Poème:Coup De Foudre

COUP de FOUDRE
L’orage tonne
Comme plus rien ne m’étonne,
Dans l’éclair de ses yeux,
Mon cœur s’est pulvérisé ;
Ce regard là, mon Dieu ;
Je ne l’oublierais jamais…

Mon âge me donne
L’air des grandes personnes ;
Je cache bien mes émotions
Dans mon âme ; même mes passions.
Ce regard là en moi ; jamais
L’oublier, je ne pourrais…

Je vis dans la déconne,
Des jours ma vie part dans la faune,
Où je n’reconnais personne,
Ça m’laisse presqu’aphone,
Ce regard bleu, Dieu n’veut pas
Que je l’oublie, car tu n’es plus là…

Le temps bougonne,
En Russie, toute seule, tu frissonnes ;
Dans l’éclat de tes yeux bleus,
Mon désir de te prendre est attisé ;
Ton regard, là, sur moi, si bleu,
Je ne peux plus le quitter…

Mon cœur résonne
De tes photos friponnes,
Dans le ciel de tes beaux yeux,
Nastia, te regarder âme et corps ; je le veux.
Nos regards, là, unis en nous, mon Dieu,
Jamais, ne devront se quitter…

Notre amour fredonne
L’avenir que notre temps d’amour, nous donne
Dans le bleu de nos yeux ;
Pour toi Nastia, mon corps ne seras jamais vieux
Tu m’offriras ton miel de jouvencelle ;
Nos ventres, d’amour, l’un dans l’autre resteront unis pour l’éternité…
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 03 février 2012 à 11h30