Poème:Qui Trop Embrasse Mal Etreint.

Que reste-t-il de tes câlins, de tes mots doux,
De tes je t’aime, de ton rire, de toi, de nous,
Rien que le manque, le vide de l’ absence,
Le silence, les soupirs et l’indifférence.
J’étais ton ami, ton repère, ton héros.
Aujourd’hui c’est fini, je ne suis plus ton idole !
Alors ! tout cela n’était que des mots, ?
« La roche Tarpéienne est près du Capitole »

Pourtant, à ton amour fou j’étais sensible,
Mais ne dit-on qu’excès en tout est nuisible,
A trop charger l’âtre le foyer parfois s’éteint,
Celui qui trop embrasse, souvent mal étreint.
Mes bras restent ouverts, mon cœur n’a pas de porte ;
Et si par malheur, spleen et regret t’emportent,
Accroches toi, et à mon cou viens te pendre ;
Ne sonne pas ; . ! ! ! . . Je serai là à t’attendre.

… A Marick… ! !