Prose:Autoderision

La philosophie de l’autoderision.

Mon complexe premier,
Est surtout mon nez,
Par ce que j’ai l’impression,
De ne voir que ça sur mon visage,
J’en ai fait une qualité,
Par ce que je me suis dit,
C’est ce qui donne,
Un flair si sensible et intense,
Que je sais,
Quand on me prend pour idiote.

Ce nez me permets,
Également,
De mieux sentir,
Les saveurs,
Des aliments,
Et les differentes parfums,
Des fleurs.

Ensuite,
Passons à mes paupières,
Que trouves trop petites,
Par ce que je ne peux,
Les maquiller comme,
Deux papillons,
Comme le chante Claude Froncois,
Pour mieux être belle,
Mais je me dis,
Au fond de moi,
Que si elles sont ainsi,
Petites,
C’est une bonne raison,
Que c’est pour éviter,
Qu’on crois,
Que je suis une poupée,
De cire et de son,
Comme le chanter France Gall.

Tous complexes,
Il faut les prendre,
En autodérision,
Comme ça,
Nous somme bien mieux,
Dans notre peau,
Comme si notre corp,
Était un nuage si limpide,
Sans défaut,
Et si flottant dans l’atmosphère,
Nous serait bénéfique,
De nous sentir si léger,
Comme ce nuage,
Se dirigeant,
Vers,
Notre PURETE D’AMES.