Poème:Bonheur Perdu
Le Poème
Il suffit d’une soirée pour qu’à nouveau je sombre,
Que toute ma vie se retrouve d’un coup assombrie,
Et qu’en larmes je veuille fondre.
Hier j’étais l’adolescent le plus heureux,
Mais aujourd’hui, tout a basculé,
Me rendant à nouveau malheureux,
Comme auparavant je l’ai été.
Pourquoi ne puis-je pas vivre le bonheur,
Sans qu’ensuite s’ensuive le malheur ?
Pourquoi ne puis-je pas me sentir aimé,
Sans ensuite me sentir rejeté ?
Tout finit toujours pas être noir,
M’empêchant dès lors de croire,
De trouver un jour le bonheur parfait que j’envie.
Je ressens tant de souffrances,
Et tout un mélange de peines,
Mais je ne peux retenir ma haine,
Contre cette vie dépourvue de sens.
Qui tant de fois m’a fait souffrir,
Me donnant même parfois l’idée d’en finir.
Poète Dams
Dams a publié sur le site 33 écrits. Dams est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète DamsSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Bonheur Perdu
quand=tout=commen=ceà=al=ler=bien=dans=ma=vie 10il=suf=fit=dune=soi=rée=pour=quà=nou=veau=je=sombre 12
que=toute=ma=vie=se=re=trou=ve=dun=coup=as=som=brie 13
et=quen=lar=mes=je=veui=lle=fon=dre 9
hier=jé=tais=la=doles=cent=le=plus=heu=reux 10
mais=au=jourd=hui=tout=a=bas=cu=lé 9
me=ren=dant=à=nou=veau=mal=heu=reux 9
com=me=au=pa=ra=vant=je=lai=é=té 10
pour=quoi=ne=puis=je=pas=vivre=le=bon=heur 10
sans=quen=sui=te=sen=sui=ve=le=mal=heur 10
pour=quoi=ne=puis=je=pas=me=sen=tir=ai=mé 11
sans=en=sui=te=me=sen=tir=re=je=té 10
tout=fi=nit=tou=jours=pas=ê=tre=noir 9
mem=pê=chant=dès=lors=de=croi=re 8
de=trou=ver=un=jour=le=bon=heur=par=fait=que=jen=vie 13
je=res=sens=tant=de=souf=fran=ces 8
et=tout=un=mé=lan=ge=de=pei=nes 9
mais=je=ne=peux=re=te=nir=ma=hai=ne 10
con=tre=cet=te=vie=dé=pour=vue=de=sens 10
qui=tant=de=fois=ma=fait=souf=frir 8
me=don=nant=même=par=fois=li=dée=den=fi=nir 11
Phonétique : Bonheur Perdu
kɑ̃ tu kɔmɑ̃sə a ale bjɛ̃ dɑ̃ ma vi,il syfi dynə swaʁe puʁ ka nuvo ʒə sɔ̃bʁə,
kə tutə ma vi sə ʁətʁuvə dœ̃ ku asɔ̃bʁi,
e kɑ̃ laʁmə- ʒə vœjə fɔ̃dʁə.
jεʁ ʒetε ladɔlesɑ̃ lə plysz- œʁø,
mεz- oʒuʁdɥi, tut- a baskyle,
mə ʁɑ̃dɑ̃ a nuvo maləʁø,
kɔmə opaʁavɑ̃ ʒə lε ete.
puʁkwa nə pɥi ʒə pa vivʁə lə bɔnœʁ,
sɑ̃ kɑ̃sɥitə sɑ̃sɥivə lə malœʁ ?
puʁkwa nə pɥi ʒə pa mə sɑ̃tiʁ εme,
sɑ̃z- ɑ̃sɥitə mə sɑ̃tiʁ ʁəʒəte ?
tu fini tuʒuʁ pa εtʁə nwaʁ,
mɑ̃pεʃɑ̃ dε lɔʁ də kʁwaʁə,
də tʁuve œ̃ ʒuʁ lə bɔnœʁ paʁfε kə ʒɑ̃vi.
ʒə ʁəsɛ̃ tɑ̃ də sufʁɑ̃sə,
e tut- œ̃ melɑ̃ʒə də pεnə,
mε ʒə nə pø ʁətəniʁ ma-εnə,
kɔ̃tʁə sεtə vi depuʁvɥ də sɑ̃s.
ki tɑ̃ də fwa ma fε sufʁiʁ,
mə dɔnɑ̃ mεmə paʁfwa lide dɑ̃ finiʁ.
Syllabes Phonétique : Bonheur Perdu
kɑ̃=tu=kɔ=mɑ̃səa=a=le=bjɛ̃=dɑ̃=ma=vi 10il=sy=fi=dynə=swa=ʁe=puʁ=ka=nu=vo=ʒə=sɔ̃bʁə 12
kə=tutə=ma=vi=sə=ʁə=tʁu=və=dœ̃=ku=a=sɔ̃=bʁi 13
e=kɑ̃=laʁ=mə=ʒə=vœ=jə=fɔ̃=dʁə 9
jεʁ=ʒe=tε=la=dɔ=le=sɑ̃lə=plys=zœ=ʁø 10
mε=zo=ʒuʁ=dɥi=tu=ta=bas=ky=le 9
mə=ʁɑ̃=dɑ̃=a=nu=vo=ma=lə=ʁø 9
kɔ=mə=o=pa=ʁa=vɑ̃=ʒə=lε=e=te 10
puʁ=kwa=nə=pɥiʒə=pa=vi=vʁə=lə=bɔ=nœʁ 10
sɑ̃=kɑ̃s=ɥi=tə=sɑ̃s=ɥi=və=lə=ma=lœʁ 10
puʁ=kwa=nə=pɥiʒə=pa=mə=sɑ̃=tiʁ=ε=me 10
sɑ̃=zɑ̃s=ɥi=tə=mə=sɑ̃=tiʁ=ʁə=ʒə=te 10
tu=fi=ni=tu=ʒuʁ=pa=ε=tʁə=nwaʁ 9
mɑ̃=pε=ʃɑ̃=dε=lɔʁ=də=kʁwa=ʁə 8
də=tʁu=ve=œ̃=ʒuʁlə=bɔ=nœʁ=paʁ=fε=kə=ʒɑ̃=vi 12
ʒə=ʁə=sɛ̃=tɑ̃=də=su=fʁɑ̃=sə 8
e=tu=tœ̃=me=lɑ̃=ʒə=də=pε=nə 9
mε=ʒə=nə=pø=ʁə=tə=niʁ=ma-ε=nə 10
kɔ̃=tʁə=sε=tə=vi=de=puʁvɥ=də=sɑ̃s 9
ki=tɑ̃=də=fwa=ma=fε=su=fʁiʁ 8
mə=dɔ=nɑ̃=mεmə=paʁ=fwa=li=de=dɑ̃=fi=niʁ 11
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Commentaires Sur La Poesie
1/ Pourquoi ne puis-je pas vivre le bonheur,
Sans qu’ensuite s’ensuive le malheur ?
Pourquoi ne puis-je pas me sentir aimé,
Sans ensuite me sentir rejeté ?
Tout finit toujours pas être noir,
M’empêchant dès lors de croire,
De trouver un jour le bonheur parfait que j’envie.
A cette question, à ce pourquoi, personne ne peut te répondre, Dam ! Le hasard ? Des fois on ne peut pas croire que c’est le hasard. Le bouddhisme l’explique par la loi de causalité ( cause/effet), mais personnellement je crois à quelques choses d’autres, un mystère qui nous dépasse tous que je cherche à percer.
2/ Je ressens tant de souffrances,
Et tout un mélange de peines,
Mais je ne peux retenir ma haine,
Contre cette vie dépourvue de sens.
Qui tant de fois m’a fait souffrir,
Me donnant même parfois l’idée d’en finir.
L’idée d’en finir, mais quelle sotise !
Je suis vacciné contre cette idée absurde très jeune, mais tout compte fait, est-ce vraiment une bonne chose ! Toujours est-il que cette idée de s’enfuir n’est pas bonne.
Ah ! pout y revenir : on a, toi, moi, lui, elle, nous yous un soif de l’absolu. Ce soif de l’infini, de l’inconnu est tellement grand, tant de coeur, esprit et âme on y met. . . que à chaque faux pas, à chaque obstacle survenu on se sent la fin de tout. D’ou tes déceptions fréquentes ou cycliques. OK ?
Si c’est OK ta réponse, alors le remède se simplifie. Je te livre ma recette sans ambage : ce soif là, qui vient de l’infini, alors je le remet à l’infini, à l’absolu. L’absolu vers le quel je me voue entièrement, sachant qu’il m’éclaire, qu’il me console, et jamais il me trahit. . .
Je te laisse continuer mon message inachevé. . .
Amitiés
IRIS : )
Merci boucoup pour vos commentaires, il me font beaucoup réfléchir