Univers de poésie d'un auteur

Poème:L’elan Passe

Le Poème

Je sais que tu es triste. Je le sais car je le suis aussi. Tu te sens vide. Tu te sens trahi. Tu te sens lâche et faible… immonde et stupide, monstre d’amour. Tu es le plus idiot des humains… . . le plus idiot de tout l’univers ! Mais après tout c’est de ta faute, tu es responsable. Tu es le coupable dans cette affaire. Tu pensais qu’il te suffisait de te draper de vertu et de morale dans ce qui ta conduit à faire tant de mal, mais tu n’es pas la victime. Tu as été son bourreau lequel maintenant pleur et a honte… le prédateur a des regrets, une fois la proie éviscérée.

Tu as cru qu’il serait celui qui pouvait accueillir ton secret. Allons donc, d’autres, des femmes s’y sont employées, mais il a fallu que tu le dises d’une façon telle qu’il aurait très bien pu se perdre. Tu as cru cette fois ci que ce serait différent. Je te comprends il est si beau. Une personne unique… ils, elles, le sont tous et pourtant les autres paraissent semblables et insipides, comparé à lui.
Cela aurait été une jeune femme ça aurait très bien pu être pareil. Tu ne l’aurais pas moins apprécié autant. Quoique le jeu n’est pas le même. Les barrières ne sont pas aux mêmes endroits. L’esprit ne s’écoule pas dans le même vestibule !

Il ne savait pas pourquoi il était là. Il avait besoin de parler mais ne savait pas trop à qui. N’est-ce pas ton rôle d’écouter et de comprendre les gens ? Mais il y avait toi aussi…
Il était gêné, il te connaissait peu. Mais tu as l’habitude… un sourire, l’attitude et les mots qu’il faut. Ils sont tous pareils en fin de compte. Ils se croient tous différents mais c’est presque toujours la même chose, la chronologie change, les mots aussi, mais l’essentiel est partagé par tous sans pour autant qu’ils veuillent bien le reconnaître !
Ils sont tous comme des fruits mûrs, ils se retiennent à la branche maternelle, mais une fois détachés, ils t’offrent leur goût et leur saveur.
Dès le départ, tu sentais qu’il y avait un trésor, un secret à déterrer. Mais tu restas calme et déterminé… enfin jusqu’au printemps…
Il te raconta sa vie et son histoire, que tu vivais de ton côté par l’autre inconnue de cette histoire, il hésitait, tournait autour du pot et t’invitais toi aussi à te livrer à la confidence, se pouvait-il, qu’il ait confiance ? Il te testait aussi, mais n’allait pas se confier à n’importe qui… Et pourtant… toi aussi tu étais prêt à faire ce pas là. Une alchimie se produisait pour forger une amitié… mais tu as tout cassé. Sans t’en rendre compte, tu le trouvais différent, tu le trouvais merveilleux. Tu oubliais le temps, tu oubliais le lieu. Il n’y avait plus à ses moments là que lui et toi. Et au fur et à mesure, tes défenses sont tombées. Tu croyais pouvoir tout lui dire. Tu ne te pressais pas, car au fond tu sais que si l’on va trop vite, la proie mord et fuit. A chaque fois, il s’ouvrait un peu plus, tu voyais dans ses yeux sa peur et tu voulais combler ce vide, l’emplir de tout ton être, par ton attitude apaiser ses doutes et ses appréhensions. Mais tu agissais déjà comme un amant protecteur, tu le calmais d’un geste d’un regard. Plus il prenait confiance en toi, plus tu brûlais de désir. Puis dans un dernier élan tu as cédé et tu lui as tout révélé. Dans cet instant magique, il était encore pour toi ton ami, ton confident le plus secret, ton amant platonique. Tu t’es confessé comme s’il pouvait t’apporter le pardon… . . et pendant une seconde, il était Dieu et tu l’aimais. Vous étiez liés par le secret dévoilé dans un ultime sursaut d’un mélange de honte et de plaisir. Tu étais libéré de ce poids et lui en prenait plein la figure. Il n’a pas essayé de t’humilier, le poids était trop lourd pour lui, il fit ce que la raison commandait, il en parla à son tour, se confia et rompit le secret.
De ton côté, passé cette libération, il n’y avait plu rien, le vide de l’univers s’était déversé en toi, tu le savais pourtant qu’il ne garderait pas le secret, qu’importe à présent, tu espérais qu’il reste à tes côtés, qu’à son tour il découvre les méandres de ton esprit, mais ce n’est pas le chemin qu’il s’est fixé. Pour lui tu n’existes plus. Tu n’étais pas un ami, tu étais un réceptacle. Peut-être un jour vous retrouverez vous. Peut-être même qu’il te dira ce que tu veux entendre mais jamais il ne t’aimera car tu n’appartiens pas à sa vie. Il vit comme tous les autres et toi il te faut reprendre la route en cherchant une personne qui saura se déverser en toi et qu’à nouveau tu puisses te sentir vivant…
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Poeme de Elrominet60

Poète Elrominet60

Elrominet60 a publié sur le site 15 écrits. Elrominet60 est membre du site depuis l'année 2006.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: L’elan Passeje=sais=que=tu=es=triste=je=le=sais=car=je=le=suis=aus=si=tu=te=sens=vide=tu=te=sens=tra=hi=tu=te=sens=lâ=che=et=faible=im=mon=de=et=stu=pi=de=mons=tre=da=mour=tu=es=le=plus=i=diot=des=hu=mains=le=plus=i=diot=de=tout=lu=ni=vers=mais=a=près=tout=cest=de=ta=fau=te=tu=es=res=pon=sable=tu=es=le=cou=pa=ble=dans=cet=te=af=faire=tu=pen=sais=quil=te=suf=fi=sait=de=te=dra=per=de=ver=tu=et=de=mo=ra=le=dans=ce=qui=ta=con=duit=à=fai=re=tant=de=mal=mais=tu=nes=pas=la=vic=time=tu=as=é=té=son=bour=reau=le=quel=main=te=nant=pleur=et=a=hon=te=le=pré=da=teur=a=des=re=grets=u=ne=fois=la=proie=é=vis=cé=rée 158

tu=as=cru=quil=se=rait=ce=lui=qui=pou=vait=ac=cueil=lir=ton=se=cret=al=lons=donc=dau=tres=des=fem=mes=sy=sont=em=ployées=mais=il=a=fal=lu=que=tu=le=di=ses=du=ne=fa=çon=tel=le=quil=au=rait=très=bien=pu=se=per=dre=tu=as=cru=cet=te=fois=ci=que=ce=se=rait=dif=fé=rent=je=te=com=prends=il=est=si=beau=une=per=son=ne=u=ni=que=ils=el=les=le=sont=tous=et=pour=tant=les=au=tres=pa=rais=sent=sem=bla=bles=et=in=si=pi=des=com=pa=ré=à=lui 111
ce=la=au=rait=é=té=u=ne=jeu=ne=fem=me=ça=au=rait=très=bien=pu=ê=tre=pa=reil=tu=ne=lau=rais=pas=moins=ap=pré=ci=é=au=tant=quoi=que=le=jeu=nest=pas=le=mê=me=les=bar=ri=è=res=ne=sont=pas=aux=mê=mes=en=droits=les=prit=ne=sé=cou=le=pas=dans=le=mê=me=ves=ti=bu=le 71

il=ne=sa=vait=pas=pour=quoi=il=é=tait=là=il=a=vait=be=soin=de=par=ler=mais=ne=sa=vait=pas=trop=à=qui=nest=ce=pas=ton=rô=le=dé=cou=ter=et=de=com=pren=dre=les=gens=mais=il=y=a=vait=toi=aus=si 51
il=é=tait=gê=né=il=te=con=nais=sait=peu=mais=tu=as=l=ha=bi=tu=de=un=sou=ri=re=lat=ti=tu=de=et=les=mots=quil=faut=ils=sont=tous=pa=reils=en=fin=de=com=pte=ils=se=croient=tous=dif=fé=rents=mais=cest=pres=que=tou=jours=la=mê=me=cho=se=la=chro=no=lo=gie=chan=ge=les=mots=aus=si=mais=les=sen=tiel=est=par=ta=gé=par=tous=sans=pour=au=tant=quils=veuil=lent=bien=le=re=con=naî=tre 94
ils=sont=tous=com=me=des=fruits=mûrs=ils=se=re=tien=nent=à=la=bran=che=ma=ter=nel=le=mais=u=ne=fois=dé=ta=chés=ils=tof=frent=leur=goût=et=leur=sa=veur 37
dès=le=dé=part=tu=sen=tais=quil=y=a=vait=un=tré=sor=un=se=cret=à=dé=ter=rer=mais=tu=res=tas=cal=me=et=dé=ter=mi=né=en=fin=jus=quau=prin=temps 38
il=te=ra=con=ta=sa=vieet=son=his=toire=que=tu=vi=vais=de=ton=cô=té=par=lau=tre=in=con=nue=de=cet=te=his=toi=re=il=hé=si=tait=tour=nait=au=tour=du=pot=et=tin=vi=tais=toi=aus=si=à=te=li=vrer=à=la=con=fi=den=ce=se=pou=vait=til=quil=ait=con=fian=ce=il=te=tes=tait=aus=si=mais=nal=lait=pas=se=con=fier=à=nim=por=te=qui=et=pour=tant=toi=aus=si=tu=é=tais=prêt=à=fai=re=ce=pas=là=une=al=chi=mie=se=pro=dui=sait=pour=for=ger=u=ne=a=mi=tié=mais=tu=as=tout=cas=sé=sans=ten=ren=dre=comp=te=tu=le=trou=vais=dif=fé=rent=tu=le=trou=vais=mer=veilleux=tu=ou=bliais=le=temps=tu=ou=bliais=le=lieu=il=ny=a=vait=plus=à=ses=mo=ments=là=que=lui=et=toi=et=au=fur=et=à=me=su=re=tes=dé=fen=ses=sont=tom=bées=tu=cro=yais=pou=voir=tout=lui=dire=tu=ne=te=pres=sais=pas=car=au=fond=tu=sais=que=si=lon=va=trop=vi=te=la=proie=mord=et=fuit=a=cha=que=fois=il=sou=vrait=un=peu=plus=tu=vo=yais=dans=ses=yeux=sa=peur=et=tu=vou=lais=com=bler=ce=vi=de=lem=plir=de=tout=ton=ê=tre=par=ton=at=ti=tu=de=a=pai=ser=ses=dou=tes=et=ses=ap=pré=hen=sions=mais=tu=a=gis=sais=dé=jà=com=me=un=a=mant=pro=tec=teur=tu=le=cal=mais=dun=ges=te=dun=re=gard=plus=il=pre=nait=con=fian=ce=en=toi=plus=tu=brû=lais=de=dé=sir=puis=dans=un=der=nier=é=lan=tu=as=cé=dé=et=tu=lui=as=tout=ré=vé=lé=dans=cet=ins=tant=ma=gi=que=il=é=tait=en=co=re=pour=toi=ton=a=mi=ton=con=fi=dent=le=plus=se=cret=ton=a=mant=pla=to=nique=tu=tes=con=fes=sé=com=me=sil=pou=vait=tap=por=ter=le=par=don=et=pen=dant=u=ne=se=con=de=il=é=tait=dieu=et=tu=lai=mais=vous=é=tiez=li=és=par=le=se=cret=dé=voi=lé=dans=un=ul=ti=me=sur=saut=dun=mé=lan=ge=de=hon=te=et=de=plai=sir=tu=é=tais=li=bé=ré=de=ce=poids=et=lui=en=pre=nait=plein=la=fi=gu=re=il=na=pas=es=sayé=de=thu=mi=lier=le=poids=é=tait=trop=lourd=pour=lui=il=fit=ce=que=la=rai=son=com=man=dait=il=en=par=la=à=son=tour=se=con=fia=et=rom=pit=le=se=cret 479
de=ton=cô=té=pas=sé=cette=li=bé=ra=tion=il=ny=a=vait=plu=rien=le=vi=de=de=lu=ni=vers=sé=tait=dé=ver=sé=en=toi=tu=le=sa=vais=pour=tant=quil=ne=gar=de=rait=pas=le=se=cret=quim=por=teà=pré=sent=tu=es=pé=rais=quil=res=te=à=tes=cô=tés=quà=son=tour=il=dé=cou=vre=les=mé=an=dres=de=ton=es=prit=mais=ce=nest=pas=le=che=min=quil=sest=fixé=pour=lui=tu=nexis=tes=plus=tu=né=tais=pas=un=a=mi=tu=é=tais=un=ré=cep=tacle=peut=tê=tre=un=jour=vous=re=trou=ve=rez=vous=peut=tê=tre=mê=me=quil=te=di=ra=ce=que=tu=veux=en=ten=dre=mais=ja=mais=il=ne=tai=me=ra=car=tu=nap=par=tiens=pas=à=sa=vie=il=vit=com=me=tous=les=au=tres=et=toi=il=te=faut=re=pren=dre=la=rou=te=en=cher=chant=u=ne=per=son=ne=qui=sau=ra=se=dé=ver=ser=en=toi=et=quà=nou=veau=tu=puis=ses=te=sen=tir=vi=vant 199
Phonétique : L’elan Passeʒə sε kə ty ε tʁistə. ʒə lə sε kaʁ ʒə lə sɥiz- osi. ty tə sɑ̃s vidə. ty tə sɑ̃s tʁai. ty tə sɑ̃s laʃə e fεblə… imɔ̃də e stypidə, mɔ̃stʁə damuʁ. ty ε lə plysz- idjo dεz- ymɛ̃… lə plysz- idjo də tu lynive ! mεz- apʁε tu sε də ta fotə, ty ε ʁεspɔ̃sablə. ty ε lə kupablə dɑ̃ sεtə afεʁə. ty pɑ̃sε kil tə syfizε də tə dʁape də vεʁty e də mɔʁalə dɑ̃ sə ki ta kɔ̃dɥi a fεʁə tɑ̃ də mal, mε ty nε pa la viktimə. ty a ete sɔ̃ buʁʁo ləkεl mɛ̃tənɑ̃ plœʁ e a ɔ̃tə… lə pʁedatœʁ a dε ʁəɡʁε, ynə fwa la pʁwa eviseʁe.

ty a kʁy kil səʁε səlɥi ki puvε akœjiʁ tɔ̃ sεkʁε. alɔ̃ dɔ̃k, dotʁə, dε famə si sɔ̃t- ɑ̃plwaje, mεz- il a faly kə ty lə dizə dynə fasɔ̃ tεllə kil oʁε tʁε bjɛ̃ py sə pεʁdʁə. ty a kʁy sεtə fwa si kə sə səʁε difeʁɑ̃. ʒə tə kɔ̃pʁɑ̃z- il ε si bo. ynə pεʁsɔnə ynikə… il, εllə, lə sɔ̃ tusz- e puʁtɑ̃ lεz- otʁə- paʁεse sɑ̃blabləz- e ɛ̃sipidə, kɔ̃paʁe a lɥi.
səla oʁε ete ynə ʒənə famə sa oʁε tʁε bjɛ̃ py εtʁə paʁεj. ty nə loʁε pa mwɛ̃z- apʁesje otɑ̃. kwakə lə ʒø nε pa lə mεmə. lε baʁjεʁə nə sɔ̃ pa o mεməz- ɑ̃dʁwa. lεspʁi nə sekulə pa dɑ̃ lə mεmə vεstibylə !

il nə savε pa puʁkwa il etε la. il avε bəzwɛ̃ də paʁle mε nə savε pa tʁo a ki. nε sə pa tɔ̃ ʁolə dekute e də kɔ̃pʁɑ̃dʁə lε ʒɑ̃ ? mεz- il i avε twa osi…
il etε ʒεne, il tə kɔnεsε pø. mε ty a labitydə… œ̃ suʁiʁə, latitydə e lε mo kil fo. il sɔ̃ tus paʁεjz- ɑ̃ fɛ̃ də kɔ̃tə. il sə kʁwae tus difeʁɑ̃ mε sε pʁεskə tuʒuʁ la mεmə ʃozə, la kʁonolɔʒi ʃɑ̃ʒə, lε moz- osi, mε lesɑ̃sjεl ε paʁtaʒe paʁ tus sɑ̃ puʁ otɑ̃ kil vœje bjɛ̃ lə ʁəkɔnεtʁə !
il sɔ̃ tus kɔmə dε fʁɥi myʁ, il sə ʁətjεne a la bʁɑ̃ʃə matεʁnεllə, mεz- ynə fwa detaʃe, il tɔfʁe lœʁ ɡu e lœʁ savœʁ.
dε lə depaʁ, ty sɑ̃tε kil i avε œ̃ tʁezɔʁ, œ̃ sεkʁε a deteʁe. mε ty ʁεsta kalmə e detεʁmine… ɑ̃fɛ̃ ʒysko pʁɛ̃tɑ̃…
il tə ʁakɔ̃ta sa vi e sɔ̃n- istwaʁə, kə ty vivε də tɔ̃ kote paʁ lotʁə ɛ̃kɔnɥ də sεtə istwaʁə, il ezitε, tuʁnε otuʁ dy po e tɛ̃vitε twa osi a tə livʁe a la kɔ̃fidɑ̃sə, sə puvε til, kil ε kɔ̃fjɑ̃sə ? il tə tεstε osi, mε nalε pa sə kɔ̃fje a nɛ̃pɔʁtə ki… e puʁtɑ̃… twa osi ty etε pʁε a fεʁə sə pa la. ynə alʃimi sə pʁɔdɥizε puʁ fɔʁʒe ynə amitje… mε ty a tu kase. sɑ̃ tɑ̃ ʁɑ̃dʁə kɔ̃tə, ty lə tʁuvε difeʁɑ̃, ty lə tʁuvε mεʁvεjø. ty ubljε lə tɑ̃, ty ubljε lə ljø. il ni avε plysz- a sε mɔmɑ̃ la kə lɥi e twa. e o fyʁ e a məzyʁə, tε defɑ̃sə sɔ̃ tɔ̃be. ty kʁwajε puvwaʁ tu lɥi diʁə. ty nə tə pʁesε pa, kaʁ o fɔ̃ ty sε kə si lɔ̃ va tʁo vitə, la pʁwa mɔʁ e fɥi. a ʃakə fwa, il suvʁε œ̃ pø plys, ty vwajε dɑ̃ sεz- iø sa pœʁ e ty vulε kɔ̃ble sə vidə, lɑ̃pliʁ də tu tɔ̃n- εtʁə, paʁ tɔ̃n- atitydə apεze sε dutəz- e sεz- apʁeɑ̃sjɔ̃. mε ty aʒisε deʒa kɔmə œ̃n- amɑ̃ pʁɔtεktœʁ, ty lə kalmε dœ̃ ʒεstə dœ̃ ʁəɡaʁ. plysz- il pʁənε kɔ̃fjɑ̃sə ɑ̃ twa, plys ty bʁylε də deziʁ. pɥi dɑ̃z- œ̃ dεʁnje elɑ̃ ty a sede e ty lɥi a tu ʁevele. dɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃ maʒikə, il etε ɑ̃kɔʁə puʁ twa tɔ̃n- ami, tɔ̃ kɔ̃fide lə plys sεkʁε, tɔ̃n- amɑ̃ platɔnikə. ty tε kɔ̃fese kɔmə sil puvε tapɔʁte lə paʁdɔ̃… e pɑ̃dɑ̃ ynə səɡɔ̃də, il etε djø e ty lεmε. vuz- etje lje paʁ lə sεkʁε devwale dɑ̃z- œ̃n- yltimə syʁso dœ̃ melɑ̃ʒə də ɔ̃tə e də plεziʁ. ty etε libeʁe də sə pwaz- e lɥi ɑ̃ pʁənε plɛ̃ la fiɡyʁə. il na pa esεje də tymilje, lə pwaz- etε tʁo luʁ puʁ lɥi, il fi sə kə la ʁεzɔ̃ kɔmɑ̃dε, il ɑ̃ paʁla a sɔ̃ tuʁ, sə kɔ̃fja e ʁɔ̃pi lə sεkʁε.
də tɔ̃ kote, pase sεtə libeʁasjɔ̃, il ni avε ply ʁjɛ̃, lə vidə də lynive setε devεʁse ɑ̃ twa, ty lə savε puʁtɑ̃ kil nə ɡaʁdəʁε pa lə sεkʁε, kɛ̃pɔʁtə a pʁezɑ̃, ty εspeʁε kil ʁεstə a tε kote, ka sɔ̃ tuʁ il dekuvʁə lε meɑ̃dʁə- də tɔ̃n- εspʁi, mε sə nε pa lə ʃəmɛ̃ kil sε fikse. puʁ lɥi ty nεɡzistə plys. ty netε pa œ̃n- ami, ty etεz- œ̃ ʁesεptaklə. pø tεtʁə œ̃ ʒuʁ vu ʁətʁuvəʁe vu. pø tεtʁə mεmə kil tə diʁa sə kə ty vøz- ɑ̃tɑ̃dʁə mε ʒamεz- il nə tεməʁa kaʁ ty napaʁtjɛ̃ pa a sa vi. il vit kɔmə tus lεz- otʁəz- e twa il tə fo ʁəpʁɑ̃dʁə la ʁutə ɑ̃ ʃεʁʃɑ̃ ynə pεʁsɔnə ki soʁa sə devεʁse ɑ̃ twa e ka nuvo ty pɥisə tə sɑ̃tiʁ vivɑ̃…
Syllabes Phonétique : L’elan Passeʒə=sε=kə=ty=ε=tʁis=tə=ʒə=lə=sε=kaʁ=ʒə=lə=sɥi=zo=si=ty=tə=sɑ̃s=vi=də=ty=tə=sɑ̃s=tʁa=i=ty=tə=sɑ̃s=la=ʃə=e=fε=blə=i=mɔ̃=də=e=sty=pi=də=mɔ̃s=tʁə=da=muʁ=ty=ε=lə=plys=zi=djo=dε=zy=mɛ̃=lə=plys=zi=djo=də=tu=ly=ni=veʁ=mε=za=pʁε=tu=sε=də=ta=fo=tə=ty=ε=ʁεs=pɔ̃=sa=blə=ty=ε=lə=ku=pa=blə=dɑ̃=sε=tə=a=fε=ʁə=ty=pɑ̃=sε=kil=tə=sy=fi=zε=də=tə=dʁa=pe=də=vεʁ=ty=e=də=mɔ=ʁa=lə=dɑ̃=sə=ki=ta=kɔ̃d=ɥi=a=fε=ʁə=tɑ̃=də=mal=mε=ty=nε=pa=la=vik=ti=mə=ty=a=e=te=sɔ̃=buʁ=ʁo=lə=kεl=mɛ̃=tə=nɑ̃=plœʁ=e=a=ɔ̃=tə=lə=pʁe=da=tœʁ=a=dε=ʁə=ɡʁε=y=nə=fwa=la=pʁwa=e=vi=se=ʁe 164

ty=a=kʁy=kil=sə=ʁε=səl=ɥi=ki=pu=vε=a=kœjiʁ=tɔ̃=sε=kʁε=a=lɔ̃=dɔ̃k=do=tʁə=dε=fa=mə=si=sɔ̃=tɑ̃=plwa=j=e=mε=zil=a=fa=ly=kə=ty=lə=di=zə=dy=nə=fa=sɔ̃=tεl=lə=kil=o=ʁε=tʁε=bj=ɛ̃=py=sə=pεʁ=dʁə=ty=a=kʁy=sε=tə=fwa=si=kə=sə=sə=ʁε=di=fe=ʁɑ̃=ʒə=tə=kɔ̃=pʁɑ̃=zil=ε=si=bo=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=y=ni=kə=il=εl=lə=lə=sɔ̃=tus=ze=puʁ=tɑ̃=lε=zo=tʁə=pa=ʁε=se=sɑ̃=bla=blə=ze=ɛ̃=si=pi=də=kɔ̃=pa=ʁe=a=lɥi 114
sə=la=o=ʁε=e=te=y=nə=ʒə=nə=fa=mə=sa=o=ʁε=tʁε=bj=ɛ̃=py=ε=tʁə=pa=ʁεj=ty=nə=lo=ʁε=pa=mwɛ̃=za=pʁe=sj=e=o=tɑ̃=kwa=kə=lə=ʒø=nε=pa=lə=mε=mə=lε=ba=ʁjε=ʁə=nə=sɔ̃=pa=o=mε=mə=zɑ̃=dʁwa=lεs=pʁi=nə=se=ku=lə=pa=dɑ̃=lə=mε=mə=vεs=ti=by=lə 71

il=nə=sa=vε=pa=puʁ=kwa=il=e=tε=la=il=a=vε=bə=zwɛ̃=də=paʁ=le=mε=nə=sa=vε=pa=tʁo=a=ki=nε=sə=pa=tɔ̃=ʁo=lə=de=ku=te=e=də=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=lε=ʒɑ̃=mε=zil=i=a=vε=twa=o=si 51
il=e=tε=ʒε=ne=il=tə=kɔ=nε=sε=pø=mε=ty=a=la=bi=ty=də=œ̃=su=ʁi=ʁə=la=ti=ty=də=e=lε=mo=kil=fo=il=sɔ̃=tus=pa=ʁεj=zɑ̃=fɛ̃=də=kɔ̃=tə=il=sə=kʁwa=tus=di=fe=ʁɑ̃=mε=sε=pʁεs=kə=tu=ʒuʁ=la=mε=mə=ʃo=zə=la=kʁo=no=lɔ=ʒi=ʃɑ̃=ʒə=lε=mo=zo=si=mε=le=sɑ̃=sjεl=ε=paʁ=ta=ʒe=paʁ=tus=sɑ̃=puʁ=o=tɑ̃=kil=vœj=e=bjɛ̃=lə=ʁə=kɔ=nε=tʁə 93
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dε=lə=de=paʁ=ty=sɑ̃=tε=kil=i=a=vε=œ̃=tʁe=zɔʁ=œ̃=sε=kʁε=a=de=te=ʁe=mε=ty=ʁεs=ta=kal=mə=e=de=tεʁ=mi=ne=ɑ̃=fɛ̃=ʒys=ko=pʁɛ̃=tɑ̃ 38
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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
02/07/2006 20:34La Baleine

🌹 (oui)

Poème Amour-Amitié
Du 26/06/2006 18:48

L'écrit contient 891 mots qui sont répartis dans 3 strophes.