Poème:Hommage À Talissa, Suicidée La Nuit Du 07 Au 08 No
Le Poème
Très Chère,
Je vous écris cette très longue missive
L’espérant un tant soi peu explicative
En réponse à votre disparition hâtive
Vous qui étiez pourtant si combattive
Vous partîtes voilà bientôt deux ans…
Dés lors il y eut suspension du temps
Ce ne fût plus qu’un perpétuel néant
Le désespoir me tuât très lentement
Si j’avais pu le faire beaucoup plus tôt
Vous auriez eu ces biens attristés mots
Un lyrisme de larme en autant d’écho
Ondée d’eau de vie pour Vous là-haut
Suite au décès de votre jumelle ceci
Anéantissant définitivement votre vie
Votre cœur juvénile tellement meurtri
… Par privation de sa moitié défaillit…
Pas commettre d’impair un leitmotiv
En cause ma plume retord et chétive
L’encre l’imbibant de façon émotive
Sinon impossible serait une récidive
De votre sœur adorée aviez souvenance
Gaie complicité de jumelle en l’enfance
… Hélas après six années de son absence…
Pour la vie vous n’eûtes plus d’attirance
Tari fut le Verbe depuis votre décès
Essayant quelques rimes sans succès
Conjuguer le passé avec l’imparfait
Sans vous plus rien ne sera jamais
Comme sur votre cahier auparavant
Fût rédigé le scénario de ce moment
La tragédie eut bien lieu précisément
Par une triste nuit de pluie et de vent
… Tant et tant de lettre j’ai écrites…
Pas une seule d’entres elles réussies
Accablant ma plume de noms illicites
Quand on est piètre poète ca facilite !
Votre prompte ascension aux cieux
Ne fut qu’odieuse injustice de dieu
Maudit soit ce vieil égoïste envieux
Ainsi je n’ai pas pu vous dire adieu…
Je n’éprouvai qu’haine et dégoût alors
Envers l’imposteur imposant la mort !
… Ayant si tôt décidé de votre sort…
Me privant de vous sans aucun remord
Sombre nuitée ou hélas le pire advenu
Le destin commit cette abjecte bévue
Vous privant ainsi d’un nouveau vécu
Qui peut-être un jour vous aurait plu
Votre mort tragique fût très rude
En naquît une éternité de solitude
Votre manque jamais une habitude
Votre décès m’ empli d’incertitude
… Le suicide eût été votre délivrance…
Laissant une cicatrice représentante
Ma marque d’infamie incandescente
Pour rappeler la douleur omniprésente
Pourquoi votre suicide n’ai je su anticiper ?
… Ni pu vous aider et le désespoir arrêter…
Toutes vos peines avec mon cœur épancher
… Et enfin été capable de vous sauver…
Votre pudeur comme unique recours
Sans réponse à votre appel au secours
Ce fut donc la fin du compte à rebours
Un aller simple sans possible retour…
Malgré l’amitié qui nous rapprocha
Aujourd’hui vous l’avouer je devais
Rien que pour vous mon cœur battait
Tel aura été alors mon pesant secret
Taisant votre chagrin au quotidien
Votre dignité comme sûr soutien
Le fil d’Ariane dieu coupa le lien
… Ainsi plus rien qui ne vous retient…
J’aurais transcris sans aucune feinte
Cette litanie d’acerbes complaintes
L’âme fautive emplie d’une crainte
… Qu’au final ma plume terne s’éreinte…
Ainsi votre regard de larme fût envahi
Survivante sans fin dans la nostalgie
D’un passé révolu qui en vous survit
… Vous partîtes seule après minuit…
Ne vous dissimulant vraiment rien
Des sentiments ancrés étant miens
Vous honorez « à vie » je dois bien
Sachez : ma ferveur absolue y tient
Mon incapacité d’appréhender vos maux
Malgré le dialogue et lecture de vos mots
Gît à jamais à vos côtés tel mon fardeau
Répondez-moi : suis-je le roi des salauds ?
Je n’eus jamais été un homme à l’aise
Juste un golem sculpté dans la glaise
Perdu dans son Himalaya de fadaises
Survivant en perpétuel état de malaise
Après avoir autant enduré et pas assez vécu
Beaucoup trop donné et quasiment rien reçu
A jamais « Illustre Poétesse » vous fûtes élue
Au royaume du « Cercle des Poètes Disparus »
Fort affectueusement.
Sébastien
**
Pour Vos Parents, Votre Famille, Vos Amis (es)
Tous Celles et Ceux que votre décès aura anéanti
Et afin « Talissa » que jamais personne ne t’oublie…
Te sont dédiés avec candeur ces quelques vers ici…
**
Je vous écris cette très longue missive
L’espérant un tant soi peu explicative
En réponse à votre disparition hâtive
Vous qui étiez pourtant si combattive
Vous partîtes voilà bientôt deux ans…
Dés lors il y eut suspension du temps
Ce ne fût plus qu’un perpétuel néant
Le désespoir me tuât très lentement
Si j’avais pu le faire beaucoup plus tôt
Vous auriez eu ces biens attristés mots
Un lyrisme de larme en autant d’écho
Ondée d’eau de vie pour Vous là-haut
Suite au décès de votre jumelle ceci
Anéantissant définitivement votre vie
Votre cœur juvénile tellement meurtri
… Par privation de sa moitié défaillit…
Pas commettre d’impair un leitmotiv
En cause ma plume retord et chétive
L’encre l’imbibant de façon émotive
Sinon impossible serait une récidive
De votre sœur adorée aviez souvenance
Gaie complicité de jumelle en l’enfance
… Hélas après six années de son absence…
Pour la vie vous n’eûtes plus d’attirance
Tari fut le Verbe depuis votre décès
Essayant quelques rimes sans succès
Conjuguer le passé avec l’imparfait
Sans vous plus rien ne sera jamais
Comme sur votre cahier auparavant
Fût rédigé le scénario de ce moment
La tragédie eut bien lieu précisément
Par une triste nuit de pluie et de vent
… Tant et tant de lettre j’ai écrites…
Pas une seule d’entres elles réussies
Accablant ma plume de noms illicites
Quand on est piètre poète ca facilite !
Votre prompte ascension aux cieux
Ne fut qu’odieuse injustice de dieu
Maudit soit ce vieil égoïste envieux
Ainsi je n’ai pas pu vous dire adieu…
Je n’éprouvai qu’haine et dégoût alors
Envers l’imposteur imposant la mort !
… Ayant si tôt décidé de votre sort…
Me privant de vous sans aucun remord
Sombre nuitée ou hélas le pire advenu
Le destin commit cette abjecte bévue
Vous privant ainsi d’un nouveau vécu
Qui peut-être un jour vous aurait plu
Votre mort tragique fût très rude
En naquît une éternité de solitude
Votre manque jamais une habitude
Votre décès m’ empli d’incertitude
… Le suicide eût été votre délivrance…
Laissant une cicatrice représentante
Ma marque d’infamie incandescente
Pour rappeler la douleur omniprésente
Pourquoi votre suicide n’ai je su anticiper ?
… Ni pu vous aider et le désespoir arrêter…
Toutes vos peines avec mon cœur épancher
… Et enfin été capable de vous sauver…
Votre pudeur comme unique recours
Sans réponse à votre appel au secours
Ce fut donc la fin du compte à rebours
Un aller simple sans possible retour…
Malgré l’amitié qui nous rapprocha
Aujourd’hui vous l’avouer je devais
Rien que pour vous mon cœur battait
Tel aura été alors mon pesant secret
Taisant votre chagrin au quotidien
Votre dignité comme sûr soutien
Le fil d’Ariane dieu coupa le lien
… Ainsi plus rien qui ne vous retient…
J’aurais transcris sans aucune feinte
Cette litanie d’acerbes complaintes
L’âme fautive emplie d’une crainte
… Qu’au final ma plume terne s’éreinte…
Ainsi votre regard de larme fût envahi
Survivante sans fin dans la nostalgie
D’un passé révolu qui en vous survit
… Vous partîtes seule après minuit…
Ne vous dissimulant vraiment rien
Des sentiments ancrés étant miens
Vous honorez « à vie » je dois bien
Sachez : ma ferveur absolue y tient
Mon incapacité d’appréhender vos maux
Malgré le dialogue et lecture de vos mots
Gît à jamais à vos côtés tel mon fardeau
Répondez-moi : suis-je le roi des salauds ?
Je n’eus jamais été un homme à l’aise
Juste un golem sculpté dans la glaise
Perdu dans son Himalaya de fadaises
Survivant en perpétuel état de malaise
Après avoir autant enduré et pas assez vécu
Beaucoup trop donné et quasiment rien reçu
A jamais « Illustre Poétesse » vous fûtes élue
Au royaume du « Cercle des Poètes Disparus »
Fort affectueusement.
Sébastien
**
Pour Vos Parents, Votre Famille, Vos Amis (es)
Tous Celles et Ceux que votre décès aura anéanti
Et afin « Talissa » que jamais personne ne t’oublie…
Te sont dédiés avec candeur ces quelques vers ici…
**
PostScriptum
Pardonne-moi…
Poète Dandy_Mélancolique
Dandy_Mélancolique a publié sur le site 7 écrits. Dandy_Mélancolique est membre du site depuis l'année 2008.Lire le profil du poète Dandy_MélancoliqueSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Hommage À Talissa, Suicidée La Nuit Du 07 Au 08 No
très=chè=re 3je=vous=é=cris=cette=très=lon=gue=mis=sive 10
les=pé=rant=un=tant=soi=peu=ex=pli=ca=tive 11
en=ré=ponseà=vo=tre=dis=pa=ri=tion=hâ=tive 11
vous=qui=é=tiez=pour=tant=si=com=bat=tive 10
vous=par=tî=tes=voi=là=bien=tôt=deux=ans 10
dés=lors=il=y=eut=sus=pen=sion=du=temps 10
ce=ne=fût=plus=quun=per=pé=tuel=né=ant 10
le=dé=ses=poir=me=tuât=très=len=te=ment 10
si=ja=vais=pu=le=faire=beau=coup=plus=tôt 10
vous=au=riez=eu=ces=biens=at=tris=tés=mots 10
un=ly=risme=de=lar=meen=au=tant=dé=cho 10
on=dée=deau=de=vie=pour=vous=là=haut 9
suiteau=dé=cès=de=vo=tre=ju=mel=le=ce=ci 11
ané=an=tis=sant=dé=fi=ni=tive=ment=vo=tre=vie 12
votre=cœur=ju=vé=ni=le=tel=le=ment=meur=tri 11
par=pri=va=tion=de=sa=moi=tié=dé=faillit 11
pas=com=met=tre=dim=pair=un=leit=mo=tiv 10
en=cau=se=ma=plume=re=tord=et=ché=tive 10
lencre=lim=bi=bant=de=fa=çon=é=mo=tive 10
si=non=im=pos=sible=se=rait=u=ne=ré=ci=dive 12
de=votre=sœur=a=do=rée=a=viez=sou=ve=nance 11
gaie=com=pli=ci=té=de=ju=mel=leen=len=fance 11
hé=las=a=près=six=an=nées=de=son=ab=sence 12
pour=la=vie=vous=neû=tes=plus=dat=ti=rance 10
ta=ri=fut=le=verbe=de=puis=vo=tre=dé=cès 11
es=say=ant=quel=ques=ri=mes=sans=suc=cès 10
conju=guer=le=pas=sé=a=vec=lim=par=fait 10
sans=vous=plus=rien=ne=se=ra=ja=mais 9
com=me=sur=votre=ca=hier=au=pa=ra=vant 10
fût=ré=di=gé=le=s=cé=na=rio=de=ce=moment 12
la=tra=gé=die=eut=bien=lieu=pré=ci=sément 10
par=u=ne=triste=nuit=de=pluie=et=de=vent 10
tant=et=tant=de=let=tre=jai=é=crites 10
pas=u=ne=seule=den=tres=el=les=réus=sies 10
ac=ca=blant=ma=plu=me=de=noms=illi=cites 10
quand=on=est=piètre=po=è=te=ca=fa=ci=lite 11
vo=tre=promp=te=as=cen=si=on=aux=cieux 10
ne=fut=quo=dieuse=in=jus=ti=ce=de=dieu 10
mau=dit=soit=ce=vieil=é=goïs=te=en=vieux 10
ain=si=je=nai=pas=pu=vous=dire=a=dieu 10
je=né=prou=vai=qu=haineet=dé=goût=a=lors 10
en=vers=lim=pos=teur=im=po=sant=la=mort 10
ayant=si=tôt=dé=ci=dé=de=votre=sort 10
me=pri=vant=de=vous=sans=au=cun=re=mord 10
sombre=nui=tée=ou=hé=las=le=pi=read=ve=nu 11
le=des=tin=com=mit=cetteab=jec=te=bé=vue 10
vous=pri=vant=ain=si=dun=nou=veau=vé=cu 10
qui=peut=tê=tre=un=jour=vous=au=rait=plu 10
vo=tre=mort=tra=gi=que=fût=très=ru=de 10
en=na=quît=uneé=ter=ni=té=de=so=li=tude 11
votre=man=que=ja=mais=u=ne=ha=bi=tude 10
vo=tre=dé=cès=mem=pli=din=cer=ti=tude 10
le=sui=cide=eût=é=té=vo=tre=dé=li=vrance 12
lais=sant=une=ci=ca=tri=ce=re=pré=sen=tante 11
ma=mar=que=din=fa=mie=in=can=des=cente 10
pour=rap=pe=ler=la=dou=leur=om=ni=pré=sente 11
pour=quoi=votre=sui=ci=de=nai=je=su=an=ti=ci=per 13
ni=pu=vous=ai=der=et=le=déses=poir=ar=rê=ter 13
toutes=vos=pei=nes=a=vec=mon=cœur=é=pan=cher 11
et=en=fin=é=té=ca=pable=de=vous=sau=ver 12
vo=tre=pu=deur=comme=u=ni=que=re=cours 10
sans=ré=ponseà=vo=tre=ap=pel=au=se=cours 10
ce=fut=donc=la=fin=du=comp=teà=re=bours 10
un=al=ler=simple=sans=pos=si=ble=re=tour 10
mal=gré=la=mi=tié=qui=nous=rap=pro=cha 10
au=jourd=hui=vous=la=vou=er=je=de=vais 10
rien=que=pour=vous=mon=cœur=bat=tait 8
tel=au=ra=é=té=a=lors=mon=pe=sant=se=cret 12
tai=sant=vo=tre=cha=grin=au=quo=ti=dien 10
vo=tre=di=gni=té=com=me=sûr=sou=tien 10
le=fil=da=ria=ne=dieu=cou=pa=le=lien 10
ain=si=plus=rien=qui=ne=vous=re=ti=ent 11
jau=rais=trans=cris=sans=au=cu=ne=fein=te 10
cet=te=li=ta=nie=da=cer=bes=com=plaintes 10
lâ=me=fau=ti=ve=em=plie=du=ne=crainte 10
quau=fi=nal=ma=plume=ter=ne=sé=reinte 10
ain=si=votre=re=gard=de=lar=me=fût=en=va=hi 12
sur=vi=vante=sans=fin=dans=la=nos=tal=gie 10
dun=pas=sé=ré=vo=lu=qui=en=vous=sur=vit 11
vous=par=tî=tes=seule=a=près=mi=nuit 10
ne=vous=dis=si=mu=lant=vrai=ment=rien 9
des=sen=ti=ments=an=crés=é=tant=miens 9
vous=ho=no=rez=à=vie=je=dois=bien 9
sa=chez=ma=fer=veur=ab=so=lue=y=tient 10
mon=in=ca=pa=ci=té=dap=préhen=der=vos=maux 11
mal=gré=le=dia=lo=gueet=lec=ture=de=vos=mots 11
gît=à=ja=mais=à=vos=cô=tés=tel=mon=far=deau 12
ré=pon=dez=moi=suis=je=le=roi=des=sa=lauds 11
je=neus=ja=mais=é=té=un=homme=à=laise 10
jus=teun=go=lem=s=culp=té=dans=la=glaise 10
per=du=dans=son=hi=ma=laya=de=fa=daises 10
sur=vi=vant=en=per=pé=tuel=é=tat=de=ma=laise 12
après=a=voir=au=tant=en=du=ré=et=pas=as=sez=vé=cu 14
beau=coup=trop=don=né=et=qua=siment=rien=re=çu 11
a=ja=mais=illus=tre=poétes=se=vous=fû=tes=é=lue 12
au=ro=yaume=du=cer=cle=des=po=è=tes=dis=pa=rus 13
fort=af=fec=tu=eu=se=ment 7
sé=bas=tien 3
as=té=ris=queas=té=ris=que=as=té=ris=que=as=té=risque 14
pour=vos=parents=vo=tre=fa=mille=vos=a=mis=es 11
tous=cel=les=et=ceux=que=votre=dé=cès=au=ra=a=né=an=ti 15
et=a=fin=ta=lis=sa=que=ja=mais=per=sonne=ne=tou=blie 14
te=sont=dé=diés=a=vec=can=deur=ces=quel=ques=vers=i=ci 14
as=té=ris=queas=té=ris=que=as=té=ris=que=as=té=risque 14
Phonétique : Hommage À Talissa, Suicidée La Nuit Du 07 Au 08 No
tʁε ʃεʁə,ʒə vuz- ekʁi sεtə tʁε lɔ̃ɡ misivə
lεspeʁɑ̃ œ̃ tɑ̃ swa pø εksplikativə
ɑ̃ ʁepɔ̃sə a vɔtʁə dispaʁisjɔ̃ ativə
vu ki etje puʁtɑ̃ si kɔ̃bativə
vu paʁtitə vwala bjɛ̃to døz- ɑ̃…
des lɔʁz- il i y syspɑ̃sjɔ̃ dy tɑ̃
sə nə fy plys kœ̃ pεʁpetɥεl neɑ̃
lə dezεspwaʁ mə tya tʁε lɑ̃təmɑ̃
si ʒavε py lə fεʁə boku plys to
vuz- oʁjez- y sε bjɛ̃z- atʁiste mo
œ̃ liʁismə də laʁmə ɑ̃n- otɑ̃ deʃo
ɔ̃de do də vi puʁ vu la-o
sɥitə o desε də vɔtʁə ʒymεllə səsi
aneɑ̃tisɑ̃ definitivəmɑ̃ vɔtʁə vi
vɔtʁə kœʁ ʒyvenilə tεllmɑ̃ məʁtʁi
… paʁ pʁivasjɔ̃ də sa mwatje defaji…
pa kɔmεtʁə dɛ̃pεʁ œ̃ lεtmɔtiv
ɑ̃ kozə ma plymə ʁətɔʁ e ʃetivə
lɑ̃kʁə lɛ̃bibɑ̃ də fasɔ̃ emɔtivə
sinɔ̃ ɛ̃pɔsiblə səʁε ynə ʁesidivə
də vɔtʁə sœʁ adɔʁe avje suvənɑ̃sə
ɡε kɔ̃plisite də ʒymεllə ɑ̃ lɑ̃fɑ̃sə
… elaz- apʁε siz- ane də sɔ̃n- absɑ̃sə…
puʁ la vi vu nytə plys datiʁɑ̃sə
taʁi fy lə vεʁbə dəpɥi vɔtʁə desε
esεjɑ̃ kεlk ʁimə sɑ̃ syksε
kɔ̃ʒyɡe lə pase avεk lɛ̃paʁfε
sɑ̃ vu plys ʁjɛ̃ nə səʁa ʒamε
kɔmə syʁ vɔtʁə kaje opaʁavɑ̃
fy ʁediʒe lə senaʁjo də sə mɔmɑ̃
la tʁaʒedi y bjɛ̃ ljø pʁesizemɑ̃
paʁ ynə tʁistə nɥi də plɥi e də vɑ̃
… tɑ̃ e tɑ̃ də lεtʁə ʒε ekʁitə…
pa ynə sələ dɑ̃tʁəz- εllə ʁeysi
akablɑ̃ ma plymə də nɔ̃z- ilisitə
kɑ̃t- ɔ̃n- ε pjεtʁə pɔεtə ka fasilitə !
vɔtʁə pʁɔ̃ptə asɑ̃sjɔ̃ o sjø
nə fy kɔdjøzə ɛ̃ʒystisə də djø
modi swa sə vjεj eɡɔistə ɑ̃vjø
ɛ̃si ʒə nε pa py vu diʁə adjø…
ʒə nepʁuvε kεnə e deɡu alɔʁ
ɑ̃vεʁ lɛ̃pɔstœʁ ɛ̃pozɑ̃ la mɔʁ !
… εjɑ̃ si to deside də vɔtʁə sɔʁ…
mə pʁivɑ̃ də vu sɑ̃z- okœ̃ ʁəmɔʁ
sɔ̃bʁə nɥite u ela lə piʁə advəny
lə dεstɛ̃ kɔmi sεtə abʒεktə bevɥ
vu pʁivɑ̃ ɛ̃si dœ̃ nuvo veky
ki pø tεtʁə œ̃ ʒuʁ vuz- oʁε ply
vɔtʁə mɔʁ tʁaʒikə fy tʁε ʁydə
ɑ̃ naki ynə etεʁnite də sɔlitydə
vɔtʁə mɑ̃kə ʒamεz- ynə-abitydə
vɔtʁə desε mɑ̃pli dɛ̃sεʁtitydə
… lə sɥisidə y ete vɔtʁə delivʁɑ̃sə…
lεsɑ̃ ynə sikatʁisə ʁəpʁezɑ̃tɑ̃tə
ma maʁkə dɛ̃fami ɛ̃kɑ̃desɑ̃tə
puʁ ʁapəle la dulœʁ ɔmnipʁezɑ̃tə
puʁkwa vɔtʁə sɥisidə nε ʒə sy ɑ̃tisipe ?
… ni py vuz- εde e lə dezεspwaʁ aʁεte…
tutə vo pεnəz- avεk mɔ̃ kœʁ epɑ̃ʃe
… e ɑ̃fɛ̃ ete kapablə də vu sove…
vɔtʁə pydœʁ kɔmə ynikə ʁəkuʁ
sɑ̃ ʁepɔ̃sə a vɔtʁə apεl o səkuʁ
sə fy dɔ̃k la fɛ̃ dy kɔ̃tə a ʁəbuʁ
œ̃n- ale sɛ̃plə sɑ̃ pɔsiblə ʁətuʁ…
malɡʁe lamitje ki nu ʁapʁoʃa
oʒuʁdɥi vu lavue ʒə dəvε
ʁjɛ̃ kə puʁ vu mɔ̃ kœʁ batε
tεl oʁa ete alɔʁ mɔ̃ pəzɑ̃ sεkʁε
tεzɑ̃ vɔtʁə ʃaɡʁɛ̃ o kɔtidjɛ̃
vɔtʁə diɲite kɔmə syʁ sutjɛ̃
lə fil daʁjanə djø kupa lə ljɛ̃
… ɛ̃si plys ʁjɛ̃ ki nə vu ʁətjɛ̃…
ʒoʁε tʁɑ̃skʁi sɑ̃z- okynə fɛ̃tə
sεtə litani dasεʁbə- kɔ̃plɛ̃tə
lamə fotivə ɑ̃pli dynə kʁɛ̃tə
… ko final ma plymə tεʁnə seʁɛ̃tə…
ɛ̃si vɔtʁə ʁəɡaʁ də laʁmə fy ɑ̃vai
syʁvivɑ̃tə sɑ̃ fɛ̃ dɑ̃ la nɔstalʒi
dœ̃ pase ʁevɔly ki ɑ̃ vu syʁvi
… vu paʁtitə sələ apʁε minɥi…
nə vu disimylɑ̃ vʁεmɑ̃ ʁjɛ̃
dε sɑ̃timɑ̃z- ɑ̃kʁez- etɑ̃ mjɛ̃
vuz- onoʁəz « a vjə » ʒə dwa bjɛ̃
saʃe : ma fεʁvœʁ absɔlɥ i tjɛ̃
mɔ̃n- ɛ̃kapasite dapʁeɑ̃de vo mo
malɡʁe lə djalɔɡ e lεktyʁə də vo mo
ʒit a ʒamεz- a vo kote tεl mɔ̃ faʁdo
ʁepɔ̃de mwa : sɥi ʒə lə ʁwa dε salo ?
ʒə ny ʒamεz- ete œ̃n- ɔmə a lεzə
ʒystə œ̃ ɡɔlεm skylpte dɑ̃ la ɡlεzə
pεʁdy dɑ̃ sɔ̃n- imalεja də fadεzə
syʁvivɑ̃ ɑ̃ pεʁpetɥεl eta də malεzə
apʁεz- avwaʁ otɑ̃ ɑ̃dyʁe e pa ase veky
boku tʁo dɔne e kazime ʁjɛ̃ ʁəsy
a ʒamεs « ijystʁə pɔetesə » vus fytəz- elɥ
o ʁwajomə dy « sεʁklə dε pɔεtə dispaʁys »
fɔʁ afεktɥøzəmɑ̃.
sebastjɛ̃
asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə
puʁ vo paʁɑ̃, vɔtʁə famijə, voz- amis (əs)
tus sεlləz- e sø kə vɔtʁə desεz- oʁa aneɑ̃ti
e afin « talisa » kə ʒamε pεʁsɔnə nə tubli…
tə sɔ̃ dedjez- avεk kɑ̃dœʁ sε kεlk vεʁz- isi…
asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə
Syllabes Phonétique : Hommage À Talissa, Suicidée La Nuit Du 07 Au 08 No
tʁε=ʃε=ʁə 3ʒə=vu=ze=kʁi=sε=tə=tʁε=lɔ̃ɡ=mi=si=və 11
lεs=pe=ʁɑ̃=œ̃=tɑ̃=swa=pø=εk=spli=ka=ti=və 12
ɑ̃=ʁe=pɔ̃=sə=a=vɔtʁə=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=a=tivə 12
vu=ki=e=tj=e=puʁ=tɑ̃=si=kɔ̃=ba=ti=və 12
vu=paʁ=ti=tə=vwa=la=bj=ɛ̃=to=dø=zɑ̃ 11
des=lɔʁ=zil=i=y=sys=pɑ̃=sj=ɔ̃=dy=tɑ̃ 11
sə=nə=fy=plys=kœ̃=pεʁ=pet=ɥεl=ne=ɑ̃ 10
lə=de=zεs=pwa=ʁmə=ty=a=tʁε=lɑ̃=tə=mɑ̃ 11
si=ʒa=vε=py=lə=fε=ʁə=bo=ku=plys=to 11
vu=zo=ʁj=e=zy=sε=bjɛ̃=za=tʁis=te=mo 11
œ̃=li=ʁis=mə=də=laʁ=mə=ɑ̃=no=tɑ̃=de=ʃo 12
ɔ̃=de=do=də=vi=puʁ=vu=la-o 9
sɥitə=o=de=sε=də=vɔ=tʁə=ʒy=mεl=lə=sə=si 12
a=ne=ɑ̃=ti=sɑ̃=de=fi=ni=tivə=mɑ̃=vɔ=tʁə=vi 13
vɔ=tʁə=kœ=ʁə=ʒy=ve=ni=lə=tεl=lmɑ̃=məʁ=tʁi 12
paʁ=pʁi=va=sjɔ̃=də=sa=mwa=tje=de=fa=ji 12
pa=kɔ=mε=tʁə=dɛ̃=pεʁ=œ̃=lεt=mɔ=tiv 10
ɑ̃=ko=zə=ma=ply=mə=ʁə=tɔʁ=e=ʃe=ti=və 12
lɑ̃=kʁə=lɛ̃=bi=bɑ̃=də=fa=sɔ̃=e=mɔ=ti=və 12
si=nɔ̃=ɛ̃=pɔ=siblə=sə=ʁε=y=nə=ʁe=si=divə 12
də=vɔ=tʁə=sœʁ=a=dɔ=ʁe=a=vje=su=və=nɑ̃sə 12
ɡε=kɔ̃=pli=si=te=də=ʒy=mεl=lə=ɑ̃=lɑ̃=fɑ̃sə 12
e=la=za=pʁε=si=za=ne=də=sɔ̃=nab=sɑ̃sə 12
puʁ=la=vi=vu=ny=tə=plys=da=ti=ʁɑ̃=sə 11
ta=ʁi=fy=lə=vεʁ=bə=dəp=ɥi=vɔ=tʁə=de=sε 12
e=sε=j=ɑ̃=kεl=kə=ʁi=mə=sɑ̃=syk=sε 11
kɔ̃=ʒy=ɡe=lə=pa=se=a=vεk=lɛ̃=paʁ=fε 11
sɑ̃=vu=plys=ʁj=ɛ̃=nə=sə=ʁa=ʒa=mε 10
kɔ=mə=syʁ=vɔ=tʁə=ka=j=e=o=pa=ʁa=vɑ̃ 12
fy=ʁe=di=ʒe=lə=se=na=ʁjo=də=sə=mɔ=mɑ̃ 12
la=tʁa=ʒe=di=y=bj=ɛ̃=ljø=pʁe=si=ze=mɑ̃ 12
paʁ=y=nə=tʁis=tə=nɥi=də=plɥi=e=də=vɑ̃ 11
tɑ̃=e=tɑ̃=də=lε=tʁə=ʒε=e=kʁi=tə 11
pa=y=nə=sə=lə=dɑ̃=tʁə=zεl=lə=ʁe=y=si 12
a=ka=blɑ̃=ma=ply=mə=də=nɔ̃=zi=li=si=tə 12
kɑ̃=tɔ̃=nε=pjε=tʁə=pɔ=ε=tə=ka=fa=si=litə 12
vɔ=tʁə=pʁɔ̃p=tə=a=sɑ̃=sj=ɔ̃=o=sj=ø 11
nə=fy=kɔ=djø=zə=ɛ̃=ʒys=ti=sə=də=dj=ø 12
mo=di=swa=sə=vjεj=e=ɡɔ=is=tə=ɑ̃=vj=ø 12
ɛ̃=si=ʒə=nε=pa=py=vu=di=ʁə=a=dj=ø 12
ʒə=ne=pʁu=vε=kε=nə=e=de=ɡu=a=lɔʁ 11
ɑ̃=vεʁ=lɛ̃=pɔs=tœ=ʁə=ɛ̃=po=zɑ̃=la=mɔʁ 11
ε=jɑ̃=si=to=de=si=de=də=vɔ=tʁə=sɔʁ 12
mə=pʁi=vɑ̃=də=vu=sɑ̃=zo=kœ̃=ʁə=mɔʁ 10
sɔ̃bʁə=nɥi=te=u=e=la=lə=pi=ʁə=ad=və=ny 12
lə=dεs=tɛ̃=kɔ=mi=sε=tə=ab=ʒεk=tə=bevɥ 11
vu=pʁi=vɑ̃=ɛ̃=si=dœ̃=nu=vo=ve=ky 10
ki=pø=tε=tʁə=œ̃=ʒuʁ=vu=zo=ʁε=ply 10
vɔ=tʁə=mɔʁ=tʁa=ʒi=kə=fy=tʁε=ʁy=də 10
ɑ̃=na=ki=ynə=e=tεʁ=ni=te=də=sɔ=li=tydə 12
vɔ=tʁə=mɑ̃=kə=ʒa=mε=zy=nə-a=bi=ty=də 12
vɔ=tʁə=de=sε=mɑ̃=pli=dɛ̃=sεʁ=ti=ty=də 11
lə=sɥi=sidə=y=e=te=vɔ=tʁə=de=li=vʁɑ̃sə 12
lε=sɑ̃=y=nə=si=ka=tʁi=sə=ʁə=pʁe=zɑ̃=tɑ̃tə 12
ma=maʁ=kə=dɛ̃=fa=mi=ɛ̃=kɑ̃=de=sɑ̃=tə 11
puʁ=ʁa=pə=le=la=du=lœʁ=ɔm=ni=pʁe=zɑ̃=tə 12
puʁ=kwa=vɔtʁə=sɥi=si=də=nε=ʒə=sy=ɑ̃=ti=si=pe 13
ni=py=vu=zε=de=e=lə=de=zεs=pwaʁ=a=ʁε=te 14
tu=tə=vo=pε=nə=za=vεk=mɔ̃=kœʁ=e=pɑ̃=ʃe 12
e=ɑ̃=fɛ̃=e=te=ka=pablə=də=vu=so=ve 12
vɔ=tʁə=py=dœ=ʁə=kɔ=mə=y=ni=kə=ʁə=kuʁ 12
sɑ̃=ʁe=pɔ̃=sə=a=vɔ=tʁə=a=pεl=o=sə=kuʁ 12
sə=fy=dɔ̃k=la=fɛ̃=dy=kɔ̃=tə=a=ʁə=buʁ 11
œ̃=na=le=sɛ̃=plə=sɑ̃=pɔ=si=blə=ʁə=tuʁ 11
mal=ɡʁe=la=mi=tj=e=ki=nu=ʁa=pʁo=ʃa 11
o=ʒuʁ=dɥi=vu=la=vu=e=ʒə=də=vε 10
ʁj=ɛ̃=kə=puʁ=vu=mɔ̃=kœ=ʁə=ba=tε 10
tεl=o=ʁa=e=te=a=lɔʁ=mɔ̃=pə=zɑ̃=sε=kʁε 12
tε=zɑ̃=vɔ=tʁə=ʃa=ɡʁɛ̃=o=kɔ=ti=dj=ɛ̃ 11
vɔ=tʁə=di=ɲi=te=kɔ=mə=syʁ=su=tj=ɛ̃ 11
lə=fil=da=ʁj=a=nə=djø=ku=pa=lə=lj=ɛ̃ 12
ɛ̃=si=plys=ʁj=ɛ̃=ki=nə=vu=ʁə=tj=ɛ̃ 12
ʒo=ʁε=tʁɑ̃s=kʁi=sɑ̃=zo=ky=nə=fɛ̃=tə 10
sε=tə=li=ta=ni=da=sεʁ=bə=kɔ̃=plɛ̃=tə 11
la=mə=fo=ti=və=ɑ̃=pli=dy=nə=kʁɛ̃=tə 11
ko=fi=nal=ma=ply=mə=tεʁ=nə=se=ʁɛ̃=tə 12
ɛ̃=si=vɔ=tʁə=ʁə=ɡaʁdə=laʁ=mə=fy=ɑ̃=va=i 12
syʁ=vi=vɑ̃=tə=sɑ̃=fɛ̃=dɑ̃=la=nɔs=tal=ʒi 11
dœ̃=pa=se=ʁe=vɔ=ly=ki=ɑ̃=vu=syʁ=vi 11
vu=paʁ=ti=tə=sə=lə=a=pʁε=min=ɥi 11
nə=vu=di=si=my=lɑ̃=vʁε=mɑ̃=ʁj=ɛ̃ 10
dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=zɑ̃=kʁe=ze=tɑ̃=mj=ɛ̃ 10
vu=zo=no=ʁəz=a=vj=ə=ʒə=dwa=bj=ɛ̃ 11
sa=ʃe=ma=fεʁ=vœ=ʁə=ab=sɔlɥ=i=tj=ɛ̃ 11
mɔ̃=nɛ̃=ka=pa=si=te=da=pʁe=ɑ̃=de=vo=mo 12
mal=ɡʁe=lə=dja=lɔɡ=e=lεk=ty=ʁə=də=vo=mo 12
ʒit=a=ʒa=mε=za=vo=ko=te=tεl=mɔ̃=faʁ=do 12
ʁe=pɔ̃=de=mwa=sɥi=ʒə=lə=ʁwa=dε=sa=lo 11
ʒə=ny=ʒa=mε=ze=te=œ̃=nɔ=mə=a=lε=zə 12
ʒys=tə=œ̃=ɡɔ=lεm=skyl=pte=dɑ̃=la=ɡlε=zə 11
pεʁ=dy=dɑ̃=sɔ̃=ni=ma=lε=ja=də=fa=dε=zə 12
syʁ=vi=vɑ̃=ɑ̃=pεʁ=pet=ɥεl=e=ta=də=ma=lεzə 12
a=pʁε=za=vwaʁ=o=tɑ̃=ɑ̃=dyʁe=e=pa=ase=ve=ky 13
bo=ku=tʁo=dɔ=ne=e=ka=zi=me=ʁjɛ̃=ʁə=sy 12
a=ʒa=mεs=i=jys=tʁə=pɔ=e=te=sə=vus=fytə=zelɥ 13
o=ʁwa=jomə=dy=sεʁ=klə=dε=pɔ=ε=tə=dis=pa=ʁys 13
fɔʁ=a=fεk=tɥ=ø=zə=mɑ̃ 7
se=bas=tj=ɛ̃ 4
as=te=ʁiskəas=te=ʁiskə=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁiskə 12
puʁ=vo=pa=ʁɑ̃=vɔtʁə=fa=mi=jə=vo=za=mis=əs 12
tus=sεllə=ze=søkə=vɔ=tʁə=de=sε=zo=ʁa=a=ne=ɑ̃=ti 14
e=a=fin=ta=li=sa=kə=ʒa=mε=pεʁ=sɔnə=nə=tu=bli 14
tə=sɔ̃=de=dje=za=vεk=kɑ̃=dœʁ=sε=kεl=kə=vεʁ=zi=si 14
as=te=ʁiskəas=te=ʁiskə=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁiskə 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
06/10/2008 22:50Illusion
Ooo SUPER l’Hommage que tu fais a Talissa elle le merite elle étais super comme fille... Elle fu ll’une des personne qui ont marquer se site et malgrès ça tristesse elle etais souvent la pour aidés les autres...
Amitiè (k)(k)(bf)
14/10/2008 22:52Jazie
c’est un bien bel et triste hommage que tu rend là. Bravo a toi, tu est vraiment un poète émérite!
Amitiés Vanessa
18/10/2008 22:46Camillou
cher sebastien, je ne vous conais pas beaucoup mais ai été flattée davoir attirée votre attention a propos de la rose pourpre parisienne. Je trouve moi aussi vos poemes merveilleux et remplis dune grande sensibilité assez mélancolique mais qui fait tout votre charme.
jespere que nous aurons loccasion de nous parler, jaime beaucoup ecrire c un remede efficace contre la soufrance. J’aime ecrire mais jaffectionne encore plus le piano. En ce moment par exemple, j’ecris une chanson av mon piano pour un homme que g beaucoup aimé. Enfin bref, c’est cool que ce site soit la il permet de sexprimer!
24/10/2008 17:17Choupa-Fraiz
Trés touchant texte
Une pensée pour talissa
Bisou
27/10/2008 15:34L'eau
comme votre poéme est touchant,quel talent et pourtant quelle tristesse puisque ceux qu’on aime partent les premiers et que dieu dispose de la vie et nous assujettis pour nous faire pions sur l’échéquier du temps!nous dansons avec l’amour,nous dansons avec la mort!
02/11/2008 23:31Lindsay82
j’aime beaucoup ce poème cet homage il est magnifique et je suis sur qu’elle le mérite!! biz lindsay
30/11/2009 19:08Toxic
très bel hommage, Talissa, etait une fille généreuse..
Poème Hommage
Du 06/10/2008 22:29
L'écrit contient 682 mots qui sont répartis dans 5 strophes.