Prose:Apparition Et Disparition
A Propos de cette Prose
le poète est un fantôme
La Prose
Apparition et disparition
Je ne sais pas ou me mène cette barque de bois aux fissures sur les bancs de nage, les clapotements de l’eau flotte des fissures monte en haut et inonde la barque, je suis épuisé, je ne peux plus ramer sur cette mer houleuse, il fallait que j’arrête, il fallait que tout s’arrête !
Arrêtez moi gendarmes de la mer, fantômes de la mort, venez en aide a ce pécheur de poissons en voie de disparition, disparition ! apparition !
Je ne sais pas ou me mène cette barque, je lève mes yeux vers l’horizon, et je m’évanouis, la vue de la mer qui embrasse le ciel est une conspiration ! apparition ! disparition ! c’est un jeu a cache cache, le corps apparaît quand l’âme se faufile a pas de colombe par l’anus, l’âme disparaît quand le corps se jette aux luettes dorées des bouches des crocodiles, apparition ! disparition ! le pécheur veut disparaître et apparaître sous une autre silhouette effacée ternie transparente seule la nuit quand la lumière du fanal éclaire avec la lune gigantesque l’eau brune ridées par les fornications multiples des fantômes… … … … … … … … … … … … .
Apparition ! disparition ! le pécheur revient a la terre, sur la rive il boite, il a oublié la marche lente des humains, un poisson en voie de disparition sur son épaule attise les vendeurs, ils veulent négocier le prix… … … … … . . le pécheur est comme le colonel kilgore, il ne sait pas quoi faire aux moments tristes de la paix, il rentre dans sa chambre, il prie Dieu : que les fantômes de la mer conspirent a ma disparition, qu’on me jette aux bouches des crocodiles, apparition ! disparition ! mon Dieu ! j’en ai marre de ce jeu a cache cache, j’apparait sur terre et je disparaît sur la mer, apparaître est une honte a un pécheur ! que les fantômes de la mer conspirent a ma disparition, maudit ce pécheur qui revient a la terre après une pêche précieuse, que je disparaisse sur ma barque aux fissures, la marche des humains est lente, un pécheur qui marche sur terre est comme un poisson qui se met debout autour des prédateurs, apparition ! disparition ! que je meure oh ! mer ma patrie ! oh ! terre mon exile… … … … … … … …
Je ne sais pas ou me mène cette barque de bois aux fissures sur les bancs de nage, les clapotements de l’eau flotte des fissures monte en haut et inonde la barque, je suis épuisé, je ne peux plus ramer sur cette mer houleuse, il fallait que j’arrête, il fallait que tout s’arrête !
Arrêtez moi gendarmes de la mer, fantômes de la mort, venez en aide a ce pécheur de poissons en voie de disparition, disparition ! apparition !
Je ne sais pas ou me mène cette barque, je lève mes yeux vers l’horizon, et je m’évanouis, la vue de la mer qui embrasse le ciel est une conspiration ! apparition ! disparition ! c’est un jeu a cache cache, le corps apparaît quand l’âme se faufile a pas de colombe par l’anus, l’âme disparaît quand le corps se jette aux luettes dorées des bouches des crocodiles, apparition ! disparition ! le pécheur veut disparaître et apparaître sous une autre silhouette effacée ternie transparente seule la nuit quand la lumière du fanal éclaire avec la lune gigantesque l’eau brune ridées par les fornications multiples des fantômes… … … … … … … … … … … … .
Apparition ! disparition ! le pécheur revient a la terre, sur la rive il boite, il a oublié la marche lente des humains, un poisson en voie de disparition sur son épaule attise les vendeurs, ils veulent négocier le prix… … … … … . . le pécheur est comme le colonel kilgore, il ne sait pas quoi faire aux moments tristes de la paix, il rentre dans sa chambre, il prie Dieu : que les fantômes de la mer conspirent a ma disparition, qu’on me jette aux bouches des crocodiles, apparition ! disparition ! mon Dieu ! j’en ai marre de ce jeu a cache cache, j’apparait sur terre et je disparaît sur la mer, apparaître est une honte a un pécheur ! que les fantômes de la mer conspirent a ma disparition, maudit ce pécheur qui revient a la terre après une pêche précieuse, que je disparaisse sur ma barque aux fissures, la marche des humains est lente, un pécheur qui marche sur terre est comme un poisson qui se met debout autour des prédateurs, apparition ! disparition ! que je meure oh ! mer ma patrie ! oh ! terre mon exile… … … … … … … …
Poète Freudemocracy
Freudemocracy a publié sur le site 5 écrits. Freudemocracy est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du poète FreudemocracySyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Apparition Et Disparition
ap=pa=ri=ti=on=et=dis=pa=ri=tion 10je=ne=sais=pas=ou=me=mène=cette=bar=que=de=bois=aux=fis=sures=sur=les=bancs=de=na=ge=les=cla=po=te=ments=de=leau=flot=te=des=fis=su=res=mon=teen=haut=et=i=non=de=la=bar=que=je=suis=é=pui=sé=je=ne=peux=plus=ra=mer=sur=cet=te=mer=hou=leu=se=il=fal=lait=que=jar=rê=te=il=fal=lait=que=tout=sar=rête 76
ar=rê=tez=moi=gen=dar=mes=de=la=mer=fan=tômes=de=la=mort=ve=nez=en=ai=dea=ce=pé=cheur=de=pois=sons=en=voie=de=dis=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=ap=pa=ri=tion 41
je=ne=sais=pas=ou=me=mène=cette=bar=que=je=lève=mes=yeux=vers=lho=ri=zon=et=je=mé=va=nouis=la=vue=de=la=mer=qui=em=bras=se=le=ciel=est=u=ne=cons=pi=ra=tion=ap=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=cest=un=jeu=a=ca=che=ca=che=le=corps=ap=pa=raît=quand=lâ=me=se=fau=fi=lea=pas=de=co=lom=be=par=la=nus=lâ=me=dis=pa=raît=quand=le=corps=se=jet=teaux=luet=tes=do=rées=des=bou=ches=des=cro=co=di=les=ap=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=le=pé=cheur=veut=dis=pa=raî=treet=ap=pa=raî=tre=sous=u=ne=au=tre=silhouet=te=ef=fa=cée=ter=nie=trans=pa=ren=te=seu=le=la=nuit=quand=la=lu=miè=re=du=fa=nal=é=clai=re=a=vec=la=lu=ne=gi=gan=tes=que=leau=bru=ne=ri=dées=par=les=for=ni=ca=tions=mul=ti=ples=des=fan=tômes 177
ap=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=le=pé=cheur=re=vient=a=la=terre=sur=la=rive=il=boite=il=a=ou=blié=la=mar=che=len=te=des=hu=mains=un=pois=son=en=voie=de=dis=pa=ri=tion=sur=son=é=pau=leat=ti=se=les=ven=deurs=ils=veu=lent=né=go=cier=le=prix=le=pé=cheur=est=com=me=le=co=lo=nel=kil=go=re=il=ne=sait=pas=quoi=fai=reaux=mo=ments=tris=tes=de=la=paix=il=ren=tre=dans=sa=cham=bre=il=prie=dieu=que=les=fan=tô=mes=de=la=mer=cons=pi=rent=a=ma=dis=pa=ri=tion=quon=me=jet=teaux=bou=ches=des=cro=co=di=les=ap=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=mon=dieu=jen=ai=mar=re=de=ce=jeu=a=ca=che=ca=che=jap=pa=rait=sur=ter=re=et=je=dis=pa=raît=sur=la=mer=ap=pa=raî=tre=est=u=ne=hon=te=a=un=pé=cheur=que=les=fan=tô=mes=de=la=mer=cons=pi=rent=a=ma=dis=pa=ri=tion=mau=dit=ce=pé=cheur=qui=re=vient=a=la=ter=re=a=près=u=ne=pê=che=pré=cieu=se=que=je=dis=pa=rais=se=sur=ma=bar=que=aux=fis=su=res=la=mar=che=des=hu=mains=est=len=te=un=pé=cheur=qui=mar=che=sur=ter=re=est=com=me=un=pois=son=qui=se=met=de=bout=au=tour=des=pré=da=teurs=ap=pa=ri=tion=dis=pa=ri=tion=que=je=meu=re=oh=mer=ma=pa=trie=oh=ter=re=mon=exile 284
Phonétique : Apparition Et Disparition
apaʁisjɔ̃ e dispaʁisjɔ̃ʒə nə sε pa u mə mεnə sεtə baʁkə də bwaz- o fisyʁə syʁ lε bɑ̃ də naʒə, lε klapɔtəmɑ̃ də lo flɔtə dε fisyʁə mɔ̃tə ɑ̃-o e inɔ̃də la baʁkə, ʒə sɥiz- epɥize, ʒə nə pø plys ʁame syʁ sεtə mεʁ uløzə, il falε kə ʒaʁεtə, il falε kə tu saʁεtə !
aʁεte mwa ʒɑ̃daʁmə- də la mεʁ, fɑ̃tomə də la mɔʁ, vənez- ɑ̃n- εdə a sə peʃœʁ də pwasɔ̃z- ɑ̃ vwa də dispaʁisjɔ̃, dispaʁisjɔ̃ ! apaʁisjɔ̃ !
ʒə nə sε pa u mə mεnə sεtə baʁkə, ʒə lεvə mεz- iø vεʁ lɔʁizɔ̃, e ʒə mevanui, la vɥ də la mεʁ ki ɑ̃bʁasə lə sjεl εt- ynə kɔ̃spiʁasjɔ̃ ! apaʁisjɔ̃ ! dispaʁisjɔ̃ ! sεt- œ̃ ʒø a kaʃə kaʃə, lə kɔʁz- apaʁε kɑ̃ lamə sə fofilə a pa də kɔlɔ̃bə paʁ lanys, lamə dispaʁε kɑ̃ lə kɔʁ sə ʒεtə o lɥεtə dɔʁe dε buʃə dε kʁɔkɔdilə, apaʁisjɔ̃ ! dispaʁisjɔ̃ ! lə peʃœʁ vø dispaʁεtʁə e apaʁεtʁə suz- ynə otʁə siluεtə efase tεʁni tʁɑ̃spaʁɑ̃tə sələ la nɥi kɑ̃ la lymjεʁə dy fanal eklεʁə avεk la lynə ʒiɡɑ̃tεskə lo bʁynə ʁide paʁ lε fɔʁnikasjɔ̃ myltiplə dε fɑ̃tomə…
apaʁisjɔ̃ ! dispaʁisjɔ̃ ! lə peʃœʁ ʁəvjɛ̃ a la teʁə, syʁ la ʁivə il bwatə, il a ublje la maʁʃə lɑ̃tə dεz- ymɛ̃, œ̃ pwasɔ̃ ɑ̃ vwa də dispaʁisjɔ̃ syʁ sɔ̃n- epolə atizə lε vɑ̃dœʁ, il vəle neɡɔsje lə pʁi… lə peʃœʁ ε kɔmə lə kɔlɔnεl kilɡɔʁə, il nə sε pa kwa fεʁə o mɔmɑ̃ tʁistə də la pε, il ʁɑ̃tʁə dɑ̃ sa ʃɑ̃bʁə, il pʁi djø : kə lε fɑ̃tomə də la mεʁ kɔ̃spiʁe a ma dispaʁisjɔ̃, kɔ̃ mə ʒεtə o buʃə dε kʁɔkɔdilə, apaʁisjɔ̃ ! dispaʁisjɔ̃ ! mɔ̃ djø ! ʒɑ̃n- ε maʁə də sə ʒø a kaʃə kaʃə, ʒapaʁε syʁ teʁə e ʒə dispaʁε syʁ la mεʁ, apaʁεtʁə εt- ynə ɔ̃tə a œ̃ peʃœʁ ! kə lε fɑ̃tomə də la mεʁ kɔ̃spiʁe a ma dispaʁisjɔ̃, modi sə peʃœʁ ki ʁəvjɛ̃ a la teʁə apʁεz- ynə pεʃə pʁesjøzə, kə ʒə dispaʁεsə syʁ ma baʁkə o fisyʁə, la maʁʃə dεz- ymɛ̃z- ε lɑ̃tə, œ̃ peʃœʁ ki maʁʃə syʁ teʁə ε kɔmə œ̃ pwasɔ̃ ki sə mεt dəbu otuʁ dε pʁedatœʁ, apaʁisjɔ̃ ! dispaʁisjɔ̃ ! kə ʒə məʁə ɔ ! mεʁ ma patʁi ! ɔ ! teʁə mɔ̃n- εɡzilə…
Syllabes Phonétique : Apparition Et Disparition
a=pa=ʁi=sjɔ̃=e=dis=pa=ʁi=sj=ɔ̃ 10ʒə=nə=sεpaumə=mε=nə=sε=tə=baʁ=kə=də=bwa=zo=fi=sy=ʁə=syʁ=lε=bɑ̃=də=na=ʒə=lε=kla=pɔ=tə=mɑ̃=də=lo=flɔ=tə=dε=fi=sy=ʁə=mɔ̃=təɑ̃-o=e=i=nɔ̃=də=la=baʁ=kə=ʒə=sɥi=zep=ɥi=ze=ʒə=nə=pø=plys=ʁa=me=syʁ=sε=tə=mεʁ=u=lø=zə=il=fa=lε=kə=ʒa=ʁε=tə=il=fa=lε=kə=tusaʁεtə 74
a=ʁε=te=mwaʒɑ̃daʁmə=də=la=mεʁ=fɑ̃=to=mə=də=la=mɔʁ=və=ne=zɑ̃=nε=dəa=sə=pe=ʃœʁ=də=pwa=sɔ̃=zɑ̃=vwa=də=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=a=pa=ʁi=sjɔ̃ 39
ʒə=nə=sεpaumə=mε=nə=sε=tə=baʁ=kə=ʒə=lε=və=mε=ziø=vεʁ=lɔ=ʁi=zɔ̃=e=ʒə=me=va=nui=la=vɥ=də=la=mεʁ=ki=ɑ̃=bʁa=sə=lə=sjεl=ε=ty=nə=kɔ̃s=pi=ʁa=sjɔ̃=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=sε=tœ̃=ʒø=a=ka=ʃə=ka=ʃə=lə=kɔʁ=za=pa=ʁε=kɑ̃=la=mə=sə=fo=fi=ləa=pa=də=kɔ=lɔ̃=bə=paʁ=la=nys=la=mə=dis=pa=ʁε=kɑ̃=lə=kɔʁ=sə=ʒε=təo=lɥε=tə=dɔ=ʁe=dε=bu=ʃə=dε=kʁɔ=kɔ=di=lə=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=lə=pe=ʃœʁ=vø=dis=pa=ʁε=tʁəe=a=pa=ʁε=tʁə=su=zy=nə=o=tʁə=si=lu=ε=tə=e=fa=se=tεʁ=ni=tʁɑ̃s=pa=ʁɑ̃=tə=sə=lə=la=nɥi=kɑ̃=la=ly=mjε=ʁə=dy=fa=nal=e=klε=ʁə=a=vεk=la=ly=nə=ʒi=ɡɑ̃=tεs=kə=lo=bʁy=nə=ʁi=de=paʁ=lε=fɔʁ=ni=ka=sjɔ̃=myl=ti=plə=dεfɑ̃tomə 177
a=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=lə=pe=ʃœʁ=ʁə=vjɛ̃=a=la=te=ʁə=syʁ=laʁivə=il=bwatə=il=a=u=blje=la=maʁ=ʃə=lɑ̃=tə=dε=zy=mɛ̃=œ̃=pwa=sɔ̃=ɑ̃=vwa=də=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=syʁ=sɔ̃=ne=po=ləa=ti=zə=lε=vɑ̃=dœʁ=il=və=le=ne=ɡɔ=sje=lə=pʁi=lə=pe=ʃœʁ=ε=kɔ=mə=lə=kɔ=lɔ=nεl=kil=ɡɔ=ʁə=il=nə=sε=pa=kwa=fε=ʁəo=mɔ=mɑ̃=tʁis=tə=də=la=pε=il=ʁɑ̃=tʁə=dɑ̃=sa=ʃɑ̃=bʁə=il=pʁi=djø=kə=lε=fɑ̃=to=mə=də=la=mεʁ=kɔ̃s=pi=ʁe=a=ma=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=kɔ̃=mə=ʒε=təo=bu=ʃə=dε=kʁɔ=kɔ=di=lə=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=mɔ̃=djø=ʒɑ̃=nε=ma=ʁə=də=sə=ʒø=a=ka=ʃə=ka=ʃə=ʒa=pa=ʁε=syʁ=te=ʁə=e=ʒə=dis=pa=ʁε=syʁ=la=mεʁ=a=pa=ʁε=tʁə=ε=ty=nə=ɔ̃=tə=a=œ̃=pe=ʃœʁ=kə=lε=fɑ̃=to=mə=də=la=mεʁ=kɔ̃s=pi=ʁe=a=ma=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=mo=di=sə=pe=ʃœʁ=ki=ʁə=vjɛ̃=a=la=te=ʁə=a=pʁε=zy=nə=pε=ʃə=pʁe=sjø=zə=kə=ʒə=dis=pa=ʁε=sə=syʁ=ma=baʁ=kə=o=fi=sy=ʁə=la=maʁ=ʃə=dε=zy=mɛ̃=zε=lɑ̃=tə=œ̃=pe=ʃœʁ=ki=maʁ=ʃə=syʁ=te=ʁə=ε=kɔ=mə=œ̃=pwa=sɔ̃=ki=sə=mεt=də=bu=o=tuʁ=dε=pʁe=da=tœʁ=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=kə=ʒə=mə=ʁə=ɔ=mεʁ=ma=pa=tʁi=ɔ=te=ʁə=mɔ̃=nεɡ=zilə 285
Récompense
Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Prose Absurde
Du 30/06/2024 02:48
L'écrit contient 372 mots qui sont répartis dans 2 strophes.