Poème:Adieu

On s’est rencontré, tu étais si différentes des autres
Quand tu m’as dit je t’aime j’étais fier comme un apôtre
Un homme rejeté de tous, pour une fois aimé par une merveille
Et des femmes comme toi il n’en avait jamais vu de pareilles.

4 Mois s’en suivirent, de l’Amour à n’en plus finir
Puis on s’est vu, là les doutes m’entourèrent
Je n’arrivais plus à les faire partir
Pourquoi donc les ténèbres m’invitèrent ?

Etais-ce l’amour qui m’entourait ? Etais-ce le bonheur ?
Maintenant je couvre notre amour de malheurs
J’ai un choix à faire, t’aimer et prendre le risque que tu me quittes
Ou partir alors que notre histoire aurais pu être un Mythe

On disait que l’amour soulevait les montagnes
Mais en moi je ne ressens plus de flamme
On disait que l’amour rendait aveugle
Mais toutes les filles m’attirent comme les serpents attirent un aigle

Tu étais la femme de me rêve
Tu seras éternellement l’Amour de ma vie
Un moment je t’aime, et je me sens ravi
Un moment je ne te veux plus du tout, mon corps entier est en trêve

J’ai 19 et toi bientôt 16 ans
Après moi, pour te reconstruire tu auras du temps
J’avais des peurs, je suis tétanisé de l’avenir
C’est pourquoi j’aimerais avoir 30 ans ou partir

Tu es jeune, je sais que je suis l’Homme de ta vie
Toi tu as été la Femme de ma vie
Je sens que toute ma vie j’aurais des regrets
Mais que veux-tu, c’est le privilège du mal aimé !

J’étais persuadé qu’un jour tu me quitterais
Pour un autre homme bien mieux que je n’étais
Et voulant t’aimer j’ai frappé trop haut
Car il faut l’avouer je n’étais pas assez costaud

Je me demande toujours comment tu peux m’aimer
Alors que des souffrances je t’en fais enduré
Mais pour moi, dans ma tête j’étais sur de te perdre un jour
Lors d’une soirée, une fête, une discothèque et ainsi te perdre pour toujours

Alors je préfère redevenir un simple frère
Afin de ne pas trop souffrir plus tard
Car endormi sont mes sentiments, de mes enfants j’aurais voulu que tu sois leurs mère
Maintenant tu vois ma peur, c’était d’un jour te perdre et me donner un coup de pétard !

Il faut arrêter de souffrir
Qu’ensemble on recommencer à rire
Et qui sait un jour on puisse repartir
Que ce mauvais moment ne soit plus qu’un simple souvenir

Dans ce poème les larmes coulent à flots
Et l’Amour ne m’est plus de Radeau
A force de t’attendre je n’ai plus de mouchoir
Alors je préfère m’en aller par le sombre couloir.