Poème:165695 - Sans Titre

Ce sol gelé sur ta peau d’enfant,
Ce moment où ton âme se cache,
Ce mortifie de honte, d’être une lâche,
Ce moment où tu meurs lentement.
Ce bruit de clé qui te fais dire que tu es piégée,
Ces images sordides qui défilent
Sans ne plus jamais s’arrêter
Cette mémoire qui va te torturer

Rien… tu n’oublieras rien… jamais
Tu t’absente de ton corps,
Tu vois la scène dans haut comme dans un mauvais film,
Aucuns sons ne sort de ta bouche salie,
La douleur ruisselle sur tes joues blafardes… Le voilà qui à fini ! ! ! ! !

Tu sors de la pièce, personne ne voit,
Que tu ne seras plus jamais la même
A travers ton regard tu espère qu’ ils comprennent
Tu leur cri de t’aider, mais ils ne t entendent pas
Rien… tu n’oublieras rien… jamais
Ton autre toi, qui hurle à l intérieur
Qui se tord de douleur
S’est fait séquestrer par un pantin,
C’est la fin ! ! ! !
IL t’a prit la plus précieuse des estimes
Il t’a voler ton intime
Il t’a violer sans regrets
Pendant 9 longues années…
Personne n’a jamais rien dit mais toi tu as tout vu…
L’être humain est dégueulasse ! ! ! ! !
Ils ferment les yeux et baisse la tête en te croisant
Ils savent mais ne t’aident pas a te sortir de cette impasse
De ce qui fait que tu te meurs un peu plus a chaques instants.
Tu es morte à la toute première seconde
Ou tu as compris qu’il allait te bafouer.
Aurevoir fillette
Laisse place à la marionnette ! ! ! !