Poème:Etoile Du Matin
Le Poème
Nolwenn, ton nom jaillit comme un rai de lumière
Blanche est ta couleur et elle te sied à merveille
Illumine ton sourire de Vénus en sommeil
Et t’habille sans pudeur d’une aura de mystère
Tu contemple le monde à travers deux étoiles
Qui ont brillés dans mon cœur jusqu’à l’enflammer
Gravant dans mon âme la saveur de tes baisers
Comme un jour de grand vent où l’on hisse la grand voile
Mais ce n’était qu’un rêve, Nolwenn, une lueur dans la nuit
Il n’y a plus dans mon cœur que deux braises malades
Qui s’éteignent en sanglotant sous une pluie fade
Il n’y a plus dans mon âme que l’aigreur de l’ennui
Je lève les yeux vers le ciel et fouille l’infini
Pour inventer les mots qui décriront le vide
Qui m’oppresse, m’aspire et me laisse livide
S’insinue dans mon être et me crie : C’est fini !
Je ne partagerai plus tes joies et tes peines
Je ne sentirai plus la douceur de ta peau
Je ne décoifferai plus tes cheveux en flambeau
Je ne goûterai plus le parfum de ton haleine
Mon lit n’est plus qu’une coquille vide sans chaleur
Où je m’égare à la recherche d’un petit pied froid
Qui par magie mettait tous mes sens en émois
Petit animal farouche qui faisait mon bonheur
Mes mains ont appris à dessiner sans faillir
Les courbes de ton corps aux contours voluptueux
A flâner à dessein autour d’un téton malicieux
A se rendre esclaves de tes moindres désirs
Mon corps te réclame et je ne sais que lui dire
Il te cherche en vain quand vient l’heure de rêver
Et se fait tout petit quand vient l’heure de partir
Je ne sais comment lui dire qu’il faut t’oublier
Car il faut t’oublier sans l’ombre d’un espoir
Oublier un futur qui n’a pas existé
Oublier ou plier pour ne pas se briser
Oublier les mots que tu me susurraient le soir
Nous laisserons donc orphelin un petit Killian
Né dans les limbes d’un amour incertain
Qui ne saura jamais quel était son destin
Hormis d’éclairer mes pas d’une lueur diaphane
Notre amour était comme le monde qui l’a vu vivre
Imparfait, compliqué et pourtant merveilleux
Comme une rose cruelle au parfum langoureux
Une liqueur si subtile qui de loin nous enivre
C’était un amour pur et sincère comme toi
Même si tu dis que l’amour n’est pas éternel
Il remonte mes veines comme une lampée de miel
Tel Sisyphe jusqu’au puit de mon cœur maladroit
Amour si fragile, brisé sur l’écueil de tes doutes
Emporté au loin par le torrent de mes larmes
Où plonge les racines assoiffées de ton charme
Naturel, sans ambage, qui avive ma déroute
Ainsi donc au revoir ma douce, mon tendre amour
Si fragile, éclatante et par moment si dure
Comme un diamant dans un écrin de velours
Le vent tourne et de nouveau gonfle ma voilure
Je ne regrette rien de cette douce aventure
Mais je ne serai pas ton seigneur de Bignan
Tu peux garder ta tête, je ferai bonne figure
En gardant une amie, moi qui fut ton amant
Je n’ai pas su t’aimer et faire de toi une reine
En te faisant maman d’un petit chérubin
Tu resteras pour moi mon Etoile du matin
A jamais dans mon cœur tendre et douce Nolwenn
Blanche est ta couleur et elle te sied à merveille
Illumine ton sourire de Vénus en sommeil
Et t’habille sans pudeur d’une aura de mystère
Tu contemple le monde à travers deux étoiles
Qui ont brillés dans mon cœur jusqu’à l’enflammer
Gravant dans mon âme la saveur de tes baisers
Comme un jour de grand vent où l’on hisse la grand voile
Mais ce n’était qu’un rêve, Nolwenn, une lueur dans la nuit
Il n’y a plus dans mon cœur que deux braises malades
Qui s’éteignent en sanglotant sous une pluie fade
Il n’y a plus dans mon âme que l’aigreur de l’ennui
Je lève les yeux vers le ciel et fouille l’infini
Pour inventer les mots qui décriront le vide
Qui m’oppresse, m’aspire et me laisse livide
S’insinue dans mon être et me crie : C’est fini !
Je ne partagerai plus tes joies et tes peines
Je ne sentirai plus la douceur de ta peau
Je ne décoifferai plus tes cheveux en flambeau
Je ne goûterai plus le parfum de ton haleine
Mon lit n’est plus qu’une coquille vide sans chaleur
Où je m’égare à la recherche d’un petit pied froid
Qui par magie mettait tous mes sens en émois
Petit animal farouche qui faisait mon bonheur
Mes mains ont appris à dessiner sans faillir
Les courbes de ton corps aux contours voluptueux
A flâner à dessein autour d’un téton malicieux
A se rendre esclaves de tes moindres désirs
Mon corps te réclame et je ne sais que lui dire
Il te cherche en vain quand vient l’heure de rêver
Et se fait tout petit quand vient l’heure de partir
Je ne sais comment lui dire qu’il faut t’oublier
Car il faut t’oublier sans l’ombre d’un espoir
Oublier un futur qui n’a pas existé
Oublier ou plier pour ne pas se briser
Oublier les mots que tu me susurraient le soir
Nous laisserons donc orphelin un petit Killian
Né dans les limbes d’un amour incertain
Qui ne saura jamais quel était son destin
Hormis d’éclairer mes pas d’une lueur diaphane
Notre amour était comme le monde qui l’a vu vivre
Imparfait, compliqué et pourtant merveilleux
Comme une rose cruelle au parfum langoureux
Une liqueur si subtile qui de loin nous enivre
C’était un amour pur et sincère comme toi
Même si tu dis que l’amour n’est pas éternel
Il remonte mes veines comme une lampée de miel
Tel Sisyphe jusqu’au puit de mon cœur maladroit
Amour si fragile, brisé sur l’écueil de tes doutes
Emporté au loin par le torrent de mes larmes
Où plonge les racines assoiffées de ton charme
Naturel, sans ambage, qui avive ma déroute
Ainsi donc au revoir ma douce, mon tendre amour
Si fragile, éclatante et par moment si dure
Comme un diamant dans un écrin de velours
Le vent tourne et de nouveau gonfle ma voilure
Je ne regrette rien de cette douce aventure
Mais je ne serai pas ton seigneur de Bignan
Tu peux garder ta tête, je ferai bonne figure
En gardant une amie, moi qui fut ton amant
Je n’ai pas su t’aimer et faire de toi une reine
En te faisant maman d’un petit chérubin
Tu resteras pour moi mon Etoile du matin
A jamais dans mon cœur tendre et douce Nolwenn
PostScriptum
Quand on aime, on se croit seul au monde, et on aime çà. Après une rupture, on est seul au monde, et on n’aime pas çà. Je ne suis pas poète, mais j’ai trouvé sur ce site des choses très belles qui m’ont donné envie de prendre la plume. A l’origine, ce dev
Poète Gaald'ys
Gaald'ys a publié sur le site 1 écrit. Gaald'ys est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète Gaald'ysSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Etoile Du Matin
nol=wenn=ton=nom=jaillit=com=me=un=rai=de=lu=mière 12blanche=est=ta=cou=leur=et=elle=te=sied=à=mer=veille 12
illu=mi=ne=ton=sou=rire=de=vé=nus=en=som=meil 12
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il=ny=a=plus=dans=mon=â=me=que=lai=greur=de=len=nui 14
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pour=in=ven=ter=les=mots=qui=dé=cri=ront=le=vide 12
qui=mop=pres=se=mas=pire=et=me=lais=se=li=vide 12
sin=si=nue=dans=mon=être=et=me=crie=cest=fi=ni 12
je=ne=par=ta=ge=rai=plus=tes=joies=et=tes=peines 12
je=ne=sen=ti=rai=plus=la=dou=ceur=de=ta=peau 12
je=ne=dé=coif=fe=rai=plus=tes=che=veux=en=flam=beau 13
je=ne=goû=te=rai=plus=le=par=fum=de=ton=ha=leine 13
mon=lit=nest=plus=quune=co=quille=vi=de=sans=cha=leur 12
où=je=mé=gareà=la=re=cher=che=dun=pe=tit=pied=froid 13
qui=par=ma=gie=met=tait=tous=mes=sens=en=é=mois 12
pe=tit=a=ni=mal=fa=rouche=qui=fai=sait=mon=bon=heur 13
mes=mains=ont=ap=pris=à=des=si=ner=sans=fail=lir 12
les=cour=bes=de=ton=corps=aux=con=tours=vo=lup=tueux 12
a=flâ=ner=à=des=sein=au=tour=dun=té=ton=ma=li=cieux 14
a=se=ren=dre=es=claves=de=tes=moin=dres=dé=sirs 12
mon=corps=te=ré=clame=et=je=ne=sais=que=lui=dire 12
il=te=cherche=en=vain=quand=vient=lheu=re=de=rê=ver 12
et=se=fait=tout=pe=tit=quand=vient=lheure=de=par=tir 12
je=ne=sais=com=ment=lui=di=re=quil=faut=tou=blier 12
car=il=faut=tou=bli=er=sans=lom=bre=dun=es=poir 12
ou=bli=er=un=fu=tur=qui=na=pas=exis=té 11
ou=bli=er=ou=pli=er=pour=ne=pas=se=bri=ser 12
ou=blier=les=mots=que=tu=me=su=sur=raient=le=soir 12
nous=lais=se=rons=donc=or=phe=lin=un=pe=tit=killian 12
né=dans=les=lim=bes=dun=a=mour=in=cer=tain 11
qui=ne=sau=ra=ja=mais=quel=é=tait=son=des=tin 12
hor=mis=dé=clai=rer=mes=pas=du=ne=lueur=dia=phane 12
notrea=mour=é=tait=comme=le=mon=de=qui=la=vu=vivre 12
im=par=fait=com=pli=qué=et=pour=tant=mer=veil=leux 12
commeu=ne=ro=se=cruel=le=au=par=fum=lan=gou=reux 12
une=li=queur=si=sub=tile=qui=de=loin=nous=en=ivre 12
cé=tait=un=a=mour=pur=et=sin=cère=com=me=toi 12
même=si=tu=dis=que=la=mour=nest=pas=é=ter=nel 12
il=re=monte=mes=vei=nes=com=meu=ne=lam=pée=de=miel 13
tel=si=sy=phe=jus=quau=puit=de=mon=cœur=ma=la=droit 13
amour=si=fra=gile=bri=sé=sur=lé=cueil=de=tes=doutes 12
em=por=té=au=loin=par=le=tor=rent=de=mes=larmes 12
où=plon=ge=les=ra=cines=as=soif=fées=de=ton=charme 12
na=tu=rel=sans=am=bage=qui=a=vi=ve=ma=dé=route 13
ain=si=donc=au=re=voir=ma=douce=mon=ten=drea=mour 12
si=fra=gile=é=cla=tan=teet=par=mo=ment=si=dure 12
com=me=un=dia=mant=dans=un=é=crin=de=ve=lours 12
le=vent=tourne=et=de=nou=veau=gon=fle=ma=voi=lure 12
je=ne=re=grette=rien=de=cet=te=dou=cea=ven=ture 12
mais=je=ne=se=rai=pas=ton=sei=gneur=de=bi=gnan 12
tu=peux=gar=der=ta=tête=je=fe=rai=bon=ne=fi=gure 13
en=gar=dant=une=a=mie=moi=qui=fut=ton=a=mant 12
je=nai=pas=su=tai=mer=et=faire=de=toi=u=ne=reine 13
en=te=fai=sant=ma=man=dun=pe=tit=ché=ru=bin 12
tu=res=te=ras=pour=moi=mon=e=toile=du=ma=tin 12
a=ja=mais=dans=mon=cœur=tendre=et=dou=ce=nol=wenn 12
Phonétique : Etoile Du Matin
nɔlwεn, tɔ̃ nɔ̃ ʒaji kɔmə œ̃ ʁε də lymjεʁəblɑ̃ʃə ε ta kulœʁ e εllə tə sjε a mεʁvεjə
ilyminə tɔ̃ suʁiʁə də venysz- ɑ̃ sɔmεj
e tabijə sɑ̃ pydœʁ dynə oʁa də mistεʁə
ty kɔ̃tɑ̃plə lə mɔ̃də a tʁavεʁ døz- etwalə
ki ɔ̃ bʁije dɑ̃ mɔ̃ kœʁ ʒyska lɑ̃flame
ɡʁavɑ̃ dɑ̃ mɔ̃n- amə la savœʁ də tε bεze
kɔmə œ̃ ʒuʁ də ɡʁɑ̃ vɑ̃ u lɔ̃n- isə la ɡʁɑ̃ vwalə
mε sə netε kœ̃ ʁεvə, nɔlwεn, ynə lɥœʁ dɑ̃ la nɥi
il ni a plys dɑ̃ mɔ̃ kœʁ kə dø bʁεzə maladə
ki setεɲe ɑ̃ sɑ̃ɡlɔtɑ̃ suz- ynə plɥi fadə
il ni a plys dɑ̃ mɔ̃n- amə kə lεɡʁœʁ də lɑ̃nɥi
ʒə lεvə lεz- iø vεʁ lə sjεl e fujə lɛ̃fini
puʁ ɛ̃vɑ̃te lε mo ki dekʁiʁɔ̃ lə vidə
ki mɔpʁεsə, maspiʁə e mə lεsə lividə
sɛ̃sinɥ dɑ̃ mɔ̃n- εtʁə e mə kʁi : sε fini !
ʒə nə paʁtaʒəʁε plys tε ʒwaz- e tε pεnə
ʒə nə sɑ̃tiʁε plys la dusœʁ də ta po
ʒə nə dekwafəʁε plys tε ʃəvøz- ɑ̃ flɑ̃bo
ʒə nə ɡutəʁε plys lə paʁfœ̃ də tɔ̃-alεnə
mɔ̃ li nε plys kynə kɔkjə vidə sɑ̃ ʃalœʁ
u ʒə meɡaʁə a la ʁəʃεʁʃə dœ̃ pəti pje fʁwa
ki paʁ maʒi mεtε tus mε sɑ̃sz- ɑ̃n- emwa
pəti animal faʁuʃə ki fəzε mɔ̃ bɔnœʁ
mε mɛ̃z- ɔ̃ apʁiz- a desine sɑ̃ fajiʁ
lε kuʁbə- də tɔ̃ kɔʁz- o kɔ̃tuʁ vɔlyptɥø
a flane a desɛ̃ otuʁ dœ̃ tetɔ̃ malisjø
a sə ʁɑ̃dʁə εsklavə də tε mwɛ̃dʁə- deziʁ
mɔ̃ kɔʁ tə ʁeklamə e ʒə nə sε kə lɥi diʁə
il tə ʃεʁʃə ɑ̃ vɛ̃ kɑ̃ vjɛ̃ lœʁ də ʁεve
e sə fε tu pəti kɑ̃ vjɛ̃ lœʁ də paʁtiʁ
ʒə nə sε kɔmɑ̃ lɥi diʁə kil fo tublje
kaʁ il fo tublje sɑ̃ lɔ̃bʁə dœ̃n- εspwaʁ
ublje œ̃ fytyʁ ki na pa εɡziste
ublje u plje puʁ nə pa sə bʁize
ublje lε mo kə ty mə syzyʁε lə swaʁ
nu lεsəʁɔ̃ dɔ̃k ɔʁfəlɛ̃ œ̃ pəti kijjɑ̃
ne dɑ̃ lε lɛ̃bə dœ̃n- amuʁ ɛ̃sεʁtɛ̃
ki nə soʁa ʒamε kεl etε sɔ̃ dεstɛ̃
ɔʁmi deklεʁe mε pa dynə lɥœʁ djafanə
nɔtʁə amuʁ etε kɔmə lə mɔ̃də ki la vy vivʁə
ɛ̃paʁfε, kɔ̃plike e puʁtɑ̃ mεʁvεjø
kɔmə ynə ʁozə kʁyεllə o paʁfœ̃ lɑ̃ɡuʁø
ynə likœʁ si sybtilə ki də lwɛ̃ nuz- ɑ̃nivʁə
setε œ̃n- amuʁ pyʁ e sɛ̃sεʁə kɔmə twa
mεmə si ty di kə lamuʁ nε pa etεʁnεl
il ʁəmɔ̃tə mε vεnə kɔmə ynə lɑ̃pe də mjεl
tεl sizifə ʒysko pɥi də mɔ̃ kœʁ maladʁwa
amuʁ si fʁaʒilə, bʁize syʁ lekœj də tε dutə
ɑ̃pɔʁte o lwɛ̃ paʁ lə tɔʁe də mε laʁmə
u plɔ̃ʒə lε ʁasinəz- aswafe də tɔ̃ ʃaʁmə
natyʁεl, sɑ̃z- ɑ̃baʒə, ki avivə ma deʁutə
ɛ̃si dɔ̃k o ʁəvwaʁ ma dusə, mɔ̃ tɑ̃dʁə amuʁ
si fʁaʒilə, eklatɑ̃tə e paʁ mɔmɑ̃ si dyʁə
kɔmə œ̃ djamɑ̃ dɑ̃z- œ̃n- ekʁɛ̃ də vəluʁ
lə vɑ̃ tuʁnə e də nuvo ɡɔ̃flə ma vwalyʁə
ʒə nə ʁəɡʁεtə ʁjɛ̃ də sεtə dusə avɑ̃tyʁə
mε ʒə nə səʁε pa tɔ̃ sεɲœʁ də biɲɑ̃
ty pø ɡaʁde ta tεtə, ʒə fəʁε bɔnə fiɡyʁə
ɑ̃ ɡaʁdɑ̃ ynə ami, mwa ki fy tɔ̃n- amɑ̃
ʒə nε pa sy tεme e fεʁə də twa ynə ʁεnə
ɑ̃ tə fəzɑ̃ mamɑ̃ dœ̃ pəti ʃeʁybɛ̃
ty ʁεstəʁa puʁ mwa mɔ̃n- ətwalə dy matɛ̃
a ʒamε dɑ̃ mɔ̃ kœʁ tɑ̃dʁə e dusə nɔlwεn
Syllabes Phonétique : Etoile Du Matin
nɔ=lwεn=tɔ̃=nɔ̃=ʒa=ji=kɔmə=œ̃=ʁε=də=ly=mjεʁə 12blɑ̃ʃə=ε=ta=ku=lœʁ=e=εllə=tə=sjε=a=mεʁ=vεjə 12
i=ly=minə=tɔ̃=su=ʁi=ʁə=də=ve=nys=zɑ̃=sɔ=mεj 13
e=ta=bi=jə=sɑ̃=py=dœʁ=dynə=o=ʁa=də=mistεʁə 12
ty=kɔ̃=tɑ̃=plə=lə=mɔ̃də=a=tʁa=vεʁ=dø=ze=twalə 12
ki=ɔ̃=bʁi=je=dɑ̃=mɔ̃=kœʁ=ʒys=ka=lɑ̃=fla=me 12
ɡʁa=vɑ̃=dɑ̃=mɔ̃=namə=la=sa=vœʁ=də=tε=bε=ze 12
kɔməœ̃=ʒuʁ=də=ɡʁɑ̃=vɑ̃=u=lɔ̃=ni=sə=la=ɡʁɑ̃=vwalə 12
mεsə=ne=tε=kœ̃=ʁε=və=nɔ=lwεn=y=nə=lɥœʁ=dɑ̃=la=nɥi 14
il=ni=a=plys=dɑ̃=mɔ̃=kœʁ=kə=dø=bʁεzə=ma=ladə 12
kise=tε=ɲe=ɑ̃=sɑ̃=ɡlɔ=tɑ̃=su=zy=nə=plɥi=fadə 12
il=ni=a=plys=dɑ̃=mɔ̃=namə=kə=lε=ɡʁœʁ=də=lɑ̃n=ɥi 13
ʒə=lεvə=lε=ziø=vεʁlə=sjεl=e=fu=jə=lɛ̃=fi=ni 12
puʁ=ɛ̃=vɑ̃=te=lε=mo=ki=de=kʁi=ʁɔ̃=lə=vidə 12
ki=mɔ=pʁε=sə=mas=piʁə=e=mə=lε=sə=li=vidə 12
sɛ̃=sinɥ=dɑ̃=mɔ̃=nε=tʁə=e=mə=kʁi=sε=fi=ni 12
ʒə=nə=paʁ=ta=ʒə=ʁε=plys=tε=ʒwa=ze=tε=pεnə 12
ʒə=nə=sɑ̃=ti=ʁε=plys=la=du=sœʁ=də=ta=po 12
ʒə=nə=de=kwafə=ʁε=plys=tε=ʃə=vø=zɑ̃=flɑ̃=bo 12
ʒə=nə=ɡutə=ʁε=plys=lə=paʁ=fœ̃=də=tɔ̃-a=lεnə 12
mɔ̃=li=nε=plys=kynə=kɔ=kjə=vi=də=sɑ̃=ʃa=lœʁ 12
uʒə=me=ɡa=ʁəa=laʁə=ʃεʁ=ʃə=dœ̃=pə=ti=pje=fʁwa 12
ki=paʁ=ma=ʒi=mε=tε=tus=mε=sɑ̃s=zɑ̃=ne=mwa 12
pə=ti=a=ni=mal=fa=ʁuʃə=ki=fə=zε=mɔ̃=bɔ=nœʁ 13
mε=mɛ̃=zɔ̃=a=pʁi=za=de=si=ne=sɑ̃=fa=jiʁ 12
lε=kuʁ=bə=də=tɔ̃=kɔʁ=zo=kɔ̃=tuʁ=vɔ=lyp=tɥø 12
a=fla=ne=a=de=sɛ̃=o=tuʁ=dœ̃=te=tɔ̃=ma=li=sjø 14
a=sə=ʁɑ̃=dʁə=εs=klavə=də=tε=mwɛ̃=dʁə=de=ziʁ 12
mɔ̃=kɔʁtə=ʁe=kla=mə=e=ʒə=nə=sε=kə=lɥi=diʁə 12
il=tə=ʃεʁ=ʃə=ɑ̃=vɛ̃=kɑ̃=vjɛ̃=lœʁ=də=ʁε=ve 12
e=sə=fε=tu=pə=ti=kɑ̃=vjɛ̃=lœʁ=də=paʁ=tiʁ 12
ʒə=nə=sε=kɔ=mɑ̃=lɥi=di=ʁə=kil=fo=tu=blje 12
kaʁ=il=fo=tu=blj=e=sɑ̃=lɔ̃=bʁə=dœ̃=nεs=pwaʁ 12
u=blj=e=œ̃=fy=tyʁ=ki=na=pa=εɡ=zis=te 12
u=blj=e=u=plj=e=puʁ=nə=pa=sə=bʁi=ze 12
u=blje=lε=mo=kə=ty=mə=sy=zy=ʁε=lə=swaʁ 12
nu=lε=sə=ʁɔ̃=dɔ̃k=ɔʁfə=lɛ̃=œ̃=pə=ti=ki=jjɑ̃ 12
ne=dɑ̃=lε=lɛ̃=bə=dœ̃=na=muʁ=ɛ̃=sεʁ=tɛ̃ 11
ki=nə=so=ʁa=ʒa=mε=kεl=e=tε=sɔ̃=dεs=tɛ̃ 12
ɔʁ=mi=de=klε=ʁe=mε=pa=dy=nə=lɥœʁ=dja=fanə 12
nɔtʁə=a=muʁ=e=tε=kɔmə=lə=mɔ̃=də=ki=la=vyvivʁə 12
ɛ̃=paʁ=fε=kɔ̃=pli=ke=e=puʁ=tɑ̃=mεʁ=vε=jø 12
kɔməy=nə=ʁo=zə=kʁy=εllə=o=paʁ=fœ̃=lɑ̃=ɡu=ʁø 12
ynə=li=kœʁ=si=syb=ti=lə=ki=də=lwɛ̃=nu=zɑ̃nivʁə 12
se=tε=œ̃=na=muʁ=pyʁ=e=sɛ̃=sεʁə=kɔ=mə=twa 12
mεmə=si=ty=di=kə=la=muʁ=nε=pa=e=tεʁ=nεl 12
il=ʁə=mɔ̃tə=mε=vε=nə=kɔ=məy=nə=lɑ̃=pe=də=mjεl 13
tεl=si=zifə=ʒys=ko=pɥi=də=mɔ̃=kœʁ=ma=la=dʁwa 12
a=muʁ=si=fʁa=ʒilə=bʁi=ze=syʁ=le=kœj=də=tεdutə 12
ɑ̃=pɔʁ=te=o=lwɛ̃=paʁ=lə=tɔ=ʁe=də=mε=laʁmə 12
u=plɔ̃=ʒə=lε=ʁa=sinə=za=swa=fe=də=tɔ̃=ʃaʁmə 12
na=ty=ʁεl=sɑ̃=zɑ̃=baʒə=ki=a=vi=və=ma=de=ʁutə 13
ɛ̃=si=dɔ̃k=oʁə=vwaʁ=ma=du=sə=mɔ̃=tɑ̃=dʁəa=muʁ 12
si=fʁa=ʒilə=e=kla=tɑ̃=tə=e=paʁ=mɔ=mɑ̃=sidyʁə 12
kɔ=mə=œ̃=dja=mɑ̃=dɑ̃=zœ̃=ne=kʁɛ̃=də=və=luʁ 12
lə=vɑ̃=tuʁnə=e=də=nu=vo=ɡɔ̃=flə=ma=vwa=lyʁə 12
ʒə=nə=ʁə=ɡʁεtə=ʁjɛ̃=də=sε=tə=du=sə=a=vɑ̃tyʁə 12
mε=ʒə=nə=sə=ʁε=pa=tɔ̃=sε=ɲœʁ=də=bi=ɲɑ̃ 12
ty=pø=ɡaʁ=de=ta=tεtə=ʒə=fə=ʁε=bɔ=nə=fiɡyʁə 12
ɑ̃=ɡaʁ=dɑ̃=ynə=a=mi=mwa=ki=fy=tɔ̃=na=mɑ̃ 12
ʒə=nε=pa=sy=tε=me=e=fεʁə=də=twa=y=nə=ʁεnə 13
ɑ̃=tə=fə=zɑ̃=ma=mɑ̃=dœ̃=pə=ti=ʃe=ʁy=bɛ̃ 12
ty=ʁεstə=ʁa=puʁ=mwa=mɔ̃=nə=twa=lə=dy=ma=tɛ̃ 12
a=ʒa=mε=dɑ̃=mɔ̃=kœʁ=tɑ̃dʁə=e=du=sə=nɔ=lwεn 12
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
26/08/2004 00:00Angel_15321
C’est super beau ce que tu as ecris, xx’est pleins d’emotions d’amour et de tendresse. A bientot.
Poème Amour
Du 22/08/2004 00:00
L'écrit contient 593 mots qui sont répartis dans 16 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.