Chanson:Au Rivage Du Littoral De Notre Vie.

Au rivage du littoral.
Se dessine de petites formes,
En différents gabarits,
Vue de loin donc les normes,
Visuelles qui sont éblouis,
Par les rayons du soleil,
Quand ils apparaissent,
Nous confondent par sériel,
Entre faune et flore d’allégresse.

Quand toute fois,
On peut distinguer,
Des moutons presque rois,
Des prairies aux herbes agréés,
Pour eux et leurs autres compagnons,
Mammifères a quatres pattes,
Dont les robes sont à l’union,
De dessins géométriques adéquates.

Ces prairies rejoignent au loin,
Cette ligne partiellement étrange,
Dont l’infini n’existe point,
Qui paraît se diriger vers les anges,
Tellement qu’elle peut être si étanche,
Car elle ne disparaît jamais,
Comme l’eau de toutes ces marées,
D’où l’on voit cette couleur si blanche.

Qui vient et fuis,
Comme beau lui semble,
Sauf lors de tsunamis,
Qui nous réunir tous ensemble,
Sous leurs liquide plus trop limpides,
Vue ce marron honteusement boueux,
Remplit de morceaux de bois rigides,
Et autres débris flectueux.

En automne ou au printemps,
Quand toutes ces choses colorées,
Nous envahissent aussi gaiement,
Par le reveil du règne aisé,
De végétations et d’animaux,
De différentes espèces,
Que l’on peux trouver en idéaux.

Dans toutes nos richesses,
Qui sont principalement pour moi,
Dans notre belle Nature en émoi,
Que compose notre Planète Terre,
Par dessus toutes nos richesses.

Dont certains metaux couvrent notre atmosphere,
De conflits a cause de multiples ferailles,
Dont tous appelle de l’argent et de la monnaie,
Tout ce qui détruit les valeurs vraies,
Celles qu’on va chercher loin dans nos entrailles,
Ce sont celles qui se trouve dans les coeurs.