Poème:Condamné A Vivre

Tant de jour j’ai avancer sans même savoir où aller
Tant de nuit j’ai rêver
Rêver d’être ailleurs et de jours meilleurs
Tant de nuit j’ai envier l’arrivée d’un ange du ciel
Libéré moi grand Dieu, mes cris sont éternels

De puis si longtemps j’y suis plongé
L’habitude de vie d’un condamné
Condamné a perpétuité
Mon seul crime, être venu au monde
Prit dans cette vie, je dois mis fondre
J’ai marché en rang sans jamais divergé
Pour cela, une corde au cou j’ai hérité
Hey le mouton suit le troupeau sans chialer

Mais si au moins je pouvais arrêter le temps
Faire une pause et mettre le monde en suspend
Cette espoir fou, il y a longtemps j’ai décroché
De se jour on malheureusement j’ai réalisé
Le temps avance toujours sans se soucier de nous
Qu’on rit, qu’on pleure, qu’on vit, qu’on meurt
Chaque seconde perdu ne nous sera jamais rendu

Nous sommes tous condamné à errer dans cette triste réalité
Je vois blanc, je vois noir, je vois ce qu’on me dit de voir
Prisonnier à tord, qu’est-ce ça peut nous faire, on a les yeux bandés
La vérité, dans un sac au fond d’un trou, c’est facile à cacher
Mais lorsque finalement, nos chaînes, on réussi à briser
Qu’on lève la tête bien haut pour fixer l’horizon
On réalise bien vite que l’on ai tous juste des pions

J’ai beau nier, j’avoue devant je vois noir
Souvent la vie, concept flou, me semble dérisoire
Larguer d’en haut pour atterrir ici-bas
J’avance à tâtons en faisant gaffe à chaque pas
Condamné a vivre, je suis
Tant bien que mal je vie