Poème:Porte Entrouverte…

Petite fille d’un jour d’Avril,
Au beau regard, mais trop fragile,
Tes larmes tombent sans raison,
Regarde donc vers l’horizon,

Et dans le noir tu trouveras,
Une petite main tendue vers toi,
Toujours prête à t’acceuillir,
Pour t’empêcher de trop souffrir.

Si sur toi, se pose un regard,
N’est pas peur, c’est celui de l’espoir,
D’un cœur revenus de loin,
Pour alléger ton âme, tes chagrins.

Apparus pour rendre à ton cœur,
Ses joies, toutes ses couleurs,
T’offrir les rayons du soleil,
Une paire d’ailes, tombée du ciel.

Oublie les douleurs du passé,
Continue sans cesse d’avançer,
Toi qui te bats contre l’errance,
Saisis donc cette chance…

Tourne toi vers ton avenir,
A la solitude, fait donc un sourire,
Car seule, jamais tu ne seras,
Tant que mon cœur sera près de toi.

Laisse tomber, toutes ces erreurs,
Qui meurtrisses, un peu trop ton cœur,
On ne peut vivre avec le passé,
Sous peine, d’un jour sombrer.

Dans ta tête, défilent les jours,
Qui te sépare du grand Amour,
D’un rêve de tous les instants,
D’un désir de tous temps…

Pendant cette quête de ton destin,
Je ne serais jamais bien loin,
D’un oeil veillant sur ton cœur,
Pour éviter que tombent ses pleurs.

Je veillerais toutes les nuits,
Ecoutant ton cœur, ses soucis,
J’hébergerais tous ses silences,
Dans l’ombre de ma patience.

Je ne serais qu’un doux reflet,
Qui ne cherche pas à s’imposer,
Simplement, l’éveil d’un murmure,
Pour ton cœur, en cas de coups durs.