Poème:Femme

Si Dieu n’avait pas créé la femme,
Avec autant de charme, de douceur,
De tendresse et de flamme,
Il aurait fallu que nous les hommes
Nous l’inventions, sans recours à la dégradation.

Oh la femme, cette créature si mystérieuse,
Cette pierre de notre patrimoine la plus précieuse,
Cette âme a la fois généreuse et capricieuse,
Cette beauté des plus radieuse !

Ce cadeau inattendu qui nous choisit,
L’âme caritative qui nous séduit
Le cœur nous remplit et réjouit,
Cet ardent désir qui nous conduit.

Ce doux animal de chasse non chaste
Faisant de l’homme sa proie et cuirasse,
Sa meilleure partie de chasse
Et ce, avec la plus grande classe.

L’homme, d’un air hautain la cherche,
La désire et ardemment à la conquérir y aspire,
Jusqu’à ce que de ses filets elle l’attire,
Rien qu’avec un tendre sourire
Ou un émouvant et profond soupir.

Inconsciemment il se place dans sa ligne de mire,
Faisant de lui son point de mire.
Son amour à lui l’attire
Et son glamour à elle le désire
Pour que ses vagues sur son rivage
Avec verves se cassent.

Comme l’arc dans le ciel suspendu
Il est à ses basques gracieusement pendu,
Foulant la terre promise d’un pas convaincu
Pour mieux déguster son fruit défendu.

Oh femme, notre entêtement à te conquérir,
Et te procurer du monde le plus grand plaisir,
Au concours des circonstances de toi nous enorgueillir,
Pour mieux de tes charisme et vertus jouir,
Réjouir et reluire, pour une nuit ou pour la vie.