Poème:L’homme. Com

Ils sont nés sous le signe de vénus, que leur âme dévoile,
Voyagent la tête dans les nuages, le cœur dans les étoiles.
Ils ont dans les yeux cette lueur qui brille au firmament,
Car depuis leur tendre enfance, ils caressent les sentiments.

Tu me décris ici des êtres que je ne connais pas,
Jamais rencontré dans ma vie, j’aimerai bien tu vois…
Des êtres dotés de tels sentiments m’aideraient à avancer,
Mais j’ai perdu foie en eux et je le reconnais…

Ils s’indignent de la cruauté que leurs semblables étalent,
Rêvent tendrement de caresser pour un jour leur idéal.
Certains penseront même que la tristesse les attise,
Alors que leur tragédie n’est que le fruit que de votre bêtise.

La cruauté pour certains est tout un art, l’histoire de leur vie,
Ils se cachent ainsi pour éviter la douleur d’un amour qui s’enfui…
Les tragédies on les connaît tous un jour mais de différente façon,
Rien à leur dire, vu l’état de ma vie, je ne peux leur donner de leçon,

Ils n’ont pas fait de leurs muscles leur providence,
Leur âme à fleurs de peau les condamne à l’errance.
Pour des mots de cœur ou d espoir ils versent une larme,
Et pour le regard d’une femme, feront de leur vie un drame.

Je sais pourtant de qui tu parles, j’en ai trop rarement rencontré,
Se sont des êtres à part qu’avec nous on aimerait toujours garder,
Les muscles s’accompagnent trop souvent une bien grande arrogance,
Qu’ils en soient pourvus, prouve pas qu’ils ne soient pas dans cette suffisance !

Crois- tu sincèrement que je suis de ceux là ma chère amie,
Que ma réelle sensibilité fait de moi un homme qui étonne.
Sur… pour beaucoup de mes frères le romantisme est bannit,
Car ils jouent des pieds et des poings quand moi je ronronne.

Il est vrai que tu es à fleur de peau et ça se ressent,
Tu fais parti des bien trop rare mais pas pour autant étonnant,
Gardes ta sensibilité sans avoir peur de t’en servir,
Restes comme tu es et n’ai pas peur de le dire !