Univers de poésie d'un auteur

Texte:Vis Ce Qu’il Te Reste

Le Texte

Vis ce qu’il te reste car :
Le chemin de la vie n’est pas plein d’apocalypses,
Il est caillouteux, abrupte, certes, l’autre est lisse,
Mais pas aussi empli de délices.
On le traverse à pente douce, à mesure qu’il se tisse,
Au lieu d’y glisser, on se concentre sur ses visses,
On le parcours à notre rythme, oublions tant son abysse,
Une soif avide de contemplation, on s’y adopte, nos lèvres se plissent,
On goute au profit, et c’est ce qui est bien pour la vie, car rien ne cesse.

Ce cycle est un fardeau, un ennemi majeur, qui vous semble sans cœur,
Une erreur rancunière, un saint assez fier.
C’est aussi des maux, une tristesse inouïe,
Mais ça reste un cadeau, aussi nommé la vie.
L’image que vous en faites, aussi austère soit-elle,
Vous tape sur le système, vous laisse un fil de haine en elle,
Vous faites votre quête, et vous méfier des airs,
Telle une vedette chantant dans un cimetière.

Arrêtez de vous reprocher, car la vie a ses qualités, mais aussi ses défauts,
Elle nous offre sa beauté, nous sabotons ses travaux,
Ainsi sa sincérité, sa franchise non limitée, nous renvoie nos images,
A travers des souffrances, et d’insurmontables voyages,
Nous dégageons les ronces, puis nous ayant pitié,
Nous demandons enfin, ce qui est arrivé,
Ce que nous inflige la vie est horrible en vain,
Mais la vie, elle, ne fait que renvoyer, avec fidélité, les actes tonitruants de nos pensées.

Car la vie est un risque constant, une tragédie, qui nous oblige à y veiller,
Telle une diatribe, elle ne finit guère, et sur ses murs il y a d’écrit : aimer.
Trop souvent dans la vie, nous sommes tabassés, trahis, piétinés,
Mais nous avons toujours la même valeur, tel un billet chiffonné,
La vérité se lit dans les yeux de ceux même qui n’osent pas avouer,
Ni dans les lettres ni les aveux, de ceux qui se plaignent souvent des gueux.
Car rira bien qui rira le dernier, disons nous chez les hébreux,
Et c’est ce qui se passe c’était, quand l’autre sera dévoilé puis jugé,
Et des cicatrices plus graves que ceux d’épée, le hanteront à tout jamais.
A moins qu’il se repenti, prie dieu à sa merci,
Devient l’être raisonnable défié, qu’il vivra sans crainte et aimé.
Sinon il ne provoquera nulle joie.

Les rabat-joie, les indécis, l’apocalypse de la vie,
Des ans durent cette harmonie,
Et l’ignorance à l’agonie,
En Palestine, Syrie, ou en Libbie,
Se contamine l’anomalie,
Des gens quittent même leur famille,
Innocents et sans mépris, on les a pris, en cause des flammes qui les oublient.

Leurs yeux comme sang, les transperçant,
Leurs sentiments, on s’en morfond, des plus perçants,
Sans argent, leur dévouement à la vie est sans clémence, désespérant.
Ils mendient, les passants en rient,
Jugeant d’eux exaspérants, sans attention.

Nous sommes rivaux, rivaux de sang,
En étant indifférent,
A ceux qui subissent tous les tons
D’injures, d’exaspération,
Eux de même sont indifférents
Aux plaintes et aux exclamations, de tous genres de gens,
Mais ils ont subi plus que le temps, les maux, les indurations,
Des tous âges, du plus petit au plus grand, des enfants jusqu’aux parents.

Ce qu’est à décrire est la tristesse,
C’est un nœud qui renferme en nous, l’insouciance et la faiblesse,
Un sentiment de fou,
La dynastie entre bien et tout,
L’espérance que tout cesse, Que tout s’oublie, refaire sa vie,
C’est telle une monnaie ou un sou, que perd un mendiant tout d’un coup,
Je me suis dite : serai-ce une pauvreté ou une richesse,
De faire couler le long d’une joue, de jolis cristaux de déesse,
Mélancoliques mais magnifiques,
Sans éclat tout d’un coup.
Les métaphores non plus ne se laissent,
Bercer par cette humeur infâme,
D’un cœur qui a perdu une âme,
Même la misanthropie se rabaisse,
Devant ce manque ardent et fou,
Serai-ce le manque de quelques messes ?
Ou le sourire juvénile d’une fille, qui se moque de rien et de tout ?
Serai-ce la fin qui engendre les maux ?
Ou le besoin d’une vengeresse ?
Serai-ce la demande du pardon qui nous hante sans cesse ?
Probablement tout abaisse, mais le pardon vaut le coup.

Sinon c’est la colère qui afflue,
Dans nos veines échauffées, par le mépris et la haine,
Notre humeur ainsi se rue,
Aux affrontements échafaudés,
Par les amis qu’on a crus.
On sent l’adrénaline monter, et le besoin de se venger.
A quoi bon cette amitié ? Si elle déborde de sous-entendus,
Car même au plus beau des quais, on trouve toujours des bahuts,
Soit pareil à toute pure beauté, au fond elle déchire son dessus.
Mais dieu nous fait égalité, même si les rangs-sociaux sont vus,
Et si l’échec on ne sait jamais, perdure au dessus de nos foyer,
Il faut espérer l’inattendu, c’est le plus beau des secrets, pour attirer ce qui est perdu.
Il ne faut jamais jeter les dés, et attendre que tout soit décidé,
Il faut avancer tout détendu, pardonner aux concernés,
Pour être en paix et sans intrus, pour faire durer les amitiés.
C’est haïr les gens et les faits,
La plus ignoble des résidus.
Le conseil qu’on ne doit pas oublier,
C’est qu’aimer, pardonner, respecter, les plus belles des qualités.
Il ne faut pas le négliger, c’est le secret d’une société avancée fondue, celle qui fait la loi en traversant les rues.

Telle une abeille butinant son miel,
Qui exécute l’ordre de sa reine et écoute,
Tel un serviteur enclavé au dessous du ciel,
Faisant son travail tout en suivant sa route,
Tels les baobabs ou les Hypérion actuels,
Qui poussent harmonieusement dans leur coin sans doute,

Mais en paix et heureux satisfaits de leur envoute.
C’est le respect l’ami même des beautés charnelles,
Qui leur rendent leur charme et cachent en eux les voutes,
C’est ce respect là qui fait battre des ailes,
Et laisse les grands pays surplomber notre croute.
Respectez-vous au moins si vous détestiez les mêles,
Ne vous laisser pas abattre par les joutes,
Soyez confiant il n’y a que vous qui pouviez utiliser l’aquarelle,
Pour en peindre et changer l’aspect de la vie toute.

Les mots blessent tel un glaive à deux tranchants,
Ils sont suspects et peuvent tuer une artère,
Faut se contrôler et revêtir son cachemire blanc,
Pour se protéger des attaques de l’adversaire,
C’est comme un jeu, seulement on ne tourne plus en rond,
On étouffe et on serre,
Et pour recommencer, il faut d’abord aller de l’avant,
Se contenter des entrainements même si ca dure une erre,
Ne pas se laisser malmener par les démons,
Les démons peuvent être dans les cimetières,
Toujours emportés par le vent,
Mais leur règne est éphémère,
Car on finit par comprendre leur détournement,
Il ne faut pas se laisser faire,
Agir et réfléchir aux solutions,
Pour élucider les mystères,
Et être joyeux aux événements.
Dieu nous crée toujours frères.
Et c’est la raison pour être bon
Les conseils à donner s’entend,
Étaient là pour guider ces vers,
Bercés par des histoires vécues depuis longtemps.
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Poeme de Eleonorahrk

Écrivain Eleonorahrk

Eleonorahrk a publié sur le site 3 écrits. Eleonorahrk est membre du site depuis l'année 2019.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Vis Ce Qu’il Te Restevis sə kil tə ʁεstə kaʁ :
lə ʃəmɛ̃ də la vi nε pa plɛ̃ dapɔkalipsə,
il ε kajutø, abʁyptə, sεʁtə, lotʁə ε lisə,
mε pa osi ɑ̃pli də delisə.
ɔ̃ lə tʁavεʁsə a pɑ̃tə dusə, a məzyʁə kil sə tisə,
o ljø di ɡlise, ɔ̃ sə kɔ̃sɑ̃tʁə syʁ sε visə,
ɔ̃ lə paʁkuʁz- a nɔtʁə ʁitmə, ubljɔ̃ tɑ̃ sɔ̃n- abisə,
ynə swaf avidə də kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃, ɔ̃ si adɔptə, no lεvʁə- sə plise,
ɔ̃ ɡutə o pʁɔfi, e sε sə ki ε bjɛ̃ puʁ la vi, kaʁ ʁjɛ̃ nə sεsə.

sə siklə εt- œ̃ faʁdo, œ̃n- εnəmi maʒœʁ, ki vu sɑ̃blə sɑ̃ kœʁ,
ynə eʁœʁ ʁɑ̃kynjεʁə, œ̃ sɛ̃ ase fje.
sεt- osi dε mo, ynə tʁistεsə inui,
mε sa ʁεstə œ̃ kado, osi nɔme la vi.
limaʒə kə vuz- ɑ̃ fεtə, osi ostεʁə swa tεllə,
vu tapə syʁ lə sistεmə, vu lεsə œ̃ fil də-εnə ɑ̃n- εllə,
vu fεtə vɔtʁə kεtə, e vu mefje dεz- εʁ,
tεllə ynə vədεtə ʃɑ̃tɑ̃ dɑ̃z- œ̃ simətjεʁə.

aʁεte də vu ʁəpʁoʃe, kaʁ la vi a sε kalite, mεz- osi sε defo,
εllə nuz- ɔfʁə sa bote, nu sabɔtɔ̃ sε tʁavo,
ɛ̃si sa sɛ̃seʁite, sa fʁɑ̃ʃizə nɔ̃ limite, nu ʁɑ̃vwa noz- imaʒə,
a tʁavεʁ dε sufʁɑ̃sə, e dɛ̃syʁmɔ̃tablə vwajaʒə,
nu deɡaʒɔ̃ lε ʁɔ̃sə, pɥi nuz- εjɑ̃ pitje,
nu dəmɑ̃dɔ̃z- ɑ̃fɛ̃, sə ki εt- aʁive,
sə kə nuz- ɛ̃fliʒə la vi ε ɔʁiblə ɑ̃ vɛ̃,
mε la vi, εllə, nə fε kə ʁɑ̃vwaje, avεk fidelite, lεz- aktə tɔnitʁɥɑ̃ də no pɑ̃se.

kaʁ la vi εt- œ̃ ʁiskə kɔ̃stɑ̃, ynə tʁaʒedi, ki nuz- ɔbliʒə a i vεje,
tεllə ynə djatʁibə, εllə nə fini ɡεʁə, e syʁ sε myʁz- il i a dekʁi : εme.
tʁo suvɑ̃ dɑ̃ la vi, nu sɔmə tabase, tʁai, pjetine,
mε nuz- avɔ̃ tuʒuʁ la mεmə valœʁ, tεl œ̃ bijε ʃifɔne,
la veʁite sə li dɑ̃ lεz- iø də sø mεmə ki noze pa avue,
ni dɑ̃ lε lεtʁə- ni lεz- avø, də sø ki sə plεɲe suvɑ̃ dε ɡø.
kaʁ ʁiʁa bjɛ̃ ki ʁiʁa lə dεʁnje, dizɔ̃ nu ʃe lεz- ebʁø,
e sε sə ki sə pasə setε, kɑ̃ lotʁə səʁa devwale pɥi ʒyʒe,
e dε sikatʁisə plys ɡʁavə kə sø depe, lə-ɑ̃təʁɔ̃ a tu ʒamε.
a mwɛ̃ kil sə ʁəpɑ̃ti, pʁi djø a sa mεʁsi,
dəvjɛ̃ lεtʁə ʁεzɔnablə defje, kil vivʁa sɑ̃ kʁɛ̃tə e εme.
sinɔ̃ il nə pʁɔvɔkəʁa nylə ʒwa.

lε ʁaba ʒwa, lεz- ɛ̃desi, lapɔkalipsə də la vi,
dεz- ɑ̃ dyʁe sεtə-aʁmɔni,
e liɲɔʁɑ̃sə a laɡɔni,
ɑ̃ palεstinə, siʁi, u ɑ̃ libi,
sə kɔ̃taminə lanɔmali,
dε ʒɑ̃ kite mεmə lœʁ famijə,
inɔsɑ̃z- e sɑ̃ mepʁi, ɔ̃ lεz- a pʁi, ɑ̃ kozə dε flamə ki lεz- ublje.

lœʁz- iø kɔmə sɑ̃, lε tʁɑ̃spεʁsɑ̃,
lœʁ sɑ̃timɑ̃, ɔ̃ sɑ̃ mɔʁfɔ̃, dε plys pεʁsɑ̃,
sɑ̃z- aʁʒe, lœʁ devuəmɑ̃ a la vi ε sɑ̃ klemɑ̃sə, dezεspeʁɑ̃.
il mɑ̃dje, lε pasɑ̃z- ɑ̃ ʁje,
ʒyʒɑ̃ døz- εɡzaspeʁɑ̃, sɑ̃z- atɑ̃sjɔ̃.

nu sɔmə ʁivo, ʁivo də sɑ̃,
ɑ̃n- etɑ̃ ɛ̃difeʁɑ̃,
a sø ki sybise tus lε tɔ̃
dɛ̃ʒyʁə, dεɡzaspeʁasjɔ̃,
ø də mεmə sɔ̃t- ɛ̃difeʁɑ̃
o plɛ̃təz- e oz- εksklamasjɔ̃, də tus ʒɑ̃ʁə- də ʒɑ̃,
mεz- ilz- ɔ̃ sybi plys kə lə tɑ̃, lε mo, lεz- ɛ̃dyʁasjɔ̃,
dε tusz- aʒə, dy plys pəti o plys ɡʁɑ̃, dεz- ɑ̃fɑ̃ ʒysko paʁɑ̃.

sə kεt- a dekʁiʁə ε la tʁistεsə,
sεt- œ̃ neyd ki ʁɑ̃fεʁmə ɑ̃ nu, lɛ̃susjɑ̃sə e la fεblεsə,
œ̃ sɑ̃timɑ̃ də fu,
la dɛ̃asti ɑ̃tʁə bjɛ̃ e tu,
lεspeʁɑ̃sə kə tu sεsə, kə tu subli, ʁəfεʁə sa vi,
sε tεllə ynə mɔnε u œ̃ su, kə pεʁ œ̃ mɑ̃djɑ̃ tu dœ̃ ku,
ʒə mə sɥi ditə : səʁε sə ynə povʁəte u ynə ʁiʃεsə,
də fεʁə kule lə lɔ̃ dynə ʒu, də ʒɔli kʁisto də deεsə,
melɑ̃kɔlik mε maɲifik,
sɑ̃z- ekla tu dœ̃ ku.
lε metafɔʁə nɔ̃ plys nə sə lεse,
bεʁse paʁ sεtə ymœʁ ɛ̃famə,
dœ̃ kœʁ ki a pεʁdy ynə amə,
mεmə la mizɑ̃tʁɔpi sə ʁabεsə,
dəvɑ̃ sə mɑ̃kə aʁde e fu,
səʁε sə lə mɑ̃kə də kεlk mesə ?
u lə suʁiʁə ʒyvenilə dynə fijə, ki sə mɔkə də ʁjɛ̃ e də tu ?
səʁε sə la fɛ̃ ki ɑ̃ʒɑ̃dʁə lε mo ?
u lə bəzwɛ̃ dynə vɑ̃ʒəʁεsə ?
səʁε sə la dəmɑ̃də dy paʁdɔ̃ ki nu-ɑ̃tə sɑ̃ sεsə ?
pʁɔbabləmɑ̃ tut- abεsə, mε lə paʁdɔ̃ vo lə ku.

sinɔ̃ sε la kɔlεʁə ki aflɥ,
dɑ̃ no vεnəz- eʃofe, paʁ lə mepʁiz- e la-εnə,
nɔtʁə ymœʁ ɛ̃si sə ʁy,
oz- afʁɔ̃təmɑ̃z- eʃafode,
paʁ lεz- ami kɔ̃n- a kʁys.
ɔ̃ sɑ̃ ladʁenalinə mɔ̃te, e lə bəzwɛ̃ də sə vɑ̃ʒe.
a kwa bɔ̃ sεtə amitje ? si εllə debɔʁdə də suz- ɑ̃tɑ̃dys,
kaʁ mεmə o plys bo dε kε, ɔ̃ tʁuvə tuʒuʁ dε bay,
swa paʁεj a tutə pyʁə bote, o fɔ̃t- εllə deʃiʁə sɔ̃ dəsy.
mε djø nu fε eɡalite, mεmə si lε ʁɑ̃ɡ sɔsjo sɔ̃ vy,
e si leʃεk ɔ̃ nə sε ʒamε, pεʁdyʁə o dəsy də no fwaje,
il fo εspeʁe linatɑ̃dy, sε lə plys bo dε sεkʁε, puʁ atiʁe sə ki ε pεʁdy.
il nə fo ʒamε ʒəte lε des, e atɑ̃dʁə kə tu swa deside,
il fo avɑ̃se tu detɑ̃dy, paʁdɔne o kɔ̃sεʁne,
puʁ εtʁə ɑ̃ pε e sɑ̃z- ɛ̃tʁy, puʁ fεʁə dyʁe lεz- amitje.
sε-ajʁ lε ʒɑ̃z- e lε fε,
la plysz- iɲɔblə dε ʁezidys.
lə kɔ̃sεj kɔ̃ nə dwa pa ublje,
sε kεme, paʁdɔne, ʁεspεkte, lε plys bεllə dε kalite.
il nə fo pa lə neɡliʒe, sε lə sεkʁε dynə sɔsjete avɑ̃se fɔ̃dɥ, sεllə ki fε la lwa ɑ̃ tʁavεʁsɑ̃ lε ʁy.

tεllə ynə abεjə bytinɑ̃ sɔ̃ mjεl,
ki εɡzekytə lɔʁdʁə də sa ʁεnə e ekutə,
tεl œ̃ sεʁvitœʁ ɑ̃klave o dəsu dy sjεl,
fəzɑ̃ sɔ̃ tʁavaj tut- ɑ̃ sɥivɑ̃ sa ʁutə,
tεl lε baɔbabz- u lεz- ipeʁjɔ̃ aktɥεl,
ki puse-aʁmɔnjøzəmɑ̃ dɑ̃ lœʁ kwɛ̃ sɑ̃ dutə,

mεz- ɑ̃ pε e œʁø satisfε də lœʁ ɑ̃vutə.
sε lə ʁεspε lami mεmə dε bote ʃaʁnεllə,
ki lœʁ ʁɑ̃de lœʁ ʃaʁmə e kaʃe ɑ̃n- ø lε vutə,
sε sə ʁεspε la ki fε batʁə dεz- εlə,
e lεsə lε ɡʁɑ̃ pεi syʁplɔ̃be nɔtʁə kʁutə.
ʁεspεkte vuz- o mwɛ̃ si vu detεstje lε mεlə,
nə vu lεse pa abatʁə paʁ lε ʒutə,
swaje kɔ̃fjɑ̃ il ni a kə vu ki puvjez- ytilize lakaʁεllə,
puʁ ɑ̃ pɛ̃dʁə e ʃɑ̃ʒe laspε də la vi tutə.

lε mo blese tεl œ̃ ɡlεvə a dø tʁɑ̃ʃɑ̃,
il sɔ̃ syspεz- e pəve tɥe ynə aʁtεʁə,
fo sə kɔ̃tʁole e ʁəvεtiʁ sɔ̃ kaʃəmiʁə blɑ̃,
puʁ sə pʁɔteʒe dεz- atak də ladvεʁsεʁə,
sε kɔmə œ̃ ʒø, sələmɑ̃ ɔ̃ nə tuʁnə plysz- ɑ̃ ʁɔ̃,
ɔ̃n- etufə e ɔ̃ seʁə,
e puʁ ʁəkɔmɑ̃se, il fo dabɔʁ ale də lavɑ̃,
sə kɔ̃tɑ̃te dεz- ɑ̃tʁεnəmɑ̃ mεmə si ka dyʁə ynə eʁə,
nə pa sə lεse malməne paʁ lε demɔ̃,
lε demɔ̃ pəve εtʁə dɑ̃ lε simətjεʁə,
tuʒuʁz- ɑ̃pɔʁte paʁ lə vɑ̃,
mε lœʁ ʁεɲə εt- efemεʁə,
kaʁ ɔ̃ fini paʁ kɔ̃pʁɑ̃dʁə lœʁ detuʁnəmɑ̃,
il nə fo pa sə lεse fεʁə,
aʒiʁ e ʁefleʃiʁ o sɔlysjɔ̃,
puʁ elyside lε mistεʁə,
e εtʁə ʒwajøz- oz- evenəmɑ̃.
djø nu kʁe tuʒuʁ fʁεʁə.
e sε la ʁεzɔ̃ puʁ εtʁə bɔ̃
lε kɔ̃sεjz- a dɔne sɑ̃tɑ̃,
etε la puʁ ɡide sε vεʁ,
bεʁse paʁ dεz- istwaʁə vekɥ dəpɥi lɔ̃tɑ̃.

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
08/07/2019 18:27Tulipe Noire

Ton long écrit en dit beaucoup sur des tas de choses de la vie et que je trouve bien exprimer avec beaucoup de sagesse, merci du partage.

Texte Vie
Du 07/07/2019 17:44

L'écrit contient 1242 mots qui sont répartis dans 12 strophes.