Poème:Un Jour

Un jour.
Les soleil tourné au desus de nos front,
Emportant dans leurs danses les saisons
Les feuilles mortes,
Les souvenirs,
Et les étoiles,
Dans le bain du néant.
Les grandes ilusions nous rendaient aveugles et sourd,
Au gemissement feutré de l’amour,
Et les sirenes de la décadances entrainaient dans leur transes,
Des cœur epuisées navigant au soufle du brasier.
Les nymphes aux voix écorchées,
Les muses au formes empoisonées,
Exquis baisés,
Mortiferes confusions
Où mon âmes fue entravée
Emprisone dans un puis d’ilusion,
Mes yeux fermer comme une porte,
Ou meurt la lumiere,
Ou meurt l’amour veritable
Ou meurt les valeur
Ou meurt la beautée
D’un esprit Submerger dans les vanité, il persistait toujours
Cette image.
Tu etais là,
Au loin, la ou le soleil se leve,
Asise au près d’un pommier épuisé, .
Le vent pianoté sur ta toison
Elacant dans son soufle ce ruisseau
Qui prenait source en t’es yeux,
Et qui, au zenith, s’échouait sur les rives fruitées de ton cou,

Les grandes ilusions nous rendaient aveugles est sourd,
Au gemissement feutré de l’amour,
Et les sirenes de la décadance entrainaient dans leur transses,
Des cœur, epuisées naviguant au soufle du brasier.

Et les siflement d’un rosignol,
Ricochant sur les plaines vertes.
Fue le signal desirer.
Mes yeux s’ouvrire et mon pas devins toujours plus vif,
Et l’image devint chair
Cette image avait un parfum
Ainsi.

Ciel et terre se mirent à s’oublier
S’étandant aux rythmes des sentiments,
La cime des peuplier enroulait langoureusement les nuages,
Et les astres dorées se delectaient des falaises sucrées,
Des arc en ciel naissaient les cascades
Les monts s’éssouflait dans l’infinit.
Les gémissement devinrent le soufle de joussance,
D’une belle bete chaude et fauve galopent vers le firmament. .