
Sont au rendez-vous lorsque je joue de la trompette
Pour vous en mettre plein la tête

§£ Le Satyre Blanc £§