Prose:Absolem
La Prose
Absolem (nom de la chenille dans Alice aux pays des merveilles)
Absolem ? Absolem ? Mais qui es tu ?
Chacun de nous peut se poser cette légitime question « Qui suis-je ? » Et rester la bouche ouverte en attente d’une réponse. Moi je suis Absolem et je ne sais pas vraiment qui je suis. Je suis né garçon mais au fond de moi je suis fille. Ou bien suis-je une fille dans un corps de garçon !
Drôle de dilemme n’est ce pas… . Et pour vous et pour moi, je suis Absolem et j’attends patiemment le moment ou je vais m’enfermer dans ma chrysalide et devenir Papillon. Mais qui va me dire à moi le moment exacte de ma transformation, moi qui rêve tous les jours d’être celle pour laquelle vos yeux se sont si longtemps fermés.
Savez vous qu’à l’intérieur de moi il y a une petite voix discrète qui me soumet d’être une dame et de l’autre, vos voix à vous qui n’arrêtent pas de me dire « monsieur Absolem » mais non ! Stop ! Je suis une dame, ne voyez-vous pas mes ongles vernis, et mon sac… . ma démarche et ma passion pour le rose. J’aime le rose.
ROSE : couleur positive liée à la féminité, au romantisme, à la séduction, au bonheur, à la tendresse, à la jeunesse. Que ce soit du rose bonbon, du rose pâle, ou du fuchsia, le rose est une couleur dynamique ponctuée d’une pointe de délicatesse on ne peut plus féminine. On l’associe également à la tendresse et au bonheur, comme d’ailleurs le rappelle si bien l’expression « voir la vie en rose ».
ROSE : couleur qui symbolise la candeur et la pureté, couleur aux côtés relaxants qui représente le plaisir de vivre et l’optimisme, ne dit on pas vivre sur un petit nuage rose !
ROSE : couleur de l’enfance et de la jeunesse avec des bonbons roses tels les « tagada », les « gimauves » et la barbe à papa… . Ah miam !
Alors avec tout ça, je suis Absolem et j’aime le rose, pourquoi cela ne vous convient-il pas ?
AU SECOURS ON ME REGARDE ET ON RIT ! Aie j’ai mal, et je pleure là prostré sur mon banc… . Et toi l’adulte tu ne viens pas à mon secours, tu me laisses être mal (heureux) . Pourquoi m’avoir accordé d’être une fille si c’est pour que l’on se moque de moi. Croyez vous que je n’ai rien vu, rien ressenti. Mes larmes en disent long sur ma colère et ma tristesse… qui va m’expliquer, mais qui va l’expliquer aussi à ceux qui me regardent.
AU SECOURS ON ME REGARDE ET ON ME MONTRE DU DOIGT ! Aie j’ai mal, et je pleure accroupi dans un coin sans pouvoir exprimer ma détresse… Je dois aller avec celle que j’appelle gentiment « guenouille ! » mais je n’arrive pas à sécher mes larmes.
Ainsi donc je reçois pendant ma séquence un jeune homme en larmes, incapable de comprendre ce qui vient de lui arriver, et qui « vomi » sa colère en employant un vocabulaire assez vulgaire pour décrire les autres… les autres qui rigolent et qui se moquent. Les autres, ses amies qui elles aussi ont été décontenancé en le voyant lui, Absolem, dans cette robe (assez voyante tout de même) sans être prévenues.
Il est là assis devant moi, en attente d’une réponse qui m’échappe, et qui vient se mêler aux sentiments confus qui m’habitent à cet instant T. Que dire, comment réagir face à ce mal être évident… .
Pas un instant à perdre, il faut trouver la clé : Oui mais quelle clé ?
Prise au dépourvu devant tant de larmes, j’aspire à être moi ; enseignante, éducatrice, mais aussi maman. Et oui ! Parfois avoir une expérience de mère peut-être utile. Alors, sans réfléchir aux grandes théories psychologiques et psychiatriques, je me lance dans la dérision et le rire. Je cherche des petites différences, chez moi, chez les jeunes assis en face de moi, et je cherche son sourire…
« Regarde moi, Absolem, je suis petite ! ! ! et ton voisin, il se balance, et lui encore, il est très grand… »
« Absolem… Regarde ! »
Et là, je dessine au tableau des visages souriants, tristes, en colères, avec des grands nez, des grandes oreilles, des yeux qui louches… et : Absolem rit. J’entends son rire éclatant, enfantin et teinté de féminité !
Il rit, le visage caché derrière ses mains, il rit : J’ai réussi, pour un instant.
J’entends alors prononcer dans un petit rire mon prénom suivi de « Arrête Guenouille… ah ah »… ni une ni deux je prends mon téléphone portable et je prends une photo de ce sourire immortalisant ainsi sa paix intérieure.
Absolem ? Absolem ? Mais qui es tu ?
Chacun de nous peut se poser cette légitime question « Qui suis-je ? » Et rester la bouche ouverte en attente d’une réponse. Moi je suis Absolem et je ne sais pas vraiment qui je suis. Je suis né garçon mais au fond de moi je suis fille. Ou bien suis-je une fille dans un corps de garçon !
Drôle de dilemme n’est ce pas… . Et pour vous et pour moi, je suis Absolem et j’attends patiemment le moment ou je vais m’enfermer dans ma chrysalide et devenir Papillon. Mais qui va me dire à moi le moment exacte de ma transformation, moi qui rêve tous les jours d’être celle pour laquelle vos yeux se sont si longtemps fermés.
Savez vous qu’à l’intérieur de moi il y a une petite voix discrète qui me soumet d’être une dame et de l’autre, vos voix à vous qui n’arrêtent pas de me dire « monsieur Absolem » mais non ! Stop ! Je suis une dame, ne voyez-vous pas mes ongles vernis, et mon sac… . ma démarche et ma passion pour le rose. J’aime le rose.
ROSE : couleur positive liée à la féminité, au romantisme, à la séduction, au bonheur, à la tendresse, à la jeunesse. Que ce soit du rose bonbon, du rose pâle, ou du fuchsia, le rose est une couleur dynamique ponctuée d’une pointe de délicatesse on ne peut plus féminine. On l’associe également à la tendresse et au bonheur, comme d’ailleurs le rappelle si bien l’expression « voir la vie en rose ».
ROSE : couleur qui symbolise la candeur et la pureté, couleur aux côtés relaxants qui représente le plaisir de vivre et l’optimisme, ne dit on pas vivre sur un petit nuage rose !
ROSE : couleur de l’enfance et de la jeunesse avec des bonbons roses tels les « tagada », les « gimauves » et la barbe à papa… . Ah miam !
Alors avec tout ça, je suis Absolem et j’aime le rose, pourquoi cela ne vous convient-il pas ?
AU SECOURS ON ME REGARDE ET ON RIT ! Aie j’ai mal, et je pleure là prostré sur mon banc… . Et toi l’adulte tu ne viens pas à mon secours, tu me laisses être mal (heureux) . Pourquoi m’avoir accordé d’être une fille si c’est pour que l’on se moque de moi. Croyez vous que je n’ai rien vu, rien ressenti. Mes larmes en disent long sur ma colère et ma tristesse… qui va m’expliquer, mais qui va l’expliquer aussi à ceux qui me regardent.
AU SECOURS ON ME REGARDE ET ON ME MONTRE DU DOIGT ! Aie j’ai mal, et je pleure accroupi dans un coin sans pouvoir exprimer ma détresse… Je dois aller avec celle que j’appelle gentiment « guenouille ! » mais je n’arrive pas à sécher mes larmes.
Ainsi donc je reçois pendant ma séquence un jeune homme en larmes, incapable de comprendre ce qui vient de lui arriver, et qui « vomi » sa colère en employant un vocabulaire assez vulgaire pour décrire les autres… les autres qui rigolent et qui se moquent. Les autres, ses amies qui elles aussi ont été décontenancé en le voyant lui, Absolem, dans cette robe (assez voyante tout de même) sans être prévenues.
Il est là assis devant moi, en attente d’une réponse qui m’échappe, et qui vient se mêler aux sentiments confus qui m’habitent à cet instant T. Que dire, comment réagir face à ce mal être évident… .
Pas un instant à perdre, il faut trouver la clé : Oui mais quelle clé ?
Prise au dépourvu devant tant de larmes, j’aspire à être moi ; enseignante, éducatrice, mais aussi maman. Et oui ! Parfois avoir une expérience de mère peut-être utile. Alors, sans réfléchir aux grandes théories psychologiques et psychiatriques, je me lance dans la dérision et le rire. Je cherche des petites différences, chez moi, chez les jeunes assis en face de moi, et je cherche son sourire…
« Regarde moi, Absolem, je suis petite ! ! ! et ton voisin, il se balance, et lui encore, il est très grand… »
« Absolem… Regarde ! »
Et là, je dessine au tableau des visages souriants, tristes, en colères, avec des grands nez, des grandes oreilles, des yeux qui louches… et : Absolem rit. J’entends son rire éclatant, enfantin et teinté de féminité !
Il rit, le visage caché derrière ses mains, il rit : J’ai réussi, pour un instant.
J’entends alors prononcer dans un petit rire mon prénom suivi de « Arrête Guenouille… ah ah »… ni une ni deux je prends mon téléphone portable et je prends une photo de ce sourire immortalisant ainsi sa paix intérieure.
PostScriptum
La différence est dure… être trisomique et différent c’est parfois cruel. . : > il pensait être femme et s’et habillé en dame car nous le lui avions permis… voilà ce que j’ai ressenti et ce que j’ai écrit, à travers lui… ; pour lui, car il m’a fait de la peine…
Poète Nathalie Anne
Nathalie Anne a publié sur le site 11 écrits. Nathalie Anne est membre du site depuis l'année 2013.Lire le profil du poète Nathalie AnneSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Absolem
absɔləm (nɔ̃ də la ʃənijə dɑ̃z- alisə o pεi dε mεʁvεjs)absɔlεm ? absɔlεm ? mε ki ε ty ?
ʃakœ̃ də nu pø sə poze sεtə leʒitimə kεstjɔn « ki sɥi ʒə ? » εt ʁεste la buʃə uvεʁtə ɑ̃n- atɑ̃tə dynə ʁepɔ̃sə. mwa ʒə sɥiz- absɔlεm e ʒə nə sε pa vʁεmɑ̃ ki ʒə sɥi. ʒə sɥi ne ɡaʁsɔ̃ mεz- o fɔ̃ də mwa ʒə sɥi fijə. u bjɛ̃ sɥi ʒə ynə fijə dɑ̃z- œ̃ kɔʁ də ɡaʁsɔ̃ !
dʁolə də dilamə nε sə pa… e puʁ vuz- e puʁ mwa, ʒə sɥiz- absɔlεm e ʒatɑ̃ pasjamɑ̃ lə mɔmɑ̃ u ʒə vε mɑ̃fεʁme dɑ̃ ma kʁizalidə e dəvəniʁ papijɔ̃. mε ki va mə diʁə a mwa lə mɔmɑ̃ εɡzaktə də ma tʁɑ̃sfɔʁmasjɔ̃, mwa ki ʁεvə tus lε ʒuʁ dεtʁə sεllə puʁ lakεllə voz- iø sə sɔ̃ si lɔ̃tɑ̃ fεʁme.
save vu ka lɛ̃teʁjœʁ də mwa il i a ynə pətitə vwa diskʁεtə ki mə sumε dεtʁə ynə damə e də lotʁə, vo vwa a vu ki naʁεte pa də mə diʁə « məsjø absɔləm » mε nɔ̃ ! stɔp ! ʒə sɥiz- ynə damə, nə vwaje vu pa mεz- ɔ̃ɡlə vεʁni, e mɔ̃ sak… ma demaʁʃə e ma pasjɔ̃ puʁ lə ʁozə. ʒεmə lə ʁozə.
ʁozə : kulœʁ pozitivə lje a la feminite, o ʁɔmɑ̃tismə, a la sedyksjɔ̃, o bɔnœʁ, a la tɑ̃dʁεsə, a la ʒənεsə. kə sə swa dy ʁozə bɔ̃bɔ̃, dy ʁozə palə, u dy fyksja, lə ʁozə εt- ynə kulœʁ dɛ̃amikə pɔ̃ktye dynə pwɛ̃tə də delikatεsə ɔ̃ nə pø plys femininə. ɔ̃ lasɔsi eɡaləmɑ̃ a la tɑ̃dʁεsə e o bɔnœʁ, kɔmə dajœʁ lə ʁapεllə si bjɛ̃ lεkspʁesjɔn « vwaʁ la vi ɑ̃ ʁozə ».
ʁozə : kulœʁ ki sɛ̃bɔlizə la kɑ̃dœʁ e la pyʁəte, kulœʁ o kote ʁəlaksɑ̃ ki ʁəpʁezɑ̃tə lə plεziʁ də vivʁə e lɔptimismə, nə di ɔ̃ pa vivʁə syʁ œ̃ pəti nɥaʒə ʁozə !
ʁozə : kulœʁ də lɑ̃fɑ̃sə e də la ʒənεsə avεk dε bɔ̃bɔ̃ ʁozə tεl ləs « taɡada », ləs « ʒimovəs » εt la baʁbə a papa… a mjam !
alɔʁz- avεk tu sa, ʒə sɥiz- absɔlεm e ʒεmə lə ʁozə, puʁkwa səla nə vu kɔ̃vjɛ̃ til pa ?
o səkuʁz- ɔ̃ mə ʁəɡaʁdə e ɔ̃ ʁit ! ε ʒε mal, e ʒə plœʁə la pʁɔstʁe syʁ mɔ̃ bɑ̃… e twa ladyltə ty nə vjɛ̃ pa a mɔ̃ səkuʁ, ty mə lεsəz- εtʁə mal (əʁøks) . puʁkwa mavwaʁ akɔʁde dεtʁə ynə fijə si sε puʁ kə lɔ̃ sə mɔkə də mwa. kʁwaje vu kə ʒə nε ʁjɛ̃ vy, ʁjɛ̃ ʁəsɑ̃ti. mε laʁməz- ɑ̃ dize lɔ̃ syʁ ma kɔlεʁə e ma tʁistεsə… ki va mεksplike, mε ki va lεksplike osi a sø ki mə ʁəɡaʁde.
o səkuʁz- ɔ̃ mə ʁəɡaʁdə e ɔ̃ mə mɔ̃tʁə dy dwa ! ε ʒε mal, e ʒə plœʁə akʁupi dɑ̃z- œ̃ kwɛ̃ sɑ̃ puvwaʁ εkspʁime ma detʁεsə… ʒə dwaz- ale avεk sεllə kə ʒapεllə ʒɑ̃timεnt « ɡənujə ! » mε ʒə naʁivə pa a seʃe mε laʁmə.
ɛ̃si dɔ̃k ʒə ʁəswa pɑ̃dɑ̃ ma sekɑ̃sə œ̃ ʒənə ɔmə ɑ̃ laʁmə, ɛ̃kapablə də kɔ̃pʁɑ̃dʁə sə ki vjɛ̃ də lɥi aʁive, e ki « vɔmi » sa kɔlεʁə ɑ̃n- ɑ̃plwajɑ̃ œ̃ vɔkabylεʁə ase vylɡεʁə puʁ dekʁiʁə lεz- otʁə… lεz- otʁə- ki ʁiɡɔle e ki sə mɔke. lεz- otʁə, sεz- ami ki εlləz- osi ɔ̃ ete dekɔ̃tənɑ̃se ɑ̃ lə vwajɑ̃ lɥi, absɔlεm, dɑ̃ sεtə ʁɔbə (ase vwajɑ̃tə tu də mεmə) sɑ̃z- εtʁə pʁevənɥ.
il ε la asi dəvɑ̃ mwa, ɑ̃n- atɑ̃tə dynə ʁepɔ̃sə ki meʃapə, e ki vjɛ̃ sə mεle o sɑ̃timɑ̃ kɔ̃fy ki mabite a sεt ɛ̃stɑ̃ te. kə diʁə, kɔmɑ̃ ʁeaʒiʁ fasə a sə mal εtʁə evide…
pa œ̃n- ɛ̃stɑ̃ a pεʁdʁə, il fo tʁuve la kle : ui mε kεllə kle ?
pʁizə o depuʁvy dəvɑ̃ tɑ̃ də laʁmə, ʒaspiʁə a εtʁə mwa, ɑ̃sεɲɑ̃tə, edykatʁisə, mεz- osi mamɑ̃. e ui ! paʁfwaz- avwaʁ ynə εkspeʁjɑ̃sə də mεʁə pø tεtʁə ytilə. alɔʁ, sɑ̃ ʁefleʃiʁ o ɡʁɑ̃də teɔʁi psikɔlɔʒikz- e psiʃjatʁik, ʒə mə lɑ̃sə dɑ̃ la deʁizjɔ̃ e lə ʁiʁə. ʒə ʃεʁʃə dε pətitə difeʁɑ̃sə, ʃe mwa, ʃe lε ʒənəz- asiz- ɑ̃ fasə də mwa, e ʒə ʃεʁʃə sɔ̃ suʁiʁə…
« ʁəɡaʁdə mwa, absɔlεm, ʒə sɥi pətitə ! ! ! e tɔ̃ vwazɛ̃, il sə balɑ̃sə, e lɥi ɑ̃kɔʁə, il ε tʁε ɡʁɑ̃… »
« absɔlεm… ʁəɡaʁdə ! »
e la, ʒə desinə o tablo dε vizaʒə suʁjɑ̃, tʁistə, ɑ̃ kɔlεʁə, avεk dε ɡʁɑ̃ ne, dε ɡʁɑ̃dəz- ɔʁεjə, dεz- iø ki luʃə… e : absɔlεm ʁit. ʒɑ̃tɑ̃ sɔ̃ ʁiʁə eklatɑ̃, ɑ̃fɑ̃tɛ̃ e tɛ̃te də feminite !
il ʁit, lə vizaʒə kaʃe dəʁjεʁə sε mɛ̃, il ʁit : ʒε ʁeysi, puʁ œ̃n- ɛ̃stɑ̃.
ʒɑ̃tɑ̃z- alɔʁ pʁonɔ̃se dɑ̃z- œ̃ pəti ʁiʁə mɔ̃ pʁenɔ̃ sɥivi də « aʁεtə ɡənujə… a a »… ni ynə ni dø ʒə pʁɑ̃ mɔ̃ telefɔnə pɔʁtablə e ʒə pʁɑ̃z- ynə fɔto də sə suʁiʁə imɔʁtalizɑ̃ ɛ̃si sa pε ɛ̃teʁjəʁə.
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Commentaires Sur La Poesie
16/07/2015 15:12Nathalie Anne
merci pour le coup de coeur...
16/07/2015 21:56Tulipe Noire
très joli et fort apprécié, merci pour ce partage, mes amitiés.
Prose Différence
Du 16/07/2015 13:11
L'écrit contient 794 mots qui sont répartis dans 5 strophes.