Poème:Le Sang De L’immortelle

Une femme pâle à la bouche exquise d’un rouge rubis, au crocs blanchâtre et aiguisée s’affale sur un somptueux divan les jambes croiser.
Buvant une quantités de sang les yeux fermer, plantant ses crocs meurtrière dans une plaie.
Savourant les gouttes de sang et la nuit éphémère.
Des gouttes qui dégouline de sa bouche à sa ferme poitrine.
Elle chanta dans l’air un requiem sinistre, elle mangea la chair chaud et sans âme.
Coulant de ses veines noircie le sang de l’immortelle, ses yeux rouge perçant me transperce le sang et dévore mon cadavre.
Tel une corneille affamée mangeant les dépouille trouvée.
Cette sublime marquise au regard froid et sans vie dont les sentiment n’est que vide perfidie, mange et déchire la chair avec ses crocs.
Un bain de sang sur le parquet luisant, mon reflet dans un océan de sang.
Un miroir me montrant la réalité.
Suis-je aussi une immortelle ?
Le nom de ma sombre rose n’est qu’un vague souvenir d’ oublie.
Car la réalité est horrible qu’on se referme sur de simple illusion.
Une illusion ou il reste encore un peu d’espoir.
Mais je ne fait que blâmer, après tout ses moi qui au côté d’une damnée !