Poème:Le Nouveau Pavillon D’or : 4- La Fin, Le Début Du Rêve
Le Poème
4- La fin, le début du rêve
Linaeda s’était donné à tous les hommes,
Offerte à toutes les femmes, les baisers de Oirans
Sur sa peau diaphane avaient conduit ses sens
Vers des vertigineux et troubles royaumes.
La Bacchanale battait son plein quand je quittais l’assemblée,
J’étais triste pour Sinclair, il avait disparu de notre vue,
Je l’imaginais dans le plus grand désarroi, l’esprit tourmenté,
Errant dans son Palais comme une Ombre perdue.
Il devait être trois heures du matin quand le jeune premier
Sortit dans le jardin, d’une voix suave il criait « Linaeda ! »
Mais la jeune danseuse semblait se moquer de ses appels,
Je commençais à en avoir assez de ces gens la.
Alors que je m’apprêtais à rentrer dans ma chambre
J’aperçus une rougeoyante clarté dans les étages,
Un feu ardent grimpait le long des antichambres
Pour s’étendre dans le pavillon comme un orage.
Les invités, les Oirans avec leurs Kamuros quittaient le pavillon,
Quand au dernier étage je vis Sinclair tenant Linaeda,
La jeune danseuse le toisait sans la moindre compassion,
Il se pencha vers elle puis avec passion l’embrassa.
Linaeda ne pouvait taire ses sentiments, elle répondit au baiser,
Le rendit avec passion, pendant que les flammes grimpaient
Vers le toit du Pavillon d’Or, je les vis furieusement s’enlacer,
Tous les deux amants à jamais…
Je vis le feu s’étendre sur les tuiles d’or, fondre le métal précieux
Qui comme la lave d’un volcan s’écoula sur les amoureux,
Je vis l’or recouvrir les amants de sa nappe merveilleuse,
Les figeant dans un baiser des plus radieux.
La statue vivante s’écroula vers les étages accompagnant la chute
Du Pavillon d’or, une fumée épaisse, un bruit assourdissant
Réduisit le rêve de Sinclair à néant,
La fin d’un géant.
Je quittais les lieux comme un pauvre fantôme,
Pendait des mois je restais aphone,
Quand je me sentis mieux je revins au Pavillon d’Or,
Seul le rocher sombre restait dans le décor.
Dans les eaux du lac, j’aperçus la statue d’or
Un pêcheur me raconta que l’on pouvait entendre leurs cœurs battre,
Quand la Lune était couleur d’Or
Les deux amants sortaient du lac pour danser, pour s’ébattre.
Je quitte à tous jamais le sinistre endroit,
Que Sinclair et Linaeda puissent s’aimer à jamais,
Danser aux rayons de Lune, s’embrasser
Loin des hommes et de leurs lois…
FIN
Linaeda s’était donné à tous les hommes,
Offerte à toutes les femmes, les baisers de Oirans
Sur sa peau diaphane avaient conduit ses sens
Vers des vertigineux et troubles royaumes.
La Bacchanale battait son plein quand je quittais l’assemblée,
J’étais triste pour Sinclair, il avait disparu de notre vue,
Je l’imaginais dans le plus grand désarroi, l’esprit tourmenté,
Errant dans son Palais comme une Ombre perdue.
Il devait être trois heures du matin quand le jeune premier
Sortit dans le jardin, d’une voix suave il criait « Linaeda ! »
Mais la jeune danseuse semblait se moquer de ses appels,
Je commençais à en avoir assez de ces gens la.
Alors que je m’apprêtais à rentrer dans ma chambre
J’aperçus une rougeoyante clarté dans les étages,
Un feu ardent grimpait le long des antichambres
Pour s’étendre dans le pavillon comme un orage.
Les invités, les Oirans avec leurs Kamuros quittaient le pavillon,
Quand au dernier étage je vis Sinclair tenant Linaeda,
La jeune danseuse le toisait sans la moindre compassion,
Il se pencha vers elle puis avec passion l’embrassa.
Linaeda ne pouvait taire ses sentiments, elle répondit au baiser,
Le rendit avec passion, pendant que les flammes grimpaient
Vers le toit du Pavillon d’Or, je les vis furieusement s’enlacer,
Tous les deux amants à jamais…
Je vis le feu s’étendre sur les tuiles d’or, fondre le métal précieux
Qui comme la lave d’un volcan s’écoula sur les amoureux,
Je vis l’or recouvrir les amants de sa nappe merveilleuse,
Les figeant dans un baiser des plus radieux.
La statue vivante s’écroula vers les étages accompagnant la chute
Du Pavillon d’or, une fumée épaisse, un bruit assourdissant
Réduisit le rêve de Sinclair à néant,
La fin d’un géant.
Je quittais les lieux comme un pauvre fantôme,
Pendait des mois je restais aphone,
Quand je me sentis mieux je revins au Pavillon d’Or,
Seul le rocher sombre restait dans le décor.
Dans les eaux du lac, j’aperçus la statue d’or
Un pêcheur me raconta que l’on pouvait entendre leurs cœurs battre,
Quand la Lune était couleur d’Or
Les deux amants sortaient du lac pour danser, pour s’ébattre.
Je quitte à tous jamais le sinistre endroit,
Que Sinclair et Linaeda puissent s’aimer à jamais,
Danser aux rayons de Lune, s’embrasser
Loin des hommes et de leurs lois…
FIN
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Nouveau Pavillon D’or : 4- La Fin, Le Début Du Rêve
qua=tre=la=fin=le=dé=but=du=rê=ve 10li=nae=da=sé=tait=don=né=à=tous=les=hom=mes 12
of=ferteà=tou=tes=les=fem=mes=les=bai=sers=de=oi=rans 13
sur=sa=peau=dia=pha=ne=a=vaient=con=duit=ses=sens 12
vers=des=ver=ti=gi=neux=et=trou=bles=ro=yau=mes 12
la=bac=cha=nale=bat=tait=son=plein=quand=je=quit=tais=las=sem=blée 15
jé=tais=triste=pour=sin=clair=il=a=vait=dis=pa=ru=de=no=tre=vue 16
je=li=ma=gi=nais=dans=le=plus=grand=dé=sar=roi=les=prit=tourmen=té 16
er=rant=dans=son=pa=lais=commeu=ne=om=bre=per=due 12
il=de=vait=être=trois=heu=res=du=ma=tin=quand=le=jeu=ne=pre=mier 16
sor=tit=dans=le=jar=din=dune=voix=sua=ve=il=criait=li=nae=da 15
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pour=séten=dre=dans=le=pa=villon=com=me=un=o=rage 12
les=in=vi=tés=les=oi=rans=a=vec=leurs=ka=mu=ros=quit=taient=le=pa=villon 18
quand=au=der=nier=é=tage=je=vis=sin=clair=te=nant=li=nae=da 15
la=jeune=dan=seu=se=le=toi=sait=sans=la=moin=dre=com=pas=sion 15
il=se=pen=cha=vers=elle=puis=a=vec=pas=sion=lem=bras=sa 14
li=nae=da=ne=pou=vait=taire=ses=sen=ti=ments=el=le=ré=pon=dit=au=bai=ser 19
le=ren=dit=a=vec=pas=sion=pen=dant=que=les=flammes=grim=paient 14
vers=le=toit=du=pa=villon=dor=je=les=vis=fu=rieuse=ment=sen=la=cer 16
tous=les=deux=a=mants=à=ja=mais 8
je=vis=le=feu=séten=dre=sur=les=tui=les=dor=fon=dre=le=mé=tal=pré=cieux 18
qui=comme=la=la=ve=dun=vol=can=sé=cou=la=sur=les=a=mou=reux 16
je=vis=lor=re=cou=vrir=les=a=mants=de=sa=nap=pe=mer=veilleuse 15
les=fi=geant=dans=un=bai=ser=des=plus=ra=dieux 11
la=sta=tue=vi=vante=sé=crou=la=vers=les=é=ta=ges=ac=com=pa=gnant=la=chute 19
du=pa=villon=dor=une=fu=mée=é=pais=se=un=bruit=as=sour=dis=sant 16
ré=dui=sit=le=rê=ve=de=sin=clair=à=né=ant 12
la=fin=dun=gé=ant 5
je=quit=tais=les=lieux=com=me=un=pau=vre=fan=tôme 12
pen=dait=des=mois=je=res=tais=a=pho=ne 10
quand=je=me=sen=tis=mieux=je=re=vins=au=pa=villon=dor 13
seul=le=ro=cher=som=bre=res=tait=dans=le=dé=cor 12
dans=les=eaux=du=lac=ja=per=çus=la=sta=tue=dor 12
un=pê=cheur=me=ra=con=ta=que=lon=pou=vait=enten=dre=leurs=cœurs=bat=tre 17
quand=la=lu=ne=é=tait=cou=leur=dor 9
les=deux=a=mants=sor=taient=du=lac=pour=dan=ser=pour=sé=battre 14
je=quit=te=à=tous=ja=mais=le=si=nistre=en=droit 12
que=sin=clair=et=li=nae=da=puissent=sai=mer=à=ja=mais 13
dan=ser=aux=ray=ons=de=lu=ne=sem=bras=ser 11
loin=des=hom=mes=et=de=leurs=lois 8
fin 1
Phonétique : Le Nouveau Pavillon D’or : 4- La Fin, Le Début Du Rêve
katʁə la fɛ̃, lə deby dy ʁεvəlinaeda setε dɔne a tus lεz- ɔmə,
ɔfεʁtə a tutə lε famə, lε bεze də waʁɑ̃
syʁ sa po djafanə avε kɔ̃dɥi sε sɑ̃s
vεʁ dε vεʁtiʒinøz- e tʁublə ʁwajomə.
la bakanalə batε sɔ̃ plɛ̃ kɑ̃ ʒə kitε lasɑ̃ble,
ʒetε tʁistə puʁ sɛ̃klεʁ, il avε dispaʁy də nɔtʁə vɥ,
ʒə limaʒinε dɑ̃ lə plys ɡʁɑ̃ dezaʁwa, lεspʁi tuʁmɑ̃te,
eʁɑ̃ dɑ̃ sɔ̃ palε kɔmə ynə ɔ̃bʁə pεʁdɥ.
il dəvε εtʁə tʁwaz- œʁ dy matɛ̃ kɑ̃ lə ʒənə pʁəmje
sɔʁti dɑ̃ lə ʒaʁdɛ̃, dynə vwa sɥavə il kʁjεt « linaeda ! »
mε la ʒənə dɑ̃søzə sɑ̃blε sə mɔke də sεz- apεl,
ʒə kɔmɑ̃sεz- a ɑ̃n- avwaʁ ase də sε ʒɑ̃ la.
alɔʁ kə ʒə mapʁεtεz- a ʁɑ̃tʁe dɑ̃ ma ʃɑ̃bʁə
ʒapεʁsysz- ynə ʁuʒwajɑ̃tə klaʁte dɑ̃ lεz- etaʒə,
œ̃ fø aʁde ɡʁɛ̃pε lə lɔ̃ dεz- ɑ̃tiʃɑ̃bʁə
puʁ setɑ̃dʁə dɑ̃ lə pavilɔ̃ kɔmə œ̃n- ɔʁaʒə.
lεz- ɛ̃vite, lεz- waʁɑ̃z- avεk lœʁ kamyʁo kitε lə pavilɔ̃,
kɑ̃t- o dεʁnje etaʒə ʒə vis sɛ̃klεʁ tənɑ̃ linaeda,
la ʒənə dɑ̃søzə lə twazε sɑ̃ la mwɛ̃dʁə kɔ̃pasjɔ̃,
il sə pɑ̃ʃa vεʁz- εllə pɥiz- avεk pasjɔ̃ lɑ̃bʁasa.
linaeda nə puvε tεʁə sε sɑ̃timɑ̃, εllə ʁepɔ̃di o bεze,
lə ʁɑ̃di avεk pasjɔ̃, pɑ̃dɑ̃ kə lε flamə ɡʁɛ̃pε
vεʁ lə twa dy pavilɔ̃ dɔʁ, ʒə lε vis fyʁjøzəmɑ̃ sɑ̃lase,
tus lε døz- amɑ̃z- a ʒamε…
ʒə vis lə fø setɑ̃dʁə syʁ lε tɥilə dɔʁ, fɔ̃dʁə lə metal pʁesjø
ki kɔmə la lavə dœ̃ vɔlkɑ̃ sekula syʁ lεz- amuʁø,
ʒə vis lɔʁ ʁəkuvʁiʁ lεz- amɑ̃ də sa napə mεʁvεjøzə,
lε fiʒɑ̃ dɑ̃z- œ̃ bεze dε plys ʁadjø.
la statɥ vivɑ̃tə sekʁula vεʁ lεz- etaʒəz- akɔ̃paɲɑ̃ la ʃytə
dy pavilɔ̃ dɔʁ, ynə fyme epεsə, œ̃ bʁɥi asuʁdisɑ̃
ʁedɥizi lə ʁεvə də sɛ̃klεʁ a neɑ̃,
la fɛ̃ dœ̃ ʒeɑ̃.
ʒə kitε lε ljø kɔmə œ̃ povʁə fɑ̃tomə,
pɑ̃dε dε mwa ʒə ʁεstεz- afɔnə,
kɑ̃ ʒə mə sɑ̃ti mjø ʒə ʁəvɛ̃z- o pavilɔ̃ dɔʁ,
səl lə ʁoʃe sɔ̃bʁə ʁεstε dɑ̃ lə dekɔʁ.
dɑ̃ lεz- o dy lak, ʒapεʁsys la statɥ dɔʁ
œ̃ pεʃœʁ mə ʁakɔ̃ta kə lɔ̃ puvε ɑ̃tɑ̃dʁə lœʁ kœʁ batʁə,
kɑ̃ la lynə etε kulœʁ dɔʁ
lε døz- amɑ̃ sɔʁtε dy lak puʁ dɑ̃se, puʁ sebatʁə.
ʒə kitə a tus ʒamε lə sinistʁə ɑ̃dʁwa,
kə sɛ̃klεʁ e linaeda pɥise sεme a ʒamε,
dɑ̃se o ʁεjɔ̃ də lynə, sɑ̃bʁase
lwɛ̃ dεz- ɔməz- e də lœʁ lwa…
fɛ̃
Syllabes Phonétique : Le Nouveau Pavillon D’or : 4- La Fin, Le Début Du Rêve
ka=tʁə=la=fɛ̃=lə=de=by=dy=ʁε=və 10li=na=e=da=se=tε=dɔ=ne=a=tus=lε=zɔmə 12
ɔ=fεʁtəa=tu=tə=lε=fa=mə=lε=bε=ze=də=wa=ʁɑ̃ 13
syʁ=sa=po=dja=fa=nə=a=vε=kɔ̃d=ɥi=sε=sɑ̃s 12
vεʁ=dε=vεʁ=ti=ʒi=nø=ze=tʁu=blə=ʁwa=jo=mə 12
la=ba=ka=nalə=ba=tε=sɔ̃=plɛ̃=kɑ̃=ʒə=ki=tε=la=sɑ̃=ble 15
ʒe=tε=tʁistə=puʁ=sɛ̃=klεʁ=il=a=vε=dis=pa=ʁy=də=nɔ=tʁə=vɥ 16
ʒə=li=ma=ʒi=nε=dɑ̃lə=plys=ɡʁɑ̃=de=za=ʁwa=lεs=pʁi=tuʁ=mɑ̃=te 16
e=ʁɑ̃=dɑ̃=sɔ̃=pa=lε=kɔmə=y=nə=ɔ̃=bʁə=pεʁdɥ 12
il=də=vε=εtʁə=tʁwa=zœʁ=dy=ma=tɛ̃=kɑ̃=lə=ʒə=nə=pʁə=mje 15
sɔʁ=ti=dɑ̃lə=ʒaʁ=dɛ̃=dy=nə=vwa=sɥa=və=il=kʁjεt=li=na=e=da 16
mε=laʒə=nə=dɑ̃=sø=zə=sɑ̃=blε=sə=mɔ=ke=də=sε=za=pεl 15
ʒə=kɔ=mɑ̃=sε=za=ɑ̃=na=vwaʁ=ase=də=sε=ʒɑ̃=la 13
a=lɔʁkə=ʒə=ma=pʁε=tε=za=ʁɑ̃=tʁe=dɑ̃=ma=ʃɑ̃bʁə 12
ʒa=pεʁ=sys=zynə=ʁu=ʒwa=jɑ̃=tə=klaʁ=te=dɑ̃=lε=ze=taʒə 14
œ̃=fø=aʁ=de=ɡʁɛ̃=pε=lə=lɔ̃=dε=zɑ̃=ti=ʃɑ̃bʁə 12
puʁse=tɑ̃=dʁə=dɑ̃=lə=pa=vi=lɔ̃=kɔ=mə=œ̃=nɔʁaʒə 12
lε=zɛ̃=vi=te=lε=zwa=ʁɑ̃=za=vεk=lœʁ=ka=my=ʁo=ki=tεlə=pa=vi=lɔ̃ 18
kɑ̃=to=dεʁ=nje=e=taʒə=ʒə=vis=sɛ̃=klεʁ=tə=nɑ̃=li=na=e=da 16
laʒə=nə=dɑ̃=sø=zə=lə=twa=zε=sɑ̃=la=mwɛ̃=dʁə=kɔ̃=pa=sjɔ̃ 15
il=sə=pɑ̃=ʃa=vεʁ=zεllə=pɥi=za=vεk=pa=sjɔ̃=lɑ̃=bʁa=sa 14
li=na=e=danə=pu=vε=tε=ʁə=sε=sɑ̃=ti=mɑ̃=εl=lə=ʁe=pɔ̃=di=o=bε=ze 20
lə=ʁɑ̃=di=a=vεk=pa=sjɔ̃=pɑ̃=dɑ̃kə=lε=fla=mə=ɡʁɛ̃=pε 14
vεʁlə=twa=dy=pa=vi=lɔ̃=dɔʁ=ʒə=lε=vis=fy=ʁjø=zə=mɑ̃=sɑ̃=lase 16
tus=lε=dø=za=mɑ̃=za=ʒa=mε 8
ʒə=vislə=fø=se=tɑ̃=dʁə=syʁ=lε=tɥi=lə=dɔʁ=fɔ̃=dʁə=lə=me=tal=pʁe=sjø 18
ki=kɔmə=la=la=və=dœ̃=vɔl=kɑ̃=se=ku=la=syʁ=lε=za=mu=ʁø 16
ʒə=vis=lɔʁʁə=ku=vʁiʁ=lε=za=mɑ̃=də=sa=na=pə=mεʁ=vε=jøzə 15
lε=fi=ʒɑ̃=dɑ̃=zœ̃=bε=ze=dε=plys=ʁa=dj=ø 12
la=statɥ=vi=vɑ̃tə=se=kʁu=la=vεʁ=lε=ze=ta=ʒə=za=kɔ̃=pa=ɲɑ̃=la=ʃytə 18
dy=pa=vi=lɔ̃=dɔʁ=ynə=fy=me=e=pε=sə=œ̃=bʁɥi=a=suʁ=di=sɑ̃ 17
ʁed=ɥi=zi=lə=ʁε=və=də=sɛ̃=klεʁ=a=ne=ɑ̃ 12
la=fɛ̃=dœ̃=ʒe=ɑ̃ 5
ʒə=ki=tε=lε=ljø=kɔ=mə=œ̃=po=vʁə=fɑ̃=tomə 12
pɑ̃=dε=dε=mwa=ʒə=ʁεs=tε=za=fɔ=nə 10
kɑ̃ʒə=mə=sɑ̃=ti=mjø=ʒəʁə=vɛ̃=zo=pa=vi=lɔ̃=dɔʁ 12
səl=lə=ʁo=ʃe=sɔ̃=bʁə=ʁεs=tε=dɑ̃=lə=de=kɔʁ 12
dɑ̃=lε=zo=dy=lak=ʒa=pεʁ=sys=la=statɥ=dɔʁ 11
œ̃=pε=ʃœʁ=mə=ʁa=kɔ̃=takə=lɔ̃=pu=vε=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=lœʁ=kœʁ=batʁə 16
kɑ̃=la=ly=nə=e=tε=ku=lœ=ʁə=dɔʁ 10
lε=dø=za=mɑ̃=sɔʁ=tε=dy=lak=puʁ=dɑ̃se=puʁ=se=batʁə 13
ʒə=kitə=a=tus=ʒa=mε=lə=si=nis=tʁə=ɑ̃=dʁwa 12
kə=sɛ̃=klεʁ=e=li=na=e=da=pɥise=sε=me=a=ʒa=mε 14
dɑ̃=se=o=ʁε=j=ɔ̃=də=ly=nə=sɑ̃=bʁa=se 12
lwɛ̃=dε=zɔ=mə=ze=də=lœ=ʁə=lwa 9
fɛ̃ 1
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
29/05/2016 16:23Pengyou42
du rodin sous film d’or
brav o
Poème - Sans Thème -
Du 25/06/2015 08:52
L'écrit contient 416 mots qui sont répartis dans 13 strophes.