Poème:La Lueur De L’amour

Un soir par une nuit étoilée je regardais le ciel, j’ai cru y voir une lueur en forme de cœur.
Je ne cru pas à ce que je vus ce soir là mais c’était si beau que je ne pu me retenir d’aller le raconter.
On me dit tu sais quand on voit ce genre de lueur dans la nuit étoilée c’est signe d’amour et de bonheur…
Je ne cru pas non plus à cette légende car l’amour et le bonheur dans le moment présent ce n’était pas forcement la chose que j’avais le plus.
Je repartis faire les choses ennuyeuses et répétitives que je faisais chaques jours sans bonheur particulier.
Je marchais dans la rue quand tout à coup on me bouscula, mes livres tombèrent au sol, et voulant les ramasser je me baissa.
Mais une main passa pars dessus la mienne et les ramassa avant moi.
C’était un jeune homme au cheveux brun, au yeux de braise, pas trés grand mais ténébreux.
A peine avais-je croisé son regard que je tomba dans une étrange impression de flou de mou.
Je ne voyais que lui et tout autour, du flou.
Quand il se mit à me parler je senti mon cœur sous ma poitrine faire BOUM BOUM…
Etait-ce l’amour ?
Je ne sais pas, je ne savais pas…
J’était aveiglée pars son visage, ensorcelée pars son sourir, et je me noyais dans ses yeux.
Ça y est je le savais c’était l’amour !
Cela pouvait être quoi d’autre ?
Il me prit la main et me demanda si j’allais bien, je répondis d’un ton admiratif :
« On ne peut mieux ! »
Que lui dire d’autre ?
J’étais devenus en cinq minutes la femme la plus heureuse su monde tout ça parce qu’un jeune homme magnifique venait de me ramasser mes livres. Je me sentais un peu bête quand même, je l’est invité à prendre un verre. Il accepta.
Aprés avoir passé une heure au café il était temps de se quitter. Jamais je ne veux revivre ce moment, il me déchirer le cœur, je ne voulais pas le perder comme ça oh non ! Je lui demanda son numéro qu’il me donna immédiatement et prit le mien.
Quelle chance !
Dés le lendemain je reçu un message de sa part.
Au faite il s’appelle Alexandre.
Il voulait qu’on se voit aprés les cours, au parc à dix-sept heures. Génial !
Aprés les cours j’alla donc au parc, à dix-sept heures, il était déjà là. Magnifique !
Nous passâmes deux belles heures à discuter tranquillement et ce fut l’heure de se quitter encore une fois ce moment me déchirer.
Mais j’eu un bonus, un baiser, un long et tendre baiser sur les lèvres. Que demander de plus ?
Depuis ce jours dans le parc je vis une histoire merveilleuse pleine de rebondissement et surtout pleine d’amour.
Il fallait faire confiance à cette lueur car pour une fois, la légende était vraie.