Prose:Au Revoir
A Propos de cette Prose
un poéme nostalgique
La Prose
Au revoir
Oh ! beaux soirs des étés, oh ! brise tiède et douce comme un rêve de crépuscule dans une île, ou vous étés passés ? sensations et beaux souvenir de la première branlette, le premier amour, les baignades et les bronzages des premières vacances, les cheveux bouclés et les cuisses dorées des meufs, l’odeur poivrée de la mer et les bocadios de Tetouan, la bonne sensation du corps contre le corps et la drague innocente, les frimes des Casablancais et les voitures de la communauté marocaine qui vivaient en entranger, ou vous étés passés souvenirs innocents quand les temps étaient vastes comme les océans et simples comme le pain et le thé, ou sont passés ces temps quand on a découvert pour la première fois la chaîne d’Eros TV ! et on se branlaient les trois moi mon frére et mon cousin sur des films x de moins 16 ans, l’image analogique floue et colorée jaillissait par rouge et jaune sur les peaux roses des pornstars blondes et se sentaient sur ton pénis comme un moteur de l’eau, et les spermes coulaient par monts et vaux sur les toilettes et les dalles chauds de l’été, oh ! beaux soir d’été ! o ! souvenirs damnés ! ou sont passés ces souvenirs ou les gamelles bouillonnaient et nous invitaient a rêver avec leurs senteurs délicieuses et leur viandes fraîches, ou tu passait ma grande mère que dieu te bénisse au paradis, quand le jour d’el Aid tu roulais la foie autour de la graisse et tu la grillait sur le fourneau a charbon, la vapeur nous aveuglait la chaleur familiale nous choyait et nous attendons a la hâte nos bâtons de grillades, la graisse fondue sur les lèvres se sentait délicieuse avec le ver de thé et du pain, la voix de ma grande mère remplissait notre grenier d’amour et tendresse et s’envolait dans l’air comme un paradis perdu, ou sont passés ses souvenirs ? oh ! vie chiante d’aujourd’hui oh ! présent prison immuable, reviens a moi été d’autrefois, reviens une autrefois décennie des 90 s quand toute parole chaque rire chaque passant chaque ami chaque famille chaque crétin chaque pute ou trou de cul avaient un cœur grand qui bat et une couleur vermeille qui se dégage et se propage a chaque fois qu’il parle ! reviens une autrefois été ! je ne suis plus chez moi, je veux recommencer de zéro ! je veux devenir musulman ! je veux que ma grande mère la haut derrière le voile qui sépart les vivants et les morts soit ravie de moi, oh ! souvenirs grandiose en une taille de grain de sable ou souffle l’air joyeux de l’éternité je te rencontrai dans l’autre monde, je sais que la justice divine existe et que tous ces moments sont gravés a jamais dans le cœur du cosmos… … … … … … …
Oh ! beaux soirs des étés, oh ! brise tiède et douce comme un rêve de crépuscule dans une île, ou vous étés passés ? sensations et beaux souvenir de la première branlette, le premier amour, les baignades et les bronzages des premières vacances, les cheveux bouclés et les cuisses dorées des meufs, l’odeur poivrée de la mer et les bocadios de Tetouan, la bonne sensation du corps contre le corps et la drague innocente, les frimes des Casablancais et les voitures de la communauté marocaine qui vivaient en entranger, ou vous étés passés souvenirs innocents quand les temps étaient vastes comme les océans et simples comme le pain et le thé, ou sont passés ces temps quand on a découvert pour la première fois la chaîne d’Eros TV ! et on se branlaient les trois moi mon frére et mon cousin sur des films x de moins 16 ans, l’image analogique floue et colorée jaillissait par rouge et jaune sur les peaux roses des pornstars blondes et se sentaient sur ton pénis comme un moteur de l’eau, et les spermes coulaient par monts et vaux sur les toilettes et les dalles chauds de l’été, oh ! beaux soir d’été ! o ! souvenirs damnés ! ou sont passés ces souvenirs ou les gamelles bouillonnaient et nous invitaient a rêver avec leurs senteurs délicieuses et leur viandes fraîches, ou tu passait ma grande mère que dieu te bénisse au paradis, quand le jour d’el Aid tu roulais la foie autour de la graisse et tu la grillait sur le fourneau a charbon, la vapeur nous aveuglait la chaleur familiale nous choyait et nous attendons a la hâte nos bâtons de grillades, la graisse fondue sur les lèvres se sentait délicieuse avec le ver de thé et du pain, la voix de ma grande mère remplissait notre grenier d’amour et tendresse et s’envolait dans l’air comme un paradis perdu, ou sont passés ses souvenirs ? oh ! vie chiante d’aujourd’hui oh ! présent prison immuable, reviens a moi été d’autrefois, reviens une autrefois décennie des 90 s quand toute parole chaque rire chaque passant chaque ami chaque famille chaque crétin chaque pute ou trou de cul avaient un cœur grand qui bat et une couleur vermeille qui se dégage et se propage a chaque fois qu’il parle ! reviens une autrefois été ! je ne suis plus chez moi, je veux recommencer de zéro ! je veux devenir musulman ! je veux que ma grande mère la haut derrière le voile qui sépart les vivants et les morts soit ravie de moi, oh ! souvenirs grandiose en une taille de grain de sable ou souffle l’air joyeux de l’éternité je te rencontrai dans l’autre monde, je sais que la justice divine existe et que tous ces moments sont gravés a jamais dans le cœur du cosmos… … … … … … …
PostScriptum
un poète nostalgique attristé par le présent creuse dans sa mémoire et fait revivre le temps perdu
Poète Freudemocracy
Freudemocracy a publié sur le site 5 écrits. Freudemocracy est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du poète FreudemocracySyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Au Revoir
au=re=voir 3oh=beaux=soirs=des=é=tés=oh=bri=se=tiè=de=et=dou=ce=com=me=un=rê=ve=de=cré=pus=cu=le=dans=u=ne=î=le=ou=vous=é=tés=pas=sés=sen=sa=tions=et=beaux=sou=ve=nir=de=la=pre=miè=re=bran=let=te=le=pre=mier=a=mour=les=bai=gna=des=et=les=bron=za=ges=des=pre=miè=res=va=can=ces=les=che=veux=bou=clés=et=les=cuis=ses=do=rées=des=meuf=s=lo=deur=poi=vrée=de=la=mer=et=les=bo=ca=dios=de=te=tou=an=la=bon=ne=sen=sa=ti=on=du=corps=con=tre=le=corps=et=la=dra=gue=in=no=cen=te=les=fri=mes=des=ca=sa=blan=cais=et=les=voi=tu=res=de=la=com=mu=nau=té=ma=ro=cai=ne=qui=vi=vaient=en=en=tran=ger=ou=vous=é=tés=pas=sés=sou=ve=nirs=in=no=cents=quand=les=temps=é=taient=vas=tes=com=me=les=o=cé=ans=et=sim=ples=com=me=le=pain=et=le=thé=ou=sont=pas=sés=ces=temps=quand=on=a=dé=cou=vert=pour=la=pre=miè=re=fois=la=chaî=ne=de=ros=t=v=et=on=se=bran=laient=les=trois=moi=mon=fré=re=et=mon=cou=sin=sur=des=films=x=de=moins=sei=ze=ans=li=ma=ge=a=na=lo=gi=que=floue=et=co=lo=rée=jaillis=sait=par=rou=ge=et=jau=ne=sur=les=peaux=ro=ses=des=porns=tars=blon=des=et=se=sen=taient=sur=ton=pé=nis=com=me=un=mo=teur=de=leau=et=les=sper=mes=cou=laient=par=monts=et=vaux=sur=les=toi=let=tes=et=les=dal=les=chauds=de=lé=té=oh=beaux=soir=dé=té=o=sou=ve=nirs=dam=nés=ou=sont=pas=sés=ces=sou=ve=nirs=ou=les=ga=mel=les=bouillon=naient=et=nous=in=vi=taient=a=rê=ver=a=vec=leurs=sen=teurs=dé=li=cieu=ses=et=leur=vian=des=fraî=ches=ou=tu=pas=sait=ma=gran=de=mè=re=que=dieu=te=bé=nis=se=au=pa=ra=dis=quand=le=jour=del=aid=tu=rou=lais=la=foie=au=tour=de=la=grais=se=et=tu=la=grillait=sur=le=four=neau=a=char=bon=la=va=peur=nous=a=veu=glait=la=cha=leur=fa=mi=lia=le=nous=cho=yait=et=nous=at=ten=dons=a=la=hâ=te=nos=bâ=tons=de=grilla=des=la=grais=se=fon=due=sur=les=lè=vres=se=sen=tait=dé=li=cieu=se=a=vec=le=ver=de=thé=et=du=pain=la=voix=de=ma=gran=de=mè=re=rem=plis=sait=no=tre=gre=nier=da=mour=et=ten=dres=se=et=sen=vo=lait=dans=lair=com=me=un=pa=ra=dis=per=du=ou=sont=pas=sés=ses=sou=ve=nirs=oh=vie=chian=te=dau=jourd=hui=oh=pré=sent=pri=son=im=mua=ble=re=viens=a=moi=é=té=dau=tre=fois=re=viens=u=ne=au=tre=fois=dé=cen=nie=des=qua=tre=vingt=dix=s=quand=tou=te=pa=ro=le=cha=que=ri=re=cha=que=pas=sant=cha=que=a=mi=cha=que=fa=mil=le=cha=que=cré=tin=cha=que=pu=te=ou=trou=de=cul=a=vaient=un=cœur=grand=qui=bat=et=u=ne=cou=leur=ver=mei=lle=qui=se=dé=ga=ge=et=se=pro=pa=ge=a=cha=que=fois=quil=par=le=re=viens=u=ne=au=tre=fois=é=té=je=ne=suis=plus=chez=moi=je=veux=re=com=men=cer=de=zé=ro=je=veux=de=ve=nir=mu=sul=man=je=veux=que=ma=gran=de=mè=re=la=haut=der=riè=re=le=voi=le=qui=sé=part=les=vi=vants=et=les=morts=soit=ra=vie=de=moi=oh=sou=ve=nirs=gran=dio=se=en=u=ne=tail=le=de=grain=de=sa=ble=ou=souf=fle=lair=joy=eux=de=lé=ter=ni=té=je=te=ren=con=trai=dans=lau=tre=mon=de=je=sais=que=la=jus=ti=ce=di=vi=ne=exis=te=et=que=tous=ces=mo=ments=sont=gra=vés=a=ja=mais=dans=le=cœur=du=cos=mos 738
Phonétique : Au Revoir
o ʁəvwaʁɔ ! bo swaʁ dεz- ete, ɔ ! bʁizə tjεdə e dusə kɔmə œ̃ ʁεvə də kʁepyskylə dɑ̃z- ynə ilə, u vuz- ete pase ? sɑ̃sasjɔ̃z- e bo suvəniʁ də la pʁəmjεʁə bʁɑ̃lεtə, lə pʁəmje amuʁ, lε bεɲadəz- e lε bʁɔ̃zaʒə dε pʁəmjεʁə vakɑ̃sə, lε ʃəvø buklez- e lε kɥisə dɔʁe dε məf, lɔdœʁ pwavʁe də la mεʁ e lε bɔkadjo də tətuɑ̃, la bɔnə sɑ̃sasjɔ̃ dy kɔʁ kɔ̃tʁə lə kɔʁz- e la dʁaɡ inɔsɑ̃tə, lε fʁimə dε kazablɑ̃kεz- e lε vwatyʁə də la kɔmynote maʁɔkεnə ki vivε ɑ̃n- ɑ̃tʁɑ̃ʒe, u vuz- ete pase suvəniʁz- inɔsɑ̃ kɑ̃ lε tɑ̃z- etε vastə kɔmə lεz- ɔseɑ̃z- e sɛ̃plə kɔmə lə pɛ̃ e lə te, u sɔ̃ pase sε tɑ̃ kɑ̃t- ɔ̃n- a dekuvεʁ puʁ la pʁəmjεʁə fwa la ʃεnə dəʁo te ve ! e ɔ̃ sə bʁɑ̃lε lε tʁwa mwa mɔ̃ fʁeʁə e mɔ̃ kuzɛ̃ syʁ dε film iks də mwɛ̃ sεzə ɑ̃, limaʒə analɔʒikə flu e kɔlɔʁe ʒajisε paʁ ʁuʒə e ʒonə syʁ lε po ʁozə dε pɔʁnstaʁ blɔ̃dəz- e sə sɑ̃tε syʁ tɔ̃ peni kɔmə œ̃ mɔtœʁ də lo, e lε spεʁmə- kulε paʁ mɔ̃z- e vo syʁ lε twalεtəz- e lε dalə ʃo də lete, ɔ ! bo swaʁ dete ! o ! suvəniʁ damne ! u sɔ̃ pase sε suvəniʁz- u lε ɡamεllə bujɔnε e nuz- ɛ̃vitε a ʁεve avεk lœʁ sɑ̃tœʁ delisjøzəz- e lœʁ vjɑ̃də fʁεʃə, u ty pasε ma ɡʁɑ̃də mεʁə kə djø tə benisə o paʁadi, kɑ̃ lə ʒuʁ dεl ε ty ʁulε la fwa otuʁ də la ɡʁεsə e ty la ɡʁijε syʁ lə fuʁno a ʃaʁbɔ̃, la vapœʁ nuz- avøɡlε la ʃalœʁ familjalə nu ʃwajε e nuz- atɑ̃dɔ̃z- a la atə no batɔ̃ də ɡʁijadə, la ɡʁεsə fɔ̃dɥ syʁ lε lεvʁə- sə sɑ̃tε delisjøzə avεk lə vεʁ də te e dy pɛ̃, la vwa də ma ɡʁɑ̃də mεʁə ʁɑ̃plisε nɔtʁə ɡʁənje damuʁ e tɑ̃dʁεsə e sɑ̃vɔlε dɑ̃ lεʁ kɔmə œ̃ paʁadi pεʁdy, u sɔ̃ pase sε suvəniʁ ? ɔ ! vi ʃjɑ̃tə doʒuʁdɥi ɔ ! pʁezɑ̃ pʁizɔ̃ imɥablə, ʁəvjɛ̃z- a mwa ete dotʁəfwa, ʁəvjɛ̃z- ynə otʁəfwa desεni dε katʁə vɛ̃- di- εs kɑ̃ tutə paʁɔlə ʃakə ʁiʁə ʃakə pasɑ̃ ʃakə ami ʃakə famijə ʃakə kʁetɛ̃ ʃakə pytə u tʁu də kyl avε œ̃ kœʁ ɡʁɑ̃ ki ba e ynə kulœʁ vεʁmεjə ki sə deɡaʒə e sə pʁɔpaʒə a ʃakə fwa kil paʁlə ! ʁəvjɛ̃z- ynə otʁəfwaz- ete ! ʒə nə sɥi plys ʃe mwa, ʒə vø ʁəkɔmɑ̃se də zeʁo ! ʒə vø dəvəniʁ myzylmɑ̃ ! ʒə vø kə ma ɡʁɑ̃də mεʁə la-o dəʁjεʁə lə vwalə ki sepaʁ lε vivɑ̃z- e lε mɔʁ swa ʁavi də mwa, ɔ ! suvəniʁ ɡʁɑ̃djozə ɑ̃n- ynə tajə də ɡʁɛ̃ də sablə u suflə lεʁ ʒwajø də letεʁnite ʒə tə ʁɑ̃kɔ̃tʁε dɑ̃ lotʁə mɔ̃də, ʒə sε kə la ʒystisə divinə εɡzistə e kə tus sε mɔmɑ̃ sɔ̃ ɡʁavez- a ʒamε dɑ̃ lə kœʁ dy kɔsmos…
Syllabes Phonétique : Au Revoir
o=ʁə=vwaʁ 3ɔ=bo=swaʁ=dε=ze=te=ɔ=bʁi=zə=tjε=də=e=du=sə=kɔ=mə=œ̃=ʁε=və=də=kʁe=pys=ky=lə=dɑ̃=zy=nə=i=lə=u=vu=ze=te=pa=se=sɑ̃=sa=sjɔ̃=ze=bo=su=və=niʁ=də=la=pʁə=mjε=ʁə=bʁɑ̃=lε=tə=lə=pʁə=mje=a=muʁ=lε=bε=ɲa=də=ze=lε=bʁɔ̃=za=ʒə=dε=pʁə=mjε=ʁə=va=kɑ̃=sə=lε=ʃə=vø=bu=kle=ze=lε=kɥi=sə=dɔ=ʁe=dε=məf=lɔ=dœʁ=pwa=vʁe=də=la=mεʁ=e=lε=bɔ=ka=djo=də=tə=tu=ɑ̃=la=bɔ=nə=sɑ̃=sa=sjɔ̃=dy=kɔʁ=kɔ̃=tʁə=lə=kɔʁ=ze=la=dʁaɡ=i=nɔ=sɑ̃=tə=lε=fʁi=mə=dε=ka=za=blɑ̃=kε=ze=lε=vwa=ty=ʁə=də=la=kɔ=my=no=te=ma=ʁɔ=kε=nə=ki=vi=vε=ɑ̃=nɑ̃=tʁɑ̃=ʒe=u=vu=ze=te=pa=se=su=və=niʁ=zi=nɔ=sɑ̃=kɑ̃=lε=tɑ̃=ze=tε=vas=tə=kɔ=mə=lε=zɔ=se=ɑ̃=ze=sɛ̃=plə=kɔ=mə=lə=pɛ̃=e=lə=te=u=sɔ̃=pa=se=sε=tɑ̃=kɑ̃=tɔ̃=na=de=ku=vεʁ=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=la=ʃε=nə=də=ʁo=te=ve=e=ɔ̃=sə=bʁɑ̃=lε=lε=tʁwa=mwa=mɔ̃=fʁe=ʁə=e=mɔ̃=ku=zɛ̃=syʁ=dε=film=iks=də=mwɛ̃=sε=zə=ɑ̃=li=ma=ʒə=a=na=lɔ=ʒi=kə=flu=e=kɔ=lɔ=ʁe=ʒa=ji=sε=paʁ=ʁu=ʒə=e=ʒo=nə=syʁ=lε=po=ʁo=zə=dε=pɔʁ=nstʁ=blɔ̃=də=ze=sə=sɑ̃=tε=syʁ=tɔ̃=pe=ni=kɔ=mə=œ̃=mɔ=tœʁ=də=lo=e=lε=spεʁ=mə=ku=lε=paʁ=mɔ̃=ze=vo=syʁ=lε=twa=lε=tə=ze=lε=da=lə=ʃo=də=le=te=ɔ=bo=swaʁ=de=te=o=su=və=niʁ=dam=ne=u=sɔ̃=pa=se=sε=su=və=niʁ=zu=lε=ɡa=mεl=lə=bu=jɔ=nε=e=nu=zɛ̃=vi=tε=a=ʁε=ve=a=vεk=lœʁ=sɑ̃=tœʁ=de=li=sjø=zə=ze=lœʁ=vjɑ̃=də=fʁε=ʃə=u=ty=pa=sε=ma=ɡʁɑ̃=də=mε=ʁə=kə=djø=tə=be=ni=sə=o=pa=ʁa=di=kɑ̃=lə=ʒuʁ=dεl=ε=ty=ʁu=lε=la=fwa=o=tuʁ=də=la=ɡʁε=sə=e=ty=la=ɡʁi=jε=syʁ=lə=fuʁ=no=a=ʃaʁ=bɔ̃=la=va=pœʁ=nu=za=vø=ɡlε=la=ʃa=lœʁ=fa=mi=lja=lə=nu=ʃwa=jε=e=nu=za=tɑ̃=dɔ̃=za=la=a=tə=no=ba=tɔ̃=də=ɡʁi=ja=də=la=ɡʁε=sə=fɔ̃dɥ=syʁ=lε=lε=vʁə=sə=sɑ̃=tε=de=li=sjø=zə=a=vεk=lə=vεʁ=də=te=e=dy=pɛ̃=la=vwa=də=ma=ɡʁɑ̃=də=mε=ʁə=ʁɑ̃=pli=sε=nɔ=tʁə=ɡʁə=nje=da=muʁ=e=tɑ̃=dʁε=sə=e=sɑ̃=vɔ=lε=dɑ̃=lεʁ=kɔ=mə=œ̃=pa=ʁa=di=pεʁ=dy=u=sɔ̃=pa=se=sε=su=və=niʁ=ɔ=vi=ʃjɑ̃=tə=do=ʒuʁ=dɥi=ɔ=pʁe=zɑ̃=pʁi=zɔ̃=im=ɥa=blə=ʁə=vjɛ̃=za=mwa=e=te=do=tʁə=fwa=ʁə=vjɛ̃=zy=nə=o=tʁə=fwa=de=sε=ni=dε=ka=tʁə=vɛ̃=di=ε=sə=kɑ̃=tu=tə=pa=ʁɔ=lə=ʃa=kə=ʁi=ʁə=ʃa=kə=pa=sɑ̃=ʃa=kə=a=mi=ʃa=kə=fa=mi=jə=ʃa=kə=kʁe=tɛ̃=ʃa=kə=py=tə=u=tʁu=də=kyl=a=vε=œ̃=kœʁ=ɡʁɑ̃=ki=ba=e=y=nə=ku=lœʁ=vεʁ=mε=jə=ki=sə=de=ɡa=ʒə=e=sə=pʁɔ=pa=ʒə=a=ʃa=kə=fwa=kil=paʁ=lə=ʁə=vjɛ̃=zy=nə=o=tʁə=fwa=ze=te=ʒə=nə=sɥi=plys=ʃe=mwa=ʒə=vø=ʁə=kɔ=mɑ̃=se=də=ze=ʁo=ʒə=vø=də=və=niʁ=my=zyl=mɑ̃=ʒə=vø=kə=ma=ɡʁɑ̃=də=mε=ʁə=la-o=də=ʁjε=ʁə=lə=vwa=lə=ki=se=paʁ=lε=vi=vɑ̃=ze=lε=mɔʁ=swa=ʁa=vi=də=mwa=ɔ=su=və=niʁ=ɡʁɑ̃=djo=zə=ɑ̃=ny=nə=ta=jə=də=ɡʁɛ̃=də=sa=blə=u=su=flə=lεʁ=ʒwa=jø=də=le=tεʁ=ni=te=ʒə=tə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁε=dɑ̃=lo=tʁə=mɔ̃=də=ʒə=sε=kə=la=ʒys=ti=sə=di=vi=nə=εɡ=zis=tə=e=kə=tus=sε=mɔ=mɑ̃=sɔ̃=ɡʁa=ve=za=ʒa=mε=dɑ̃=lə=kœʁ=dy=kɔs=mos 740
Récompense
Commentaires Sur La Poesie

04/06/2024 05:55Zeugme
c’est dans le réalisme de l’évocation qu’apparait quelque fois l’imaginaire de l’invocation...
merci pour cette puissante vague...

04/06/2024 13:49Printemps
Comme une vraie recherche du temps perdu, où toutes les évocations affectives et sensorielles de l’aube de la vie donnant au poème un statut universel. Un coup de cœur poétique, Freudemocracy!
05/06/2024 09:20Anya
Un écrit trés cash qui pourrait choquer, plein d’amour de tendresse et de sensualité qui osé dire les choses avec honnêteté, sans tabous avec beaucoup de talent, un souffle de nostalgie traverse ce texte qui force mon admiration
Prose Absurde
Du 04/06/2024 02:34
L'écrit contient 478 mots qui sont répartis dans 2 strophes. Toutes les strophes sont composés de 1 vers.