Poème:Ptit Bout D’histoire

L’amour est abstrait
Et pourtant il nous fait voir un monde parfait
Tantôt triste, tantôt joyeux
Mais tout fini toujours avec des étoiles dans les yeux

Je dois probablement encore avancer
Avancer sur mon chemin pas tout à fait tracé
Je dois probablement encore faire des efforts
Pour arriver à avancer avec force

On ne m’a pas appris à faire confiance
J’ai toujours du toute seule me débrouiller
J’ai du grandir par mes propres moyens durant mon enfance
N’ayant personne sui qui réellement compter

On ne m’a jamais dit que l’amour pouvait être sincère
Mais plutôt bien le contraire
On m’a dit de ne jamais faire confiance en cet être là
Les hommes, ces êtres comme toi

N’ayant aucun référence parentale
J’ai toujours cru aux paroles qu’on m’a dite
Pour moi elle était loin d’être banal
Et puis elles ont fait complètement partie de ma vie

Âgée alors de 17 ans, j’avais toujours ce manque
Manque de confiance, manque d’amour
Je ne savais pas ce qu’était partager un jour
Un sentiment identique entre deux personnes

Et c’est là qu’on s’est rencontré
C’est là que petit à petit, j’ai appris à aimer
Ou plutôt à reconnaître cet étrange sentiments
Qui ne cessait de me rendre comblée

Beaucoup de choses j’ai du apprendre
Beaucoup de chose encore je dois entendre
Probablement que dans la vie
On en apprend tous les jours

Même si tout ne va pas toujours entre nous
J’ai comme cette certitude qu’un jour
On passera tous ces caps et qu’on finira peut-être
À changer tout les deux, à être presque complètement complémentaire

La vie n’est certainement pas facile
Et tu dois bien mieux le savoir que moi
Mais disons-nous que d’ici là
On vivra ensemble
Et que la vie prendra tout son sens
Je sais que je dois encore apprendre
Des choses et qu’il y en aura peut-être
Certaines que je ne comprendrais pas
Mais tu seras là
Tout comme moi je serais là

Alors là je me l’éloigne complètement de mon sujet de départ
Vaut mieux dire que c’est la fin de cette partie d’histoire
Tout ou ne rien dire que tu ne saches déjà
Je n’aime que toi ! ! !