Poème:Alcool Et Mutilation

Tout commença par un verre, un soir pour essayer entre copines
Ce gout de vodka était tellement écœurant
Que j’ai arrêté de suite après un verre d’alcool
Puis il y a cette effet
Sublime chimie que me fit rire aux éclats

Un jour, une dispute avec mon copain, une sortir mal tournée
J’ai courru à la recherche de cette effet
J’étais mal, il me plaquait après des mois d’amour
Et une première fois volé à jamais

Une semaine plus tard, j’apprend que mes parents divorce
Alors j’ai recherché, encore une fois, mon effet anesthésique
A présent le brevage autrefois écœurant ne ferai que passé comme de l’eau
D’un simple coup sec d’une petite bouteille d’alcool à 37, 5%

Je savais que mes parents divorçait car j’avais rendu la situation incontrolable
Je savais que Loïc que laissait parce que j’avais fait trop d’erreurs, indécises
Je savais que ma meilleure amie me haïsait car j’ai brisé sa confiance
Et à chaque fois « l’effet » m’aidait, à tous oublier

Mais à un moment ce n’était pas assez
Je me détestais, haïsais tant que le miroir a été jeté depuis longtemps
J’ai trouvé cette lame, douces carreses sur mon bras
J’ai pleuré pour la première fois depuis 2 ans
Mon superbe suplice me plaisait tant que ma joie c’est échappé de mes yeux
Ma lame dansait, mes larmes chantaient, l’alcool frémisait

Tout devint régulier
Je buvais tout les jours, j’arrivais ivre à l’école dés le matin
Je fesais couler mon sang tout les soirs, j’aimais chaque étreinte de lame
Chaque filet de sang le long de mon bras ensanglanté étais jouissif
Chaque gramme d’alcool en moi étais le plus beau des abrutissants liquide
Ma vie ne valait la peine d’être aprécié que pour ce moment-là

Mon ultime délivrance allait arrivé
Pour toi, Monde que j’ai tant décu, je vais m’éteindre à la fin de cette nuit
Ma lame, seule aimante, vient jusqu’a moi pour ouvrir mes ailes vers la liberté
Mon chère brevage abruti moi, une dernière fois

Mon corps se vide, je vois passé un ange
Moi qui n’a jamais cru leur existance
Il s’approche et me regarde
M’embrasse les poignets et me dit que mon heure n’ai pas venu