Poème:Larme
Le Poème
Une plaie constante qui nous ronge de l’intérieur,
Qui nous effondres, et nous attire vers la nuit,
Qui nous brises, et doucement nous engloutie.
Tu était mon meilleure ami, je t’aimais très fort
Même si Parfois sous l’emprise de l’alcool ça dérapait,
Ces histoires devaient restée secrètes jusqu’à la mort,
Mais tu t’en vantais, c’est juste à ça que je te servais.
J’ai tellement pleuré, plus abondamment que la pluie,
Je me sentais tellement nul et faible de craquer ainsi,
Mais certaines blessures sont tellement douloureuses,
Que l’on est plus qu’un amas de lambeau, malheureuse.
Il y a un stade ou nous sommes tous égaux dans la détresse,
Seul Face à la souffrance, au désespoir et à la douleur,
Le destin semble s’acharné, et accroitre votre malheur.
Et rien ne parait pouvoir un jours sécher votre tristesse.
Il y a un moment ou on ne peut plus se battre contre la vie
Ou on ne se remets plus des plaie qui nous tues, petit à petit
Aujourd’hui je n’ai plus la force et je baisse les bras,
Car il y a des blessures dont on ne guérie pas. .
PostScriptum
Je ne sais même pas quoi dire, seulement que parfois la vie peut être vraiment cruelle. . .
Poète Erika
Erika a publié sur le site 115 écrits. Erika est membre du site depuis l'année 2006.Lire le profil du poète ErikaSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Larme
on=peut=ê=tre=bles=sé=au=plus=pro=fond=de=no=tre=cœur 14u=ne=plaie=cons=tan=te=qui=nous=ron=ge=de=lin=té=rieur 14
qui=nous=ef=fon=dres=et=nous=at=ti=re=vers=la=nuit 13
qui=nous=bri=ses=et=dou=ce=ment=nous=en=glou=tie 12
tu=é=tait=mon=meil=leu=re=a=mi=je=tai=mais=très=fort 14
même=si=par=fois=sous=lem=pri=se=de=lal=cool=ça=dé=ra=pait 15
ces=his=toires=de=vaient=res=tée=se=crè=tes=jus=quà=la=mort 14
mais=tu=ten=van=tais=cest=jus=teà=ça=que=je=te=ser=vais 14
jai=tel=le=ment=pleu=ré=plus=a=bon=dam=ment=que=la=pluie 14
je=me=sen=tais=tel=le=ment=nul=et=faible=de=cra=quer=ain=si 15
mais=cer=tai=nes=bles=su=res=sont=tel=le=ment=dou=lou=reuses 14
que=lon=est=plus=quun=a=mas=de=lam=beau=mal=heu=reu=se 14
il=y=a=un=stadeou=nous=som=mes=tous=é=gaux=dans=la=dé=tres=se 16
seul=faceà=la=souf=fran=ce=au=dé=ses=poir=et=à=la=dou=leur 15
le=des=tin=sem=ble=sa=char=né=et=ac=croitre=vo=tre=malheur 14
et=rien=ne=pa=rait=pou=voir=un=jours=sé=cher=votre=tris=tesse 14
il=y=a=un=moment=ou=on=ne=peut=plus=se=bat=tre=con=tre=la=vie 17
ou=on=ne=se=re=mets=plus=des=plaie=qui=nous=tues=pe=tit=à=pe=tit 17
au=jourd=hui=je=nai=plus=la=force=et=je=bais=se=les=bras 14
car=il=y=a=des=bles=su=res=dont=on=ne=gué=rie=pas 14
Phonétique : Larme
ɔ̃ pø εtʁə blese o plys pʁɔfɔ̃ də nɔtʁə kœʁ,ynə plε kɔ̃stɑ̃tə ki nu ʁɔ̃ʒə də lɛ̃teʁjœʁ,
ki nuz- efɔ̃dʁə, e nuz- atiʁə vεʁ la nɥi,
ki nu bʁizə, e dusəmɑ̃ nuz- ɑ̃ɡluti.
ty etε mɔ̃ mεjəʁə ami, ʒə tεmε tʁε fɔʁ
mεmə si paʁfwa su lɑ̃pʁizə də lalkɔl sa deʁapε,
sεz- istwaʁə dəvε ʁεste sεkʁεtə ʒyska la mɔʁ,
mε ty tɑ̃ vɑ̃tε, sε ʒystə a sa kə ʒə tə sεʁvε.
ʒε tεllmɑ̃ pləʁe, plysz- abɔ̃damɑ̃ kə la plɥi,
ʒə mə sɑ̃tε tεllmɑ̃ nyl e fεblə də kʁake ɛ̃si,
mε sεʁtεnə blesyʁə sɔ̃ tεllmɑ̃ duluʁøzə,
kə lɔ̃n- ε plys kœ̃n- ama də lɑ̃bo, maləʁøzə.
il i a œ̃ stadə u nu sɔmə tusz- eɡo dɑ̃ la detʁεsə,
səl fasə a la sufʁɑ̃sə, o dezεspwaʁ e a la dulœʁ,
lə dεstɛ̃ sɑ̃blə saʃaʁne, e akʁwatʁə vɔtʁə malœʁ.
e ʁjɛ̃ nə paʁε puvwaʁ œ̃ ʒuʁ seʃe vɔtʁə tʁistεsə.
il i a œ̃ mɔmɑ̃ u ɔ̃ nə pø plys sə batʁə kɔ̃tʁə la vi
u ɔ̃ nə sə ʁəmε plys dε plε ki nu tɥ, pəti a pəti
oʒuʁdɥi ʒə nε plys la fɔʁsə e ʒə bεsə lε bʁa,
kaʁ il i a dε blesyʁə dɔ̃ ɔ̃ nə ɡeʁi pa.
Syllabes Phonétique : Larme
ɔ̃=pø=ε=tʁə=ble=se=o=plys=pʁɔ=fɔ̃=də=nɔ=tʁə=kœʁ 14y=nə=plε=kɔ̃s=tɑ̃=tə=ki=nu=ʁɔ̃=ʒə=də=lɛ̃=te=ʁjœʁ 14
ki=nu=ze=fɔ̃=dʁə=e=nu=za=ti=ʁə=vεʁ=la=nɥi 13
ki=nu=bʁi=zə=e=du=sə=mɑ̃=nu=zɑ̃=ɡlu=ti 12
ty=e=tε=mɔ̃=mε=jə=ʁə=a=mi=ʒə=tε=mε=tʁε=fɔʁ 14
mεmə=si=paʁ=fwa=su=lɑ̃=pʁi=zə=də=lal=kɔl=sa=de=ʁa=pε 15
sε=zis=twaʁə=də=vε=ʁεs=te=sε=kʁε=tə=ʒys=ka=la=mɔʁ 14
mε=ty=tɑ̃=vɑ̃=tε=sε=ʒys=tə=a=sakə=ʒə=tə=sεʁ=vε 14
ʒε=tεl=lmɑ̃=plə=ʁe=plys=za=bɔ̃=da=mɑ̃=kə=la=plɥi 13
ʒə=mə=sɑ̃=tε=tεl=lmɑ̃=nyl=e=fεblə=də=kʁa=ke=ɛ̃=si 14
mε=sεʁ=tε=nə=ble=sy=ʁə=sɔ̃=tεl=lmɑ̃=du=lu=ʁø=zə 14
kə=lɔ̃=nε=plys=kœ̃=na=ma=də=lɑ̃=bo=ma=lə=ʁø=zə 14
il=i=a=œ̃=stadəu=nu=sɔ=mə=tus=ze=ɡo=dɑ̃=la=de=tʁεsə 15
səl=fasəa=la=su=fʁɑ̃=sə=o=de=zεs=pwaʁ=e=a=la=du=lœʁ 15
lə=dεs=tɛ̃=sɑ̃blə=sa=ʃaʁ=ne=e=a=kʁwa=tʁə=vɔ=tʁə=ma=lœʁ 15
e=ʁjɛ̃nə=pa=ʁε=pu=vwaʁ=œ̃=ʒuʁ=se=ʃe=vɔ=tʁə=tʁis=tεsə 14
il=i=a=œ̃=mɔ=mɑ̃=u=ɔ̃nə=pø=plys=sə=ba=tʁə=kɔ̃=tʁə=la=vi 17
u=ɔ̃nə=sə=ʁə=mε=plys=dε=plε=ki=nu=tɥ=pə=ti=a=pə=ti 16
o=ʒuʁ=dɥiʒə=nε=plys=la=fɔʁ=sə=e=ʒə=bε=sə=lε=bʁa 14
kaʁ=il=i=a=dε=ble=sy=ʁə=dɔ̃=ɔ̃=nə=ɡe=ʁi=pa 14
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
Tu guérriras mon petit poisson, ne baisse pas les bras, et laisse faire, il ne mérite pas de voir tes larmes couler, crois en toi, et saches qu’il n’y a pas que des mauvais sur cette terre, alors ne te gache pas la vie parce qu’ils font *****. Ce que tu vis, beaucoup de gens doivent l’affronter, et je sais que tu réussiras à le faire. Et tu sais que si tu as besoin de parler, mes portes sont ouvertes.
Courage mon petit Némo,
Amitiée sincère,
Ariel 
c’est sur que la vie est parfois cruelle, mais il faut relever la tête est combattre, afin de te donner un avenir meilleur, remplit de bonheur et de douceur. . . , bel écrit,
Amicalement(F)
Guérir nécessite du temps!
trop touchant poeme emplit de verite
moi aussi les larmes m’affaiblissent e je sais que j’ai meme fait couler celles d’un ange
alors pardonnez moi pour ma stupiditer
et guerisson ensemble s’il est possible de guerir
amities erika
elodie
J’espere que tu reussira a guerrir, essaye de ne pas perdre espoir (facile a dire hein). en tout cas c’est un magnifique poeme
Si on ne guerit pas de nos blessures on apprend a vivre avec, on apprend à les apprivoiser, et mm des fois on se surprend a les oublier. Il y a tjrs qq chose où se raccrocher, un ami, un sourrire, une main, une rencontre. . . et surtout il y a l espoir, de voir demain des jours meilleurs.
garde l etincelle du bonheur dans ton coeur et tu verras un jour elle brillera de mille feu.
Ton poeme est tres beau et tellement triste.
gardes le moral
Amicalement
bravo;très joli, n poeme qui as su me troubler.
merci biz
il y a des blessure=s qui nous affaiblisse
lourdement surtout moralement. . .
tous ce que l’on peut faire pour les guérires
c’est laisser agir le temps en espérant que
le bonheur viendra prendre un peu plus de place
dans nos vies. . .
De très jolis vers qui recouvres ta détresse.
Amitiés. (F)(K)
Très joli poême, hélas on sent ta souffrance, prend le temps de regarder le jour se lever, d’écouter le chant des oiseaux, une musique que tu aimes, un enfant qui sourit. . . regarde ce qui te fais du bien, essaye de faire le vide, d’oublier quelques instants ce qui te fait du mal au plus profond de toi, profites des petits bonheurs, c’est peu par rapport à ta souffrance sans doute, mais peut-être que ça t’apaisera ne serait ce que quelques instants, mais surtout ne baisse pas les bras "un jour" le bonheur te sourira. . . kiss
Poème Espoir
Du 22/08/2006 15:45
