Poème:L’épopée

Voici ! Il était un jour orgueilleux
Puisque fort fabuleux de par l’événement
Quand on me convoqua au Colisée
Pour combattre contre des damnés vicieux
Alléché par la soif d’être éprouvé
En ayant sous la main l’armée impériale
Je partis du palais et mis les voiles
Sans donner l’adieu à l’interdite cité
La finalité serait la défaite
De la pègre et de ces vermines d’assassins
Artisans des chaos qui font leurs gains
Selon Big Ben, il était temps qu’on les arrête
Je me suis, de mon côté, préparé
Le long du trajet d’une des routes vers Rome
Le sang de ces martyrs sont le sérum
Pour avoir un meilleur monde de sûreté
À jamais captifs dans la tour de Londres
Mes adversaires tous défaits et épargnés
Chacun en réclusion, mais moi, renommé
En raison des nombreuses mêlées à résoudre
Salué comme le Christ rédempteur
Depuis sa hauteur, donneur cordial d’espoir
Jusqu’à l’arc de triomphe, sur mon char
En brandissant le flambeau émancipateur
De la statue de dame Liberté
Après, sous la vue des vétustes rêvasseurs
De l’île de Pâques, les malheureux
Retrouveront, grâce à moi, la félicité
Et j’aurai aussi mon portrait taillé
Sur la fameuse façade du mont Rushmore
Enfin, je serai placé dans l’honneur
Au cœur d’une pyramide pour perdurer.